Réponse à Libération, alléguant que la mort de Maxime Beltra, juste vacciné au Pfizer, serait due à une grave allergie alimentaire.
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
1°)-Brigitte Bouzonnie : C’est l’histoire de l’ivrogne, qui cherche sa montre sous un lampadaire, uniquement parce qu’il y a de la lumière. La paresseuse “explication” de Libération de la mort de Maxime Beltra, venant juste de se faire vacciner au Pfizer, due selon eux uniquement “à une grave allergie alimentaire”(sic), participe de la même vérité biaisée. La même fausseté intellectuelle. Le même déni de réalité.
Au passage, resteront dans l’Histoire les propos du responsable du centre régional de pharmaco-vigilance, le professeur Jean-Luc Faillie : «C’est encore en cours, mais je peux déjà vous dire que l’on ne s’oriente pas vers une imputabilité franche du vaccin. Beaucoup d’éléments penchent vers une allergie alimentaire» (sic) : Bonjour le respect de la vie privée ! Bonjour les informations qui fuitent, avant même que l’enquête ne soit terminée !
1-1°)-Le lourd passé de Pfizer est occulté :
Ce qui frappe dans ce genre “d’explication”, c’est qu’à aucun moment, l’hypothèse d’une mort par vaccin anti Covid ne soit véritablement examinée, comme s’il s’agissait d’une hypothèse de travail impossible, incroyable, inenvisageable. Comme si Pfizer était une fée gentille et bienveillante de conte de Charles Perrault, qui n’avait jamais été lourdement condamné en justice pour avoir tué de jeunes africains avec ses vaccins pourris.
On le sait : Pfizer est un labo qui a du sang sur les mains : dernièrement, 1 500 morts du vaccin anti covid, selon l’Agence Nationale de sécurité et du médicament (ANSM), au mois d’avril 2021. A ce moment là, j’avais rédigé un article intitulé : “Vaccins anti covid : et c’est la mort, la mort toujours recommencée”. A cet article, j’avais joint un tableau de l’ANSM en PDF, que m’avait transmis mon ami Gérard Luçon. De mémoire, il y avait 4 000 morts par vaccins anti covid : 990 pour l’Astrazeneca. 1 550 pour le Pfizer, 1 460 pour le Moderna.
On avait joint aussi le tableau réalisé par l’oncologue Nicole Délépine, montrant que le vaccin anti covid tuait plus que le vaccin H1N1.
On me dit que les chiffres de morts du vaccin anti covid produits par l’ANSM ont été supprimés, dans ce grand royaume de liberté et de Vérité qu’est la France macronienne. Soit. Mais les faits sont têtus. Les morts ne ressuscitent pas pour autant.
Par ailleurs, dans son blog Médiapart du 30 juillet 2021, Michel Mucchielli, Directeur au CNRS a rédigé un article intitulé : “La vaccination COVID à l’épreuve des faits : 2ème partie. Une mortalité inédite”. Dans cet article, il montre notamment qu’à “la fin du mois de juin 2021, la pharmacovigilance européenne avait déjà enregistré environ 9 000 décès liés à la vaccination uniquement pour le vaccin de Pfizer, notamment du fait de complications cardiaques, pulmonaires ou cérébro-vasculaires, inclues des morts par Covid (un comble pour les vaccins anti-covid…)”(sic). Donc, le Pfizer tue, n’en déplaisent aux idéologues au service de ce labo.
1-2°)-Une approche strictement micro-sociale, jamais recontextualisée :
Libération fait comme si le décès de Maxime Beltra était un coup de tonnerre dans un ciel serein. Et qu’il n’y avait eu aucun précédent, jamais évoqué dans l’article. Dans l’analyse de Libération, le triste décès de Maxime est toujours vu au niveau strictement individuel. A aucun moment, il n’est recontextualisé dans une période allant de janvier 2021 à aujourd’hui, où en France, les morts du Pfizer et des vaccins anti covid sont hélas nombreux.
