R.M. Rilke : "L'amour : nulle région humaine n’est aussi riche de clichets. Enclins à n'y voir qu'un plaisir facile, les hommes l’ont rendu d’accès bon marché. Pareil à un plaisir de foire !
Rilke : "L'amour : nulle région humaine n’est aussi riche de clichets. Enclins à n'y voir qu'un plaisir facile, les hommes l’ont rendu d’accès bon marché. Pareil à un plaisir de foire" !
1°)-Reiner Maria Rilke écrit : “Nulle région humaine n’est aussi riche de conventions que celle là (l’amour). Canots, bouées, ceintures de sauvetage, la société offre là tous les moyens d’échapper : enclins de ne voir dans l’amour qu’un plaisir, les hommes l’ont rendu d’accès facile, bon marché, pareil à un plaisir de foire”(sic), (cf “Lettres à un jeune poète", Collection les cahiers rouges, édition Grasset, 1937 .
2°)- Brigitte Bouzonnie : je partage la lucidité du poète Rilke. Son amertume aussi. Depuis toujours, je déteste la Bourgeoisie. Avec leur argent, ils s’imaginent pouvoir tout se payer, y compris ce qui n’a pas de prix. Plus que les autres groupes sociaux, ces derniers utilisent leur position dominante dans la société, pour faire de l’amour un “plaisir de foire” (cf Reiner Maria Rilke). Bourgeois(e) au coeur dur, qui n’ont pas d’émotions. Bourgeois incultes ne lisant pas, encore moins des livres de réflexion. Mais leurs appétits grossiers, -baiser-, sont la grande préoccupation du jour.
Je déteste la Bourgeoisie, son vernis d’éducation, souvent passée dans les grandes écoles. Je déteste la Bourgeoisie qu’on peut résumer par ce mot : la revanche du “ça” sur le “surmoi”. La revanche du Sexe sur la raison critique forgée par le Cortex. Je déteste la Bourgeoisie, dont la raison de vivre est de se remplir les couilles. A n’importe quel prix. N’importe comment. Avec n’importe qui. ”Plutôt que de mourir d’un rêve inassouvi”, “tout est possible, tout est permis”, chantait Georges Moustaki. Je déteste la Bourgeoisie, dont la grande affaire de leur vie est d’assouvir ses désirs. Collectionner femmes et enfants, malgré les interdits. Telle est la grande affaire de la vie de toute une génération libérale/libertaire, qui s’est imposée dans les années soixante-dix. La même qui agonise aujourd’hui sur le bord de la route, analyse parfaitement le sociologue Michel Clouscard dans son ouvrage : “Critique du libéralisme libertaire”, édition Delga, 2013.
Je pense aux horribles tunnels, où sont enfermés les enfants promis, livrés à leurs pires débauches. Je pense au beau combat mené par 22 armées dirigées par Donald Trump, qui tentent de les libérer. Je pense à eux, lorsque j’entends des bruits feutrés de bal trap, arme immobilisante utilisée par les soldats de Trump, pour neutraliser les gardiens des pauvres enfants prisonniers. Donald Trump s’honore de libérer les enfants impuissants à fuir par eux même. Comptez sur moi pour défendre l’ex-Président des Etats-Unis dans son combat, sur cette modeste lettre politique indépendante.
Il faut savoir que ces sales orgies d’enfants ont déjà existé dans le passé. Pendant la période dissolue de la Régence (1714-1721), les nobles faisaient enlever des enfants, souvent de petits paysans. Ils servaient de chair fraiche aux orgies des aristocrates décadents. De la même façon, avec la décadence du mondialisme occidental, nous vivons ces mêmes orgies d’enfants dégoutantes.
Après toutes ces orgies mondialistes répugnantes. Après tout ce que nous savons du rôle du sexe, pierre angulaire du système libéral (comment croyez-vous que macron soit arrivé à l’Elysée ?). Tous les chantages sexuels exercés par la CIA avec son faux nez : l’association Me Too. Après le FBI de Edgard Hoover, lui-même homosexuel, ce qui ne l’empêchait pas de chasser de façon féroce les homosexuels “communistes”, afin de les “tenir”. Après les chantages sexuels de la GESTAPO, où participait directement Hitler, comme le montre l’excellent ouvrage rédigé par l’historien et ancien commissaire de police Jacques Delarue. Aujourd’hui, la CIA, avec sa vitrine “convenable” Me Too utilisent les moeurs d’un homme politique, afin de le décaniller par le lynchage public.
Au regard de tout ce que le sexe a fait de mal, si ça continue, je crois que je vais finir par devenir anti sexe. Moquez-vous de moi. Traitez-moi de nonne. Envoyez-moi dans le fil d’actu des “Facebook rencontres” : je ne bougerai pas d’un cheveu. Même si je suis ultra minoritaire, ce dont j’ai l’habitude depuis toujours.
Je déteste la Bourgeoisie, grossière d’esprit et d’âme. Ce n’est pas une illusion fugitive. J’ai travaillé douze ans de ma vie à m’occuper du licenciement économique de salariés. Réinsérer les chômeurs de longues durée. Fréquenter les patrons. Les mêmes, qui ont mis sciemment au chômage puis à la pauvreté de masse des millions de salariés. 1 million de chômeurs en 1980 avec Giscard. 2 millions en 1988 sous mitterrand. 3 millions en 1997 sous Jospin. 6,5 millions aujourd’hui, selon les chiffres de la DARES, 9 millions selon mes calculs. Pour les salariés licenciés, terminus tout le monde descend. Et poignée de miraculés mise à part, personne ne retrouvera un emploi en CDI.
Ces patrons, qui, avec l’aide des gouvernements de droite et de “gôche”, ont laissé filer sciemment, volontairement le courbe du chômage ne méritent que ma colère et mon mépris le plus aigu. De les avoir côtoyé chaque jour pendant une époque, je sais en secret, qu’ils ont voué leur âme au Mal, hausse du taux de profit, volonté de puissance obligent, comme écrit notre regretté ami Alain Benajam dans son article intitulé : Le Mal ou le Secret, la Violence et la Mort”(2011).
Aujourd’hui, la Bourgeoisie mondialiste française a un taux de profit en chute libre, comme le montre l’euro en dessous du dollar. Elle est attaquée de toute part : en particulier par Poutine dans le cadre de la guerre en Ukraine. Conflit qui est en réalité une guerre contre le camp mondialiste occidental et sa Volonté de puissance de régner seule sur la planète.
Sans tomber dans l’idolâtrie imbécile, faisons une alliance objective avec les russes et les chinois, afin de renverser la bourgeoisie mondialiste. Décaniller pour toujours les nazis du XXIème siècle, que sont les élites américaines et européennes à la manoeuvre.
Le moment mondialiste est terminé. Profitons en pour faire émerger notre programme politique du Rassemblement “Pouvoir au Peuple” rédigé par Philippe Meens, Dominique Kern et moi. Nous prévoyons notamment la rédaction d’une nouvelle Constitution aux rond-points des Gilets Jaunes, esquisse d’un double pouvoir, qui à terme gouvernera seul le pays. Et un emploi correctement rémunéré pour chacune, chacun, qu’on se le dise !
Comme on disait dans les années 70 :
ON A RAISON DE SE REVOLTER !
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