Rapport trimestriel de situation Covid planétaire du samedi 1er Juillet 2023 !
Extraits du rapport rédigé par le Général Delawarde, posté le 8 juillet sur le site Réseau International
Rapport trimestriel de situation Covid planétaire du samedi 1er Juillet 2023 0h00 GMT
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par Dominique Delawarde
L’épidémie de Covid-19 est incontestablement terminée dans une énorme majorité des 229 pays ou territoires qui ont pu être affectés, à un moment ou à un autre.
Elle aura fait, in fine, un nombre infime de victimes: 0,885 décès pour mille habitants en 3 ans et demi, soit 0,25 décès sur 1000 habitants en moyenne annuelle, principalement des personnes âgées atteintes de comorbidités (88%). Elle aura donc été plus politique et médiatique, que réelle et grave.
Des vaccins élaborés à la hâte, vendues pour une efficacité de 95% sur les formes graves, et injectés en priorité aux personnes les plus exposées, auraient dû enrayer très vite (dès 2021) cette pandémie, s’ils avaient eu l’efficacité proclamée par l’industrie pharmaceutique, ses relais politiques et médiatiques, et les autorités de santé les plus corrompues.
Celà n’a pas été le cas. Cette épidémie a encore provoqué près de 200 000 décès au premier semestre 2023, dont 62% dans les 31 pays de l’OTAN, très vaccinés, qui ne représentent pourtant que 12% de la population de la planète ….
3 pays de l’OTAN, les USA, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont cumulé, à eux seuls, près de la moitié des décès Covid déclarés sur la planète au 1er semestre 2023… Ils ont eu manifestement plus de difficultés que d’autres à se remettre de l’épidémie. Les deux premiers d’entre eux (USA et UK) ont, hélas, été pris en référence par de trop nombreux pays qui en ont payé le prix (fort).
S’agissant des vaccins, 4,2 milliards de doses avaient été «sécurisées» pour l’UE par madame von der Leyen pour un montant de 75 milliards d’euros dans des accords secrets, passés avec l’industrie pharmaceutique (10 doses pour chaque citoyen de l’UE).
0,9 milliard de doses auraient été utilisées à ce jour en UE (source : Our World in data) à l’heure où la vaccination se ralentit énormément, voire s’arrête un peu partout en Europe.
Autrement dit, plus des trois quarts des doses commandées pour l’UE devront être détruites. Trois quarts de l’investissement (75 milliards d’euros) auront donc été gaspillés en pure perte. Escroquerie du siècle ou Incompétence abyssale au plus haut niveau de l’UE ? La question se pose, désormais.
Mon dernier bulletin de situation trimestrielle Covid du 1er juillet 2023 0h00 GMT en pièce jointe traite de manière plus détaillée et chiffrée des différents aspects de l’épidémie au niveau planétaire. (sources : Worldometer et Our World in data).
«On peut débattre de tout, sauf des chiffres». Nos chers médias mainstream ne savaient pas que leur slogan favori pouvait se retourner contre eux…
Bonne lecture et à chacun de se forger son opinion, bien sûr.
PS : Ce bulletin est le dernier sur la Covid-19. Il va falloir maintenant mettre en évidence les effets secondaires des injections vaccinales et poursuivre sans relâche, avec ténacité et pugnacité les responsables du désastre sanitaire et humain lié à la gestion de cette crise en occident.
***
2ème rapport trimestriel de situation Covid planétaire du samedi 1er Juillet 2023 0h00 GMT
Avant propos : «On peut débattre de tout, sauf des chiffres» (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr). Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre 2021 par la «meute» des médias mainstream français… et abandonnée depuis parce que les chiffres deviennent dérangeants…
Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.
Remarques sur le tableau ci-dessus :
Avec près de 376,5 millions de tests positifs déclarés en 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccin en 2021, on réalise que la contamination n’a jamais été réduite par le vaccin, bien au contraire, puisqu’elle a été 4,5 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin. Qui ne connaît pas parmi ses proches des gens double ou triple vaccinés qui ont attrapé le Covid en 2022 ?