Aujourd’hui, il faut savoir que cette façon d’apprécier les choses au niveau micro économique, micro social, est très “tendance”. Ainsi, lorsqu’on lit un rapport officiel, écoute tel ou telle ministre dans un passage média, on n’entend plus aucun chiffre global. C’est l’analyse libérale réduite au strict minimum de l’approche au cas par cas. Evidemment, tout le contraire de l’analyse nationale keynésienne.
Par ailleurs, le mode opératoire suivant la vaccination est toujours le même : c’est dans les 24/48 heures, que la personne décède. Ce qui parait assez “normal”, puisqu’un vaccin, ce n’est, ni plus ni moins, l’injection du virus Covid de façon euphémisée. Et que donc, la personne vaccinée supporte ce produit plus ou moins bien.
Comme écrivait Dyonisos Guiscard, une personne de sa famille a été vaccinée au Pfizer : elle a souffert comme un chien pendant les 24 heures qui ont suivi. D’autres personnes m’ont raconté leur vaccination anti covid : les premiers 24 heures ont aussi été très douloureux.
Si Libération était honnête, c’est cela qu’il devrait dire, y compris ensuite, pour rejeter cette hypothèse.
Et c’est là, où on voit que la thèse de l’allergie alimentaire, quand bien même elle aurait joué un rôle, n’explique pas tout. C’est d’ailleurs ce que dit le père de Maxime dans ce même article, en parlant de “cocktail détonnant” (de l’allergie et de la vaccination)(sic).
1-3)-Le problème de la baisse significative des anticorps, suite à une vaccination anti Covid :
Monique Plazza explique : Pfizer annonce une baisse significative des anticorps dans les 8 mois suivant la vaccination :
7 à 13 fois moins chez les 65-85 ans
4 à 6 fois moins chez les 15-55 ans
Cela signifie que les premières personnes à avoir été vaccinées, c’est à dire les plus âgées et les plus vulnérables, ne sont quasiment plus protégées aujourd'hui. Il faudra donc des rappels, ce qui n’a jamais été expérimenté dans les Essais (et le sera donc dans la population captive), avec des risques accrus d’effets indésirables.
Ce vaccin est donc très dangereux.
1-4°)-Fauci reconnaît que les vaccinés infectés sont aussi contagieux que les non-vaccinés
Antony Fauci : « La charge virale dans le nez des vaccinés infectés est la même que dans celui des non-vaccinés infectés ». Il reconnaît que les vaccinés infectés sont aussi contagieux que les non-vaccinés.
Le gouvernement va-t-il reconnaître son erreur et faire machine arrière sur le #Passe Sanitaire ? Car cet outil apparaît désormais comme un formidable aggravateur de l’épidémie.
Le vaccin peut protéger contre les formes graves du Delta à moins de 8 mois, mais pas contre la transmission, contrairement à ce qui est dit dans beaucoup de médias.
2°)- Libération du 28 juillet, par Emma Donada, CheckNews
Que sait-on du décès de Maxime Beltra, 22 ans, survenu après avoir reçu une dose de vaccin ?
Maxime Beltra, un jeune homme vacciné à Sète lundi, est décédé quelques heures après l’injection. Selon les premiers éléments, la piste de l’allergie alimentaire est privilégiée. Une autopsie sera réalisée mais «des investigations complémentaires seront sans doute nécessaires» d’après le procureur de de la République de Montpellier.
Question posée par Lionel le 28/07/2021,
Bonjour,
Vous nous interrogez sur le décès de Maxime Beltra, un jeune homme de 22 ans qui venait de recevoir sa première injection du vaccin de Pfizer contre le Covid-19. Dans une vidéo publiée mardi matin sur Facebook, son père Frédéric Beltra, dévasté, accuse le produit d’être lié à la mort de son fils. «C’est criminel de mettre sur le marché des vaccins qui […] tuent de jeunes de 22 ans en pleine forme», s’insurge-t-il. Depuis, ces quelques minutes filmées, où l’on voit en plan fixe l’attestation de primo injection du jeune homme, sont devenues virales, notamment dans les milieux antivaccins.
