La nomination de Léa Salamé à la tête du journal de 20h de France 2 ne doit rien au hasard. Ce choix, présenté comme une évolution de carrière, cache en réalité un mécanisme de verrouillage médiatique bien plus profond. Car derrière l’image d’une journaliste star se dessine une stratégie d’influence.
Léa Salamé n’est pas une figure neutre. Elle partage sa vie avec Raphaël Glucksmann, figure montante de la gauche europhile, pro-OTAN et sioniste assumé, désormais pressenti pour la présidentielle de 2027. À travers ce couple, c’est une véritable fusion entre les élites politiques et médiatiques qui s’opère sous nos yeux. D’un côté, Glucksmann incarne une alternative calibrée pour l’électorat modéré.
De l’autre, Salamé accède au poste le plus stratégique du paysage audiovisuel français. En contrôlant le JT le plus regardé de France, ce duo impose progressivement un récit, une vision du monde, une orientation politique qui ne dit pas son nom. L’enjeu dépasse la simple question de l’indépendance journalistique. Il touche au cœur du pouvoir d’influence : celui de formater l’opinion publique, de guider les perceptions et d’éliminer les voix dissidentes. Cette nomination, loin d’être anodine, s’inscrit dans une logique d’homogénéisation idéologique.
Et dans cette mécanique bien huilée, chaque prise de poste devient un acte politique. L’ancrage familial de Léa Salamé renforce encore cette lecture.
Fille de Ghassan Salamé, conseiller de l’ONU et figure de l’élite mondialisée, elle représente un maillon essentiel d’un système de cooptation transnational. En confiant le 20h à cette figure, France 2 ne rénove pas son journal : elle verrouille un créneau stratégique dans la bataille pour les esprits. Et si tout était déjà écrit depuis le départ ? Mike Borowski vous dévoile les dessous de cette nomination, en direct sur GPTV ! SOYEZ ▬▬▬