Le slogan «Tous vaccinés, tous protégés» était donc un énorme mensonge répété ad nauseam par les pseudo-scientifiques, les politiques et leurs relais médiatiques, corrompus par Big Pharma. Les populations vaccinées, souvent par la contrainte, s’en sont rendues compte puisqu’elles ont très vite renoncé aux rappels conseillés et prescrits par les autorités gouvernementales et médicales (0,37 milliards de doses de primo-vaccination ou de rappel au 1er semestre 2023 contre 9,2 milliards en 2021).
La grande majorité des contaminations et des décès des années 2022 et 2023 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord (Voir les détails dans les tableaux qui suivront). L’Europe est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis vingt et un mois, sans discontinuer, ce qui est la preuve que la stratégie du tout vaccinal n’y a jamais fonctionné. Elle ne compte que 9,5% de la population mondiale mais déclare encore sur les quinze derniers jours, plus de 30% des décès enregistrés sur la planète. C’est un fait difficilement contestable, même par les «déconneurs» du Monde ou de Libération qui ont réponse à tout.
Où est passé le miracle vaccinal en Europe ? Cherchez l’erreur.
Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létaux, surtout et y compris dans les pays peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas quotidiens déclarés sur la planète (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par près de 250 pour s’établir aujourd’hui à 13 858 tests positifs/jour, (moyenne sur 7 jours.) au 1er juillet 2023 0h00 GMT. Autant dire que la pandémie est quasiment terminée.
Alors que le nombre de décès sur une population pourtant très vaccinée a culminé à 74 000 décès/semaine dans la 2ème semaine de février 2022, il est désormais inférieur à 1000 décès/semaine dans la dernière semaine de juin 2023, soit une division par 74 de la mortalité hebdomadaire. La Covid est donc devenue une maladie respiratoire beaucoup moins létale que la grippe saisonnière.
Malgré une vaccination de masse menée tambours battants depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021. Pour 2022, les chiffres de contamination ont été bien pire (multiplication par 4,5) et la mortalité, à peine meilleure, qu’en 2020, sans vaccin. Pour 2023, les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie se sont sortis beaucoup plus vite de l’épidémie que les pays développés les plus vaccinés. Ce sont des faits.
Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 13,47 milliards d’injections vaccinales pour une population de 8 milliards d’habitants ; injections vaccinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ça n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et le recul a été faible en 2022. En 2023, l’épidémie semble toutefois s’éteindre progressivement et surtout naturellement, moins vite dans les pays les plus vaccinés que dans les autres.
C’est probablement la raison pour laquelle l’immense majorité de la population mondiale a désormais renoncé aux rappels de vaccination, les fameux «boosters», malgré les recommandations persistantes dans certains pays jusqu’au-boutistes, dont la France. À deux injections annuelles recommandées, le nombre de 9,1 milliards d’injections de l’année 2021 aurait dû se maintenir en 2022 et en 2023. Or, il est tombé à 3,9 milliards en 2022 et ne devrait pas dépasser 0,5 milliard en 2023 puisqu’il n’y a eu que 370 millions de doses injectées au 1er semestre 2023 sur la planète et que le rythme d’injection continue de baisser très rapidement. On notera avec intérêt que la mortalité attribuée à la Covid a nettement diminué en 2023, alors même qu’une énorme majorité des populations ont renoncé d’elles-mêmes aux recommandations gouvernementales d’un booster tous les six mois.
Comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie Covid-19 a fini par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :
– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron et de ses derniers sous-variants.
– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement «vidé» par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois.
– Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus.
– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, vaccinée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, a également contribué à la baisse de la létalité. À cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ont joué le rôle de véritables vaccins naturels pour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.
Notons qu’avec la guerre en Ukraine qui impacte la planète entière, les médias ont un nouvel os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ce nouveau sujet. C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à «la guerre de l’information», qui se fonde trop souvent sur le mensonge répété en boucle.
En France, la campagne présidentielle de 2022 a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid 19, surtout si la gestion de cette crise continue d’être aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien, ce qui semble être le cas.
Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en vivant à crédit, en «sanctionnant» toujours plus ceux qui ne partagent pas le narratif dominant, trop souvent mensonger, sans prendre en compte les effets boomerang, ne sont pas des stratégies efficaces et durables, tant pour la crise sanitaire que pour la crise ukrainienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite… et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, dont le nôtre, déjà en cours et bien avancé.
Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 6,9 millions de décès sur trois ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 millions qui, répartis sur trois ans et demi, deviendrait un nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette «pandémie» a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir…
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Alors que les acteurs politiques, médiatiques, sanitaires et Big Pharma comptent sur la faculté d’oubli des populations pour échapper à leurs responsabilités dans la gestion désastreuse de cette épidémie et dans les méthodes utilisées, dignes de gouvernances totalitaires, des collectifs de citoyens persistent à vouloir que la lumière soit faite sur l’inefficacité vaccinale constatée, sur les effets secondaires des vaccins, sur la corruption de la commission européenne et de nombreuses personnalités exécutives ou sanitaires au niveau national et/ou européen. Il est désormais envisageable que les principaux responsables du désastre vaccinal soient identifiés, et sanctionnés lorsque les vents changeant auront jeté hors des palais nationaux les gouvernances qu’on y trouve encore.
Vidéos et documents «alternatifs» et intéressants sur la vaccination et la gestion de la crise sanitaires
1. Sur la désinformation politique et médiatique qui a fortement marqué la gestion de l’épidémie dans le monde et en France
Le scandale dit : «Lockdown Files» révélé par le Daily Telegraph au Royaume-Uni et repris, brièvement hélas, par les médias du monde entier, ont clairement montré que l’incompétence de la classe dirigeante britannique a été à l’origine d’un autoritarisme sanitaire contre-productif.1
Bien sûr, ce constat n’est pas applicable à la France dont les dirigeants, infiniment plus malins que leurs homologues britanniques, ont eu le bon goût et la bonne fortune de ne pas se faire prendre, jusqu’à présent, les doigts dans la confiture. Il est vrai que l’omerta et/ou la discrétion des médias français sur les Lockdown Files, et le «Secret Défense» appliqué aux délibérations des fameux «Conseil de Défense» ont aidé l’exécutif macronien à échapper, pour un temps, à la vindicte populaire.
Autre vidéo intéressante, sourcée et argumentée, de Jean Dominique Michel, anthropologue suisse du 14 juin 2023, censurée pendant 11 jours : «Meurtres de masse en EHPAD : l’État meurtrier»
2. Les effets secondaires des vaccins
Une vidéo publiée à une période de faible écoute sur la chaîne TV ARTE résumée par France Soir.
• «Vaccination anti-Covid : vivre avec les effets indésirables» – Documentaire complet, ARTE
3. Sondage sur le regard des Français sur la réintégration des personnels suspendus non injectés
Si 79% des Français étaient favorables à la réintégration, 53% des sympathisants «Renaissance», 70% des franciliens (bobos manipulés par les médias mainstream ?), 58% des catégories aisées, 68% des personnes âgées (peur de mourir ?) étaient contre. Ces derniers sont pourtant ceux qui déplorent le plus le manque de personnels de santé pour s’occuper d’eux.2
4. Sur le harcèlement anti-Raoult et la corruption de certaines sociétés «savantes» françaises
5. Sur les traitements utilisés lors de la crise sanitaire
Dans une interview à France Soir du 23 mai 2023, le professeur Didier Raoult présente les résultats d’une étude rétrospective confirmant l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
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Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vaccinale de masse ?
source : Our World in Data : https://ourworldindata.org/covid-vaccinations
70,34% de la population mondiale auraient reçu au moins une dose d’un vaccin COVID-19 et 64,65% seulement seraient complètement vaccinés, représentant 5,2 milliards d’h.
13,47 milliards de doses auraient été administrées dans le monde (dont 9,2 milliards en 2021, 3,9 milliards en 2022 et seulement 0,37 milliard au 1er semestre 2023). Cette évolution entre 2021 et 2023 montre clairement que les populations vaccinées refusent désormais massivement les deux «boosters» annuels qui leurs sont proposés pour conserver leur immunité «présumée». 73 000 doses seraient encore injectées chaque jour, sur l’ensemble de la planète, principalement dans certains pays occidentaux qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en accumulant les doses, alors qu’ils ont failli depuis le début dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les erreurs d’appréciation.
32,2% seulement des habitants des pays à faible revenu, donc moins solvables, auraient reçu au moins une dose. Ils ne s’en portent pas plus mal, bien au contraire. Ce simple constat montre, s’il en était besoin, que la vaccination était, avant tout, une affaire de gros sous pour Big Pharma et ses relais corrompus. Les riches populations de la région Nord Atlantique intéressaient bien davantage l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques que les populations les plus pauvres et les moins solvables d’Afrique ou d’Asie.
