Sur le nombre de virologues présents sur le Boeing 777-MH 17, abattu en 2014 !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie et Karine Bechet-Golovko
1°)-Brigitte Bouzonnie : Hier, j'ai publié un article intitulé : "Crash du Boeing 777-MH 17 avec 108 virologues à bord !" intervenu en 2014. Il était rédigé par Debbou Leila, trouvé sur VK, et annonçait la mort de 108 virologues.
Ce matin, et alors que l'on n'a plus parlé de cette affaire depuis sept ans, curieusement et sans prévenir, l'Expres, feuille de chou au service du pouvoir comme chacun sait, s rédige un article sur le sujet, rétrogradant le nombre de virologues tués de 108 à 6.
Naturellement, ce chiffre est sorti du chapeau, le journaliste n'expliquant pas comment il est parvenu à ce "chiffre". Comment croire à ce chiffre, si on se souvient de la CLAUSE DE CONFIDENTIALITE SIGNEE LE 8 AOUT 2014, IMPOSEE AUX ETATS, POUR QU'ILS SE TAISENT : notamment la France et l’Ukraine. ET QUE LA MALAYSIE NA PAS VOULU DIGNER ?
S’agirait-il d’un banal accident, si on n’avait affaire à une clause de confidentialité, qui prévoit un droit de véto sur la divulgation des informations et des résultats de l’enquête ?
PUISQUE LA FRANCE A SIGNE CETTE CLAUSE DE CONDIFDENTIALITE, SUR LA BASE DE QUELS DOCUMENTS NON COMMUNICABLES PEUT PARLER AUJOURD-HUI L’EXPRESS ,? Les seules sources journalistiques utiles sont les journaux malaysiens non tenus par cet obligation de silence.
Je ne crois donc pas une seconde au chiffre de l'Express, et autres journaux obéissants au pouvoir, produit comme un contre feu.
L'article de l'Express appelle de ma part deux remarques :
1-1°)-Je connaissais la triste affaire de ce Boeing 777-MH17 de la Compagnie Malysia Airlines, abattu dans l’Est de l’Ukraine, avec tous ses passagers en 2014. Je n'ai pas attendu le papier de Debbou Leila, trouvé sur VK en 2021, pour découvrir le problème.
En 2014, Ariane Walter avait consacré à cette affaire un long billet de blog Médiapart, dont je me souviens très bien. Elle aussi parlait de la mort suspecte de virologues qu'elle estimait être à 25. Et de la volonté de se débarrasser des meilleurs virologues du monde. A ce moment là, on ignorait tout de l'épidémie de Covid.
Donc, on voit que chacun, chacune sort son chiffre du chapeau. Personne ne s'appuie sur la liste des passagers à l'embarquement, silence radio politique oblige !
1-2°)-Selon moi, il y avait 108 passagers, dont 25 virologues : soit 83 militants associatifs anti Sida. N'en déplaise à l'Express, ces militants associatifs, sans avoir les savoirs pointus et reconnus des virologues, savaient parfaitement comment soigner le Sida et autres virus infectieux.
Nul doute qu'ils auraient fait du tapage sur le net en mars 2020, avec le "soin" au Doliprane. Les refus réitérés d'accepter les malades du Covid aux urgences. L'absence de masque et de tests. La scandaleuse interdiction de vendre de la Chloroquine du jour au lendemain ! Pour Gates, Fauci et la CIA, ces militants étaient à abattre, autant que les virologues dorés sur tranche !
De plus, il ne s'agit pas d'un cas isolé. Comme écrit Florence Gauffre : "Pour le MH 370 qui s'est "volatilisé", la présence de passagers du même type que ceux que tu évoques a aussi été envisagée"(sic). Autrement dit, il y a eu plusieurs crash pour éliminer les virologues et ceux qui travaillaient avec eux.
2°)-Article fort intéressant de Karine Bechet-Golovko le jeudi 25 juin 2015 :
Un tribunal international pour le crash du Boeing MH17 à Donetsk ou l'ouverture du bal des hypocrites
( ... à lire en premier bien sûr, sans oublier les liens qui renvoient vers de plus amples précisions )
... Le silence sur l'enquête qui a suivi cette catastrophe advenue à l'avion de ligne malaisien n'a eu d'égal que la fâcheuse propension de la plus grande partie des medias européens – allemands et français entre autres - à en imputer la faute aux russes, ou à ces résistants du Donbass , ceux qui ont amplifié leur résistance dès l'abominable massacre qui s'est déroulé dans la maison des syndicats d'Odessa (là aussi, peu d'informations ont été données par nos médias sur l'enquête ...si enquête il y a eue?) .
