UN AMI DE ROCKFELLER EST DERRIÈRE LA FAUSSE THEORIE DU RECHAUFFEMENT
Extrait de l'article publié sur le site Réseau International : "Les origines sombres du Grand Reset"
En 1971, le Club de Rome publie un rapport profondément erroné, « Limits to Growth » (Les limites de la croissance), qui prédit la fin de la civilisation, telle que nous la connaissions en raison de la croissance rapide de la population, associée à des ressources fixes comme le pétrole.
Le rapport conclut que sans changements substantiels dans la consommation des ressources, « le résultat le plus probable sera un déclin plutôt soudain et incontrôlable à la fois de la population et de la capacité industrielle ». Il s’appuit sur des simulations informatiques bidon réalisées par un groupe d’informaticiens du MIT.
Il énonce une prédiction audacieuse : « Si les tendances actuelles de croissance de la population mondiale, de l’industrialisation, de la pollution, de la production alimentaire et de l’épuisement des ressources se poursuivent sans changement, les limites de la croissance sur cette planète seront atteintes au cours des cent prochaines années ». C’était en 1971.
En 1973, Klaus Schwab, lors de sa troisième réunion annuelle des chefs d’entreprise à Davos, invitéePeccei à Davos pour présenter « Limits to Growth » aux chefs d’entreprise réunis.
L'organisateur de loin le plus influent du programme de « croissance zéro » de Rockefeller au début des années 1970 est l’ami de longue date de David Rockefeller, un pétrolier milliardaire nommé Maurice Strong.
Le Canadien Maurice Strong est l’un des principaux propagateurs de la théorie scientifiquement frauduleuse selon laquelle les émissions de CO2 d’origine humaine provenant des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture sont à l’origine d’une hausse spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace « la planète », ce que l’on appelle le réchauffement de la planète.