Extrait d’un point de situation vaccinal planétaire au 1er juillet 2023 0h00 GMT
À l’échelle planétaire, il y aura eu deux fois plus de décès Covid en 2021 avec le vaccin qu’en 2020 sans vaccin, alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été moins létal que ses prédécesseurs.
Toutefois la Covid-19 semble désormais en extinction naturelle un peu partout, sans qu’on puisse attribuer cette amélioration au vaccin puisque les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie a reculé et recule toujours le moins vite (USA, Allemagne, Royaume-Uni, Australie, etc.) et que la mortalité de 2022 avec vaccin aura été supérieure à celle de 2020 sans vaccin dans de nombreux pays très vaccinés (Croatie, Slovaquie, Grèce, Allemagne, Australie, Singapour, Israël, Islande, Norvège, Danemark, Finlande, Lettonie, Estonie, Lituanie, Portugal, Taïwan, Corée du Sud, Japon, etc.).
Il semble bien que le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal ait été, depuis le début de 2022, le vaccin naturel attendu.
On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la pandémie. C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits («On peut débattre de tout sauf des chiffres» nous ont répété inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien re-parlons chiffres !
Observations :
1. Au fil des années, il n’y a aucune corrélation entre le taux de vaccination et le taux de mortalité des différents continents. 2 à 2,5 fois moins vaccinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité plus de 15 fois moindre. Il est vrai que les traitements à la chloroquine ou à l’ivermectine y ont été pratiqués presque partout. C’est un constat observationnel irréfutable, réalisé à posteriori sur la base de chiffres officiels, «dont on ne peut débattre».
2. Alors que les habitants de la planète sont de plus en plus vaccinés, la mortalité déclarée Covid de 2022 est restée forte avec un virus pourtant beaucoup moins létal. Exemples ? L’Océanie, vaccinée à 64%, a déclaré 4 fois plus de décès en 2022 que les nombres cumulés des deux années 2020 et 2021 et compte 18 fois plus de décès Covid en 2022 que durant toute l’année 2020, sans vaccin. Au 1er semestre 2023, l’Océanie déclare déjà 5,6 fois plus de décès que durant toute l’année 2020 sans vaccin.
L’Europe, vaccinée à 70% est restée, en 2022, a un taux de mortalité à peine inférieur (-19%) à celui de l’année 2020 (sans vaccin) avec un variant Omicron beaucoup moins létal. Où est donc passé le miracle vaccinal annoncé à 95% d’efficacité sur les formes graves. Même les plus cons des citoyens du monde commencent à s’apercevoir qu’ils ont été dupés par la propagande politique et médiatique et à réagir en refusant massivement les «boosters» qui ne boostent rien d’autre que les finances de Big Pharma.
3. En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée : 96 000 décès en un seul mois prévus par les «experts» en mars 2020 ? Dans la vraie vie : 24 536 décès en trois ans et demi, bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus âgée et moins vaccinée que la France, a un taux de mortalité de 15% inférieur à la moyenne européenne… Eh ! les médias mainstream… Quelle est la valeur des prédictions scientifiques de monsieur Ferguson ? Pouvez-vous rappeler cela de temps à autre à votre lectorat ou à votre audience ? Et vous excuser ?
4. En Islande, en Israël, au Japon, à Taïwan, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux États-Unis, aux Pays baltes à Singapour, en Australie (etc.) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde par le vaccin (entre 72% et 95%) ou par la guérison de la maladie, la contamination et/ou la mortalité ont été plus élevées, en moyenne en 2022, que dans les années précédentes, y compris parmi les doubles ou triples vaccinés (voire, en Israël, parmi les vaccinés à quatre ou cinq doses). Ainsi, à Singapour (6 millions d’habitants vaccinés à 91%), la mortalité a augmenté très fortement sur les quinze derniers mois montrant la totale inefficacité vaccinale.