Mes quelques remarques et rappels sous cet article
Hypocrisie...C'est plus que probable , et l'hypocrisie dure depuis un sacré bout de temps.
Pour rappel, une information que je ne peux m'empêcher de considérer comme une coïncidence pour le moins curieuse: La Hollande a réussi à rapatrier son or des USA (à qui il avait été "confié" à la fin de la 2è GM pour le protéger des méchants bolchéviques....) en novembre 2014. : http://blogdejocelyne.canalblog.com/archives/2014/12/..
NB: A noter que depuis 5 ans (ou plus?) l'Allemagne de Merkel a essayé de récupérer le sien ... sans succès (à part une petite portion congrue, une sorte d'obole)
Mais revenons en à cette enquête, sur le vol MH17 :
- 21 juillet 2014 : Mise en place d'une " enquête internationale exhaustive et indépendante" (vous noterez le mot "indépendante) résolution 2146 du conseil de sécurité de l'ONU .
- 23 juillet, l'Ukraine délègue à la Hollande la mission de conduire l'enquête sur les lieux du désastre
- 28 juillet 2014, par la grâce de l'Eurojust (instance créée par le Conseil Européen) la Hollande est incluse dans un groupe international d'enquête , le JIT (autrement dit "Joint Investigation Team " (la langue est étrange: du Hollandais sans doute?) .
Notons également que ce "JIT" est composé de 4 pays : la Hollande , la Belgique, l'Australie, et .... l'UKRAINE. (oui, vous avez bien lu. L'Ukraine est juge et partie)
Poursuivons:
- le 8 aout 2014: ces 4 Etats conviennent d'une clause de confidentialité qui prévoit un droit de véto sur la divulgation des informations et des résultats de l’enquête.
NB : rappellons à tout hasard qu'il y a dans ce groupe un élément qui est à la fois juge et partie car incriminée dans la destruction de l'avion de ligne malaisien...
Et la Malaisie, et les victimes, vous demandez vous sans doute?
Eh bien, la Malaisie s'est évidemment étonnée de ne pas faire partie de ce JIT .
- Ce n'est que le 4 décembre 2014 qu'EUROJUST affirmera que la Malaisie y serait admise SI elle acceptait de signer un "accord spécifique" dont le contenu n'était toujours pas officialisé le 19 janvier 2015 (http://www.nst.com.my/node/62687?d=1 )
Mais pour plus de détails sur l'organisation et les conditions de cette enquête , cet article fouillé et précis : http://ilfattoquotidiano.fr/vol-mh17-laustralie-confi..
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3°)-Crash en Ukraine : qui sont les passagers du vol MH17 ? par Freddy Mulongo, vendredi 18 juillet 2014 Radio Réveil FM International
Le Boeing 777, qui s'est écrasé à l'est du pays jeudi, transportait 298 personnes, dont 15 membres d'équipage.
On commence à en savoir un peu plus sur l'identité des passagers du vol MH17, qui s'est écrasé en Ukraine, jeudi 17 juillet. Même si pour 20 d'entre eux, les identifications sont toujours en cours. Selon la compagnie Malaysia Airlines (en anglais), sur l'ensemble des passagers, 189 étaient Hollandais, 44 Malaysiens, dont les 15 membres de l'équipage, 27 Australiens, 12 Indonésiens, 9 Anglais, 4 Allemands, 4 Belges, 3 Philippins, 1 Canadien et 1 Néo-Zélandais. La nationalité de quatre passagers reste inconnu.
Par ailleurs, une centaine de personnes étaient en route pour la conférence mondiale sur le sida, qui démarre ce week-end à Melbourne (Australie). Le Boeing 777 effectuait la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur, où une partie des passagers devaient ensuite embarquer dans un vol pour Melbourne.
D'éminents chercheurs sur le sida
Buzzfeed (en anglais) signale que, parmi eux, se trouvait Joep Lange, un chercheur éminent sur le sida, ainsi que Glenn Raymond Thomas, un porte-parole du département halte à la tuberculose de l'OMS. Sur Twitter, des collègues leur ont rapidement rendu hommage.
"Joep Lange était un des principaux chercheurs et cliniciens sur le sida. Il était un militant dans l'âme. Parti trop tôt aujourd'hui sur vol de la Malaysia Airlines. Repose en paix".