Contacté par CheckNews ce mercredi, Frédéric Beltra dénonce la «récupération par les politiciens et les complotistes» et appelle à la «dignité» : «Je ne suis pas antivaccin‚ je ne m’inscris pas dans ce débat. Ma démarche est républicaine. Je crois en la police et au système judiciaire. Je veux simplement savoir ce qu’il s’est passé. Peut-être que la mort de mon fils pourra servir à d’autres familles. Si on peut éviter que cela arrive à un autre enfant.»
Antécédents d’œdème de Quincke
Que s’est-il passé ? Maxime Beltra est venu se faire vacciner vers 14 heures au centre de Sète, lundi 26 juillet. «Je ne voulais pas qu’il y aille, mais il voulait le faire pour partir en Grèce. Je lui avais dit de bien signaler qu’il avait eu des antécédents allergiques avec un œdème de Quincke. C’est ce qu’il a fait», relate le père de famille. «Le jeune homme a déclaré qu’il avait des antécédents de choc anaphylactique alimentaire avec œdème de Quincke, mais il était quand même possible de le vacciner. Nous l’avons gardé trente minutes au lieu des quinze habituelles et il a pu rentrer chez lui», explique Jean-Christophe Calmes, responsable du centre de vaccination.
Dans la soirée, d’après les informations que nous avons pu recouper, Maxime Beltra s’est rendu au restaurant pour dîner. C’est là qu’il aurait commencé à ressentir une réaction allergique. «Ma fille nous a appelés vers 22 heures pour nous dire qu’il était en train de faire un œdème. Il avait fait des œdèmes de Quincke quand il était petit, on avait tout ce qu’il fallait. Les pompiers aussi ont fait tout ce qu’ils pouvaient faire, mais la réaction était d’une violence totale», poursuit Frédéric Beltra. Vers 23 heures, le décès du jeune homme est déclaré.
«Vers une allergie alimentaire»
Le vaccin est-il en cause ? Pour le père de famille, la piste du vaccin ne doit pas être écartée. «Oui il y a les allergies, il y a eu le restaurant, mais on ne peut pas faire comme si le vaccin n’avait pas eu lieu», estime Frédéric Beltra, qui évoque un éventuel «cocktail détonnant» de tous ces facteurs.
A ce stade, la cause de la mort n’est pas encore définie. Le Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Montpellier, qui a reçu le signalement, rassemblait encore ce mercredi les informations pour communiquer le dossier à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
«C’est encore en cours, mais je peux déjà vous dire que l’on ne s’oriente pas vers une imputabilité franche du vaccin. Beaucoup d’éléments penchent vers une allergie alimentaire», explique le professeur Jean-Luc Faillie, responsable du CRPV.
Entre autres indices : le délai, particulièrement long, entre l’exposition et la réaction allergique. «Généralement, le choc est quasiment immédiat. On ne peut pas considérer que des effets qui surviennent plus de trois heures après l’exposition soit de l’anaphylaxie», développe le spécialiste.
Information judiciaire ouverte
Surtout, le jeune homme aurait été en contact avec un aliment auquel il était allergique, d’après les premières constatations du parquet de Montpellier, qui a ouvert une information judiciaire «en recherche des causes de la mort», ce mercredi.
«Une autopsie sera réalisée dans ce cadre à l’initiative du juge d’instruction. [Mais] cette autopsie ne sera sans doute pas conclusive. En effet, même s’il est établi à l’issue [de l’autopsie] que le décès résulterait d’une allergie, il est d’ores et déjà fait état de ce que le jeune homme aurait absorbé peu avant son décès, durant le repas au restaurant, un aliment pour lequel il avait une allergie connue», indique Fabrice Belargent, le procureur de la République de Montpellier. Ainsi, «des investigations complémentaires seront donc sans doute nécessaires».