D’octobre 2021 à juillet 2023, le nombre des décès des Singapouriens, parmi les plus vaccinés au monde, a été multiplié par onze, comparé aux pertes cumulées des années 2020 et 2021 et par près de 60 comparée aux pertes de l’année 2020 sans vaccin ???Situation de la mortalité Covid à Singapour aujourd’hui vaccinée à 91,6% : «On peut débattre de tout sauf des chiffres» «tous vaccinés, tous protégés» qu’ils disaient sur toutes les télés françaises.
En Israël, la contamination et les décès ont explosé en janvier 2022. Entre le 14 décembre 2021 et le 26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines sur une population déjà très vaccinée.
Contamination :
Entre le 30 décembre 2021 et le 4 février 2022, le nombre de décès en Israël est passé de 1 à 73 décès/j (Moyenne sur 7 j). Le record absolu du nombre de décès/J a été battu dans un pays vacciné à 72% (et bien davantage pour les personnes fragiles) et dans lequel 51,6% des habitants avaient déjà été testés positifs et devaient donc avoir une immunité naturelle…
Israël aura encore des pertes dans les jours à venir. Une forte majorité des rares hospitalisations concerne aujourd’hui des personnes âgées, double, triple, ou quadruple vaccinées.
Curieusement, et c’était une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vaccinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80% selon le narratif officiel…). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse puis ont disparu du narratif médical, politique et médiatique, lorsque la vérité s’est imposée. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays ne semblait apparaître en France et leur nombre, largement sous-évalué, n’est pas clairement porté à la connaissance du grand public par les médias. Il ne faut pas parler des choses qui fâchent.
Observations factuelles :
En 2022, la mortalité Covid planétaire a culminé à 11 049 décès/jour le 9 février 2022. Elle n’était plus qu’à 1500 décès/jour (moyenne sur 7j) au 31 décembre 2022 (0h00 GMT).
L’année 2022 n’aura donc pas été très bonne en terme de mortalité déclarée : 1,24 millions de décès en 2022 après 13,2 milliards de doses de vaccins injectées.(???).
Le premier semestre 2023 a enregistré une baisse très sensible du nombre des décès Covid déclarés : 198 063 seulement sur l’ensemble de la planète.
Les pays les plus pauvres, dont 32,2% seulement de la population seraient vaccinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). «On peut débattre de tout sauf des chiffres»…
Les pays les plus riches, les plus «avancés», les plus vaccinés (de 70% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 2,5 et jusqu’à 5 pour mille). «On peut débattre de tout, sauf des chiffres»…
Après 3 ans et demi d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,885 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout «famines»…). La population terrestre a donc continué d’augmenter, malgré la Covid, de 67 millions d’habitants en 2022 et de 33,4 millions au 1er semestre 2023. «On peut débattre de tout, sauf des chiffres».
En 3 ans et demi d’épidémie, 6,9 millions d’individus, souvent très âgés, fragiles et déjà malades sont décédés «avec la Covid» alors que plus de 230 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes…. On notera que 88% des décès déclarés Covid l’ont été avec comorbidité et que 12% peuvent être attribués à la seule Covid-19. En clair 1,1 million de décès environ, sur trois ans et demi, peuvent être attribués de manière certaine à la Covid-19… (nombre très inférieur à celui de la grippe saisonnière, en temps normal, sur trois ans et demi, au niveau planétaire.)
Principales causes de décès au premier semestre 2023 sur la planète (source : Worldometer)
On notera avec intérêt le comportement paradoxal des gouvernances qui ont accepté, en 2022, de réaliser 42,5 millions d’avortements sur la planète, et qui, «en même temps» et «quoiqu’il en coûte» à l’économie et à la vie sociale, ont pris mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards occidentaux (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,74 milliards de terriens seraient en surpoids et 832 millions d’entre eux seraient classés obèses en 2023 (plus à l’Ouest qu’à l’Est et plus au Nord qu’au Sud…) Source : Worldometer.
Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à «vivre avec» ce genre d’épidémie sans paniquer, et «traiter précocement» pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en cours épidémie, au nom de la «rentabilité», alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs «conseils scientifiques» sponsorisés par «Big Pharma»), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps. La réintégration des personnels soignants qui avaient refusé de servir de cobaye lors de l’expérimentation vaccinale, aurait dû être une priorité immédiate pour sauver ce qui restait de notre système de santé en voie d’effondrement avancé, mais aussi parce que les faits leur ont donné raison. Le vaccin n’a protégé personne de la contamination ou du décès comme le montrent encore les chiffres 2023.