"Triste d'apprendre que mon ami et collègue de l'@OMS qui se rendait à la @conférence_sur_le_sida de Melbourne se trouvait sur le vol #MH17. RIP #Glenn Thomas"
Selon le Huffingtonpost, la docteur Rachel Baggaley a, pour sa part, déclaré à Vox (en anglais), à propos de Glenn Raymond Thomas : "Je suis dévastée. C'était un collègue très proche avec qui je travaillais quotidiennement. Il venait tout juste de célébrer son anniversaire et avait prévu plein d'activités pour souligner l'événement."
La présidente de la Société internationale sur le sida, la Française Francoise Barré-Sinoussi, a indiqué que la conférence ne sera pas annulée : "Nous avons décidé de continuer, nous pensons à eux et nous savons que c'est ce qu'ils aimeraient que nous fassions."
The Guardian (en anglais) évoque, lui, la disparition de Pim de Kuijer, un ancien membre du Parlement européen. "Pim croyait à la bonne entente entre les pays, à un état de droit et à l'égalité pour tous, et il se battait pour ces idéaux à travers son travail et ses activités politiques. Je souhaite que nous lui rendions hommage en redoublant d'ardeur pour parvenir à vivre dans un monde en paix", a déclaré un de ses collègues et amis.
Des familles australiennes
Vingt-sept Australiens figurent parmi la liste des victimes. The Sidney Morning Herald (en anglais) évoque un couple, qui venait de se marier et qui effectuait un voyage de noces en Europe. Un grand-père et son petit-fils revenaient aussi du Vieux continent tout comme plusieurs familles avec des enfants. Une sœur travaillant dans une école se trouvait aussi parmi les passagers. "C'était une personne passionnée et aimée de tous" a déclaré au journal australien une étudiante.
Des enfants
Outre ceux des familles australiennes, il y aurait 85 enfants présents dans le vol MH17, selon François Beaudonnet, le correspondant de France 2 à Amsterdam.
Une famille déjà victime du vol MH370
Le sort s'acharne sur leur famille. Kaylene Mann avait déjà perdu son frère Rod et sa belle-soeur Mary, disparus dans le vol MH370 de la Malaysia Airlines en mars. Cette Australienne a appris vendredi que sa belle-fille Maree était à bord du vol MH17 de la même compagnie, rapporte Associated Press (en anglais).
D'après les témoignages recueillis par l'agence, Maree et son mari Albert, originaires de Melbourne, revenait de quatre semaines en Europe. La famille ne tient pas grief à Malaysia Airlines pour ce nouveau crash : "Personne ne pouvait prévoir que l'avion allait être abattu, ils n'y peuvent rien", répond un des membres.
Un steward dont la femme a échappé au drame du vol MH370
Sanjid Singh, steward de la Malaysia Airlines et membre d'équipage, fait partie des victimes, relaie l'Express, qui cite The Malaysianinsider (en anglais). L'homme n'était pas censé prendre l'avion. Il a changé à Kuala Lumpur (Malaisie) avec un autre membre de l'équipage. Mais l'histoire est plus dramatique encore. "Sa femme, hôtesse chez Malaysia Airlines, a échappé à la mort", explique le quotidien. Elle a laissé "sa place sur le vol MH370 à une collègue qui souhaitait aller à Pékin (Chine). Ce même vol de la Malaysia Airlines a disparu au large du Viêtnam avec 239 personnes à son bord", détaille l'Express.
Deux supporters du club de Newcastle
Parmi les neufs anglais figurent deux supporters du club de football de Newcastle : John Alder et Liam Sweeney. Le club a salué leur mémoire dans un communiqué (en anglais) : "la perte de John et Liam est une nouvelle vraiment dévastatrice", a déclaré Lee Charnley, l'un des cadres du club. Les deux hommes se rendaient en Nouvelle-Zélande pour suivre la tournée d'été de leur club.
Des Français ?
L'incertitude persiste, vendredi 18 juillet, après les errances du gouvernement français. Le ministre des Transports Frédéric Cuvillier n'était pas en mesure d'infirmer ou de confirmer la présence de Français à bord du vol MH17, rapporte RTL.
François Hollande a affirmé, jeudi soir, que "plusieurs Français pourraient avoir été" dans l'avion de ligne malaisien reliant Amsterdam (Pays-Bas) à Kuala Lumpur (Malaisie). "Je parle au conditionnel", a insisté le président. Quelques heures plus tôt, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius avait affirmé qu'au moins quatre Français "au minimum" se trouvaient à bord.