VACCINS ANTI-COVID : HISTOIRE D'UN SCANDALE DE SANTE PUBLIQUE MAJEUR !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
Plus tard, les historiens seront très sévères. Pointant la folie et le mensonge médiatiques entourant les agissements misérables de Macron et des labos, visant à nous vacciner tous, malgré les dangers du moment. Les uns pour se faire des c. en or. Le petit banquier, pour nous transformer génétiquement avec un vaccin ARN messager, dont les conséquences biologiques sont un véritable saut à l'élastique dans l'inconnu.
Macron mène une véritable guerre de classes contre le Peuple français, à l'instar de la guerre de classes menée en 1914 par la Bourgeoisie contre les "rouges", la "révolution" prétendument menaçante, dans le cadre de la première guerre mondiale, selon la thèse brillante de Jacques Pauwels : "1914-1918 La grande guerre des classes", édition Delga, 2016
Robert KENNEDY junior affirme : "Pour la première fois de l'Histoire de la vaccination, les vaccins dit ARN messager interviennent directement dans le matériel génétique du patient. Ils modifient son matériel génétique. Cette manipulation était considérée jusqu'à présent comme criminelle et interdite.
Cette vaccination reste problématique. en termes de santé, de morale et d'éthique, mais aussi en termes de dommages génétiques qui, contrairement à ceux causés par les vaccins précédents, seront irréversibles et irréparables.
Mais pire encore, ces vaccins anti Covid génèrent une mortalité importante, soigneusement occultée, niée par le Pouvoir en place.
Selon la banque européenne comptabilisant les effets indésirables des vaccins en Europe au 13 mars 2021, on compte 3 963 décès causés par les vaccins anti -Covid. Pfizer : 2540. Moderna : 972 et AstraZénéca : 451. 3963 décès, c'est énorme de la part d'un vaccin sensé nous guérir d'une maladie, que l'on peut aussi soigner efficacement avec des antibiotiques, qui font zéro mort. Et je parle d'expérience, pour avoir eu le Covid, avoir été soignée avec succès avec des antibiotiques et des corticoïdes.
Comment en est-on arrivé à ce chiffre de presque 4000 morts, rien que pour l'Union Européenne ? Rappelons la véritable guerre de l'information à laquelle nous avons modestement participée au cours de ces derniers mois.
Souvenons-nous : c'est d'abord le Professeur Christian Perronne, invité d'André Bercoff, critiquant le recours à des vaccins, pour une maladie létale à 0,5%. La suite ? Il perd son poste de Chef de service à l'Hôpital de Garches. Le Conseil départemental de l’Ordre des médecins des Hauts-de-Seine est saisi, afin qu’il statue sur d’éventuelles sanctions contre Perronne. Une autre procédure émane de l'AP-HP54. Plus aucun média ne l'invite à donner son analyse.
Le 23 janvier 2021, je poste sur mon blog Médiapart un article citant les réserves de Robert Kennedy junior rappelée ci-dessus. Mais aussi une étude du journal britannique londonien, estimant à seulement 29% le taux de fiabilité des vaccins, alors que sur la boite, il y a écrit 90% (voir article ZONE du 23 janvier 2021). La Direction de Médiapart censure aussitôt mon article, m'interdit de publier sur mon blog pendant 30 jours. Tout en ajoutant méchamment que je n'étais pas forcée de revenir sur Médiapart, au bout d'un mois de "prison".
Mais ce n'est pas tout : Nicole Délépine rédige à son tour un billet, citant le même chiffre (29%), et la même étude que moi du journal britannique londonien. Expliquant très clairement que ces "vaccins" n'auraient jamais du bénéficier de l'autorisation de mise sur le marché, à cause de l'existence de médications simples et efficaces : chloroquine et antibiotiques. En raison aussi de la faible efficacité de ces vaccins mal stabilisés : 29%. Là encore et curieusement, son papier disparait d'internet.
Le 23 janvier 2021 aussi, Gérard Délépine, son mari, rédige dans mondialisation un excellent article montrant comment la vaccination à marche forcée en Israël, Etats-Unis, Grande Bretagne, Norvège s'accompagne d'une surmortalité inquiétante. Naturellement, je poste cet article sur différents murs de Facebook : d'abord, je n'ai pas un seul 'like". Puis il est supprimé.
Bien sûr, il ne s'agit pas d'un cas isolé : la direction de Facebook supprime tous les tableaux montrant l'existence d'une surmortalité due aux vaccins, comme hier, celui de la banque européenne comptabilisant presque 4000 décès.
Inversement, je poste l'article de Gérard Délépine et le mien du 23 janvier 2021 sur le réseau social ZONE : tous les deux rencontrent un joli succès d'audience, et je remercie chaleureusement les responsables de ZONE et MEDIAZONE de cette précieuse liberté de parole.
Le 17 mars 2021, le journaliste Eric Montana rédige un article sur Mediazone intitulé : "Astrazeneca ; un scandale qui en annonce d'autres !" (sic), où il dénonce le délire de cette vaccination.
Mardi dernier, un jeune étudiant en médecine de 24 ans décède suite à l'injection du vaccin AstraZeneca. Un début de polémique éclate.
C'est d'abord Didier Raoult qui tonne sur Sud-Radio du 23 mars : "Oui il y a eu des choses sur lesquelles j'ai eu tort mais est-ce que ceux qui persistent à dire que la solution reste le vaccin et le confinement n'ont pas tort ?
Non seulement ils ont tort mais en plus ils persistent dans leurs erreurs, on ne s'en sortira pas comme ça, on est parti pour se confiner un siècle à cette allure et vous verrez quand la population en aura marre ce qu'il va se passer, on est pas loin de couver une guerre civile !"(sic).
De son côté, Hanouna organise un talk show sur le sujet entre Martin Brachier et Gérard Délépine. Sur le plateau d'Hanouna, le Docteur Gérard Délépine démolit l'efficacité du vaccin AstraZeneca. Et préconise les antibiotiques pour soigner le Covid-19.
On voit comment l'information selon laquelle les vaccins sont dangereux quittent les seuls réseaux sociaux dits "marginaux", "complotistes" (ZONE, MEDIAZONE, VK). Pour accéder au grand public, comme l'émission "Touche pas à mon poste touchant 300 000 personnes par émission. Le scandale de santé publique éclate au grand jour !
Comme disait Victor Hugo : " rien ne peut arrêter la force d'une idée, lorsque son heure est venue !"