En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, sur la durée, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait aussi être prise en exemple à l’avenir, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissement hospitalier.
Le dernier pic épidémique planétaire ayant été franchi le 9 février 2022, avec 11 049 décès/jour en moyenne sur 7 jours. La situation s’est donc améliorée progressivement depuis cette date avec quelques rebonds de faible ampleur.
Aujourd’hui, le nombre de décès Covid quotidien sur la planète est désormais très bas (100 décès/jours, comparé à celui des accidents de la route sur la planète (3670 décès/jours) ou à celui des décès du SIDA (4560 décès/J).
Cette évolution est à peu près la même dans la quasi-totalité des pays des deux hémisphères. L’épidémie est terminée dans la quasi-totalité des pays d’Afrique (encore peu vaccinée). L’épicentre est resté européen durant les vingt et un derniers mois. La semaine passée, l’Europe compte encore, à elle seule, plus de 30% des décès Covid encore déclarés sur la planète pour 9,5% de la population mondiale.
Présentation des courbes de contamination et de décès Covid planétaires
Courbe de tests positif planétaire au 1er juillet 2023 0h00 GMT
(en bleu, moyenne quotidienne sur 7 jours)
Courbe du nombre de décès planétaire au 1er Juillet 2023 0h00
(en marron, moyenne quotidienne sur 7 jours)
À noter que l’arrivée de la vaccination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 13,47 milliards de doses de vaccin auraient été injectées, 70,3% des habitants de la planète «auraient» reçu au moins une dose de vaccin. 73 000 doses de vaccin seraient encore injectées chaque jour pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.
Les taux de guérison sont toujours très rassurants, sur 691 millions de personnes testées positives à la Covid (dont certaines plusieurs fois) depuis le début de l’épidémie, 664 millions auraient été déclarées guéries, soit plus de 96%. 20,6 millions seraient encore en cours de soins, dont 37 300 (en baisse) en situation critique, 6,9 millions seraient décédés «avec la Covid» en 3 ans et demi, et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.
Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des populations concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout supérieur à 95% à l’exception des pays les plus affectés du moment.
Depuis le début de l’épidémie, 229 pays ou territoires ont été affectés par la pandémie.
31 pays ont déclaré plus de 35 000 décès en trois ans d’épidémie et comptent 88% des décès avec, dans l’ordre des pertes : (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Royaume-Uni, Pérou, Italie, Allemagne, France, Indonésie, Iran, Colombie, Argentine, Espagne, Pologne, Ukraine, Afrique du Sud, Turquie, Japon, Roumanie, Philippines, Chili, Canada, Hongrie, Vietnam, République tchèque, Bulgarie, Malaisie, Grèce, Équateur).
À l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie reste très faible. Elle oscille désormais entre 100 et 130 décès/jour (moyenne sur 7 j).
À la lecture des deux tableaux qui suivent, on réalise à quel point la mortalité attribuée à la Covid reste infinitésimale en Afrique et en Asie. C’est l’Europe et l’Amérique du Nord qui déclarent toujours la majorité des décès.
La stratégie «atlantiste» (USA-UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire a été prise en défaut.
Les 31 pays de l’OTAN (12% de la population de la planète), parmi les plus vaccinés au monde, cumulent plus de 2755 millions de décès en 3 ans et demi. Ils ont un taux de mortalité de 2,84/1000 h. Le reste de la planète cumule 4140 millions de décès et déclare un taux de mortalité de 0,59/1000 h. (voir tableau détaillé en fin de rapport).
C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vaccinal prônée… par les USA et Big Pharma (via McKinsey). Il y a, en Occident, un véritable problème, lié à la corruption de certaines élites, des organes exécutifs politiques et sanitaires, ainsi que des médias, corruption par des lobbies transnationaux d’obédience néoconservatrice et mondialiste.
Occultés par le Qatargate qui a secoué (légèrement, hélas) en fin 2022, les institutions européennes et qui n’est qu’une petite partie émergée de l’iceberg de la corruption, il y a le Pfizergate et l’Ukrogate sur lesquels il faudra, tôt ou tard, se pencher.
Il semble bien que la gouvernance non élue de l’UE soit repartie, comme avant, dans l’irresponsabilité et la corruption.
Rappel des données du Pfizergate impliquant Madame von der Leyen
Sur 448 millions d’habitants de l’UE, 338 millions auraient été vaccinés et, pour certains, boostés (source : Our world in data). 110 millions n’auraient donc pas été vaccinés et ont peu de chances de l’être, alors que les pays annoncent, les uns après les autres, la fin de l’épidémie.
Un total de 903 millions de doses auraient été utilisées en Union européenne pour vacciner et booster dont 665 millions de doses Pfizer, 149 millions de doses Moderna, 67 millions d’Astrazeneca, 19 millions de Johnson and Johnson, 1,8 millions de Sputnik V et quelques autres.
Or, chacun sait aujourd’hui que Madame von der Leyen a «sécurisé» 4,2 milliards de doses de vaccins pour l’UE (10 doses pour chaque citoyen européens) dont 2,4 milliards chez Pfizer dans des accords secrets. Le tout pour la modique somme de 75 milliards d’euros.3
Le différentiel entre le nombre de vaccins utilisés pour vacciner l’Union européenne (0,9 milliard de doses) et le nombre de doses commandées par Madame von der Leyen (4,2 milliards de doses) est donc de 3,3 milliards de doses.
Il y aura donc plus des trois quarts d’une commande qui aura coûté 75 milliards d’euros aux contribuables européens, qui ne seront jamais utilisés et qui devront être détruits.
Les Africains qui s’en sont très bien sortis sans vaccin n’en veulent évidemment pas d’autant que les effets secondaires de nos merveilleux vaccins expérimentaux commencent à être de plus en plus documentés. Voir absolument les 4 minutes d’explications du député européen Hervé Juvin :
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Ci après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie de février 2022 au 1er juillet 2023
(en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration)
NB : Depuis plusieurs mois, les chiffres déclarés de la dernière semaine figurant sur ce type de tableau sont systématiquement très minorés (plus de 30%) par les deux pays anglo-saxons (USA et UK) pour lesquels les remontées d’information tardives permettent une correction à la hausse dès la semaine suivante. Il faut donc examiner l’avant dernière semaine pour y voir plus clair et plus juste.
Remarques sur le tableau ci dessus : L’Europe reste encore et toujours l’épicentre de ce qui reste d’épidémie depuis 21 mois. Les nombres de décès affichés en dernière semaine de juin seront revus à la hausse pour le duo anglo-saxon USA-UK, comme chaque semaine, pour prendre en compte les déclarations tardives.
Bilan au 1er juillet 2023 0h00 GMT du nombre de cas et de décès
par grande région du monde classées par taux de mortalité sur 3 ans
Remarques sur le tableau ci dessus :
1. L’Amérique du Nord otanienne, pionnière et référence de la vaccination de masse, affiche un taux de mortalité plus de 3,7 fois supérieur à la moyenne mondiale, près de 5,5 fois supérieur à la moyenne du monde non otanien, près de dix huit fois supérieur à celui d’une l’Afrique peu vaccinée. Du jamais vu dans l’histoire des vaccinations de masse. Elle fait pire que l’Amérique latine, ce qui n’est pas glorieux compte tenu des moyens financiers et des infrastructures santé dont elle dispose. Ce sont des faits dont on ne peut débattre.
2. L’Europe devance l’Amérique latine pour le taux de mortalité, et celui ci est plus de 8 fois supérieur à celui de l’Asie et près de 15 fois supérieur à celui de l’Afrique pourtant très peu vaccinée et surveillée de près par une multitude d’ONG.
Les bilans les plus lourds de la dernière semaine ont été, dans l’ordre, ceux de l’Australie, du Brésil et des USA (et probablement du Royaume-Uni qui ne déclare plus ses pertes depuis la mi-mai). Les trois premiers pays pourtant très vaccinés ont déclaré, à eux seuls, 50% des décès de la planète pour 7% de sa population. Cherchez l’erreur… Incompétence abyssale des gouvernances dans la gestion de l’épidémie ? Faillite de la science et des systèmes de santé de ces pays ? Campagnes vaccinales totalement inefficaces ? Ou peut être les trois ? À chacun de se forger une conviction.
L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 26,6% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) qui enchaînent les vaccins et les boosters, enregistrent 73,4% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. Notons que la part de l’Afrique pourtant trois fois moins vaccinée, continue d’être infime.
Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec la grippe espagnole.
Au-delà des nombres évoqués ci-dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie Covid avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et/ou souffrait de multiples comorbidités… ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.
À noter aussi que les statistiques dites «officielles» des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres) où rencontrer des problèmes de remontées d’information. Sur trois années et six mois d’observation attentive, j’ai pu noter ces manipulations de l’information Covid au Royaume-Uni, en Espagne et en France.
Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés
1. L’Europe
Encore et toujours épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, donc depuis vingt et un mois, l’Europe a vu sa situation se détériorer en décembre 2022, et jusqu’au 12 janvier 2023. Elle s’améliore désormais depuis la mi-janvier pour atteindre aujourd’hui la plus faible mortalité depuis 3 ans et demi. Ce sont la Russie, l’Espagne, l’Italie (et probablement le Royaume-Uni qui occulte ses pertes) qui totalisent, à eux seuls, 80% des décès européens de la dernière semaine de juin 2023. À noter que le Royaume-Uni qui avait, de loin, les pertes les plus élevées d’Europe à la mi-mars 2023 a renoncé à les déclarer après l’explosion du scandale des lockdown files. Il ne faut plus parler des choses qui fâchent. La crise ukrainienne, l’inflation, la crise énergétique, la récession et l’effondrement des systèmes de santé ne vont aider l’Union européenne hyper-vaccinée à se sortir de la position peu envieuse et peu glorieuse d’épicentre de ce qui reste de l’épidémie, position qu’elle pourrait bien conserver jusqu’à la fin de l’année 2023, à moins que l’UE décide de passer à autre chose et de ne plus déclarer ses pertes.
Seuls deux pays déclarent encore plus de 100 décès par semaine en Europe : La Russie et le Royaume-Uni (qui ne les déclare plus, mais qui en déclarait encore 804 dans la semaine du 11 au 18 mars 2023 et qui rajoute quelques millier de décès à son total, une fois par mois). Le Premier ministre Sunak préfère désormais cacher à sa population les chiffres les pires d’Europe.
1.1. Le Royaume-Uni entretient donc le flou sur la réalité de ses pertes Covid qu’il ne déclare que très épisodiquement depuis le début de l’année. Il a compris, avant les autres, que le meilleur moyen de faire disparaître l’épidémie était de ne plus en parler.
Le compteur général du nombre des décès britanniques de la Covid présenté sur Worldometer était à 198 937 décès au 31 décembre 2022. Il est aujourd’hui arrêté à 226 270 ce qui représente déjà 27 300 décès depuis le début de l’année 2023. Ce nombre est le plus élevé déclaré dans le monde en 2023 derrière celui des USA (à près de 49 750) et devant l’Allemagne qui a approché les 13 000 décès en 2023. Ces 3 pays ont cumulé 45% des pertes mondiales sur le premier semestre 2023.
On comprend mieux, dès lors, que le Royaume-Uni ne préfère plus parler d’une gestion de l’épidémie calamiteuse, qui a été depuis 2020 et qui est restée, depuis le début de l’année 2023, l’une des pires du monde. D’autant que le scandale dit des «Lockdown Files» est venu éclairer la population britannique sur l’incompétence abyssale de sa gouvernance dans la gestion de la crise sanitaire.4
1.2. L’Italie : La situation s’est progressivement et sensiblement améliorée depuis début janvier 2023. Le nombre de décès est tombé à moins de 10 décès/jours. Pour autant, l’Italie restera très probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe avec plus de 191 000 décès attribués à la Covid.
1.3. La France : Sans surprise, la situation y est comparable à celle de l’Italie. Depuis début janvier 2023, le nombre des décès quotidien (moyenne sur 7 jours) a été divisé par trente, passant de 120 décès/jours à 4 décès jours en 6 mois.
À ce jour, 80,6% des français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, «auraient» reçu une dose de vaccin, 78,4% auraient un schéma vaccinal complet (en 2 ans et 6 mois de campagne). Il faut réaliser que ce schéma vaccinal complet peut l’être par un simple test positif suivi d’une guérison, qui a valeur de «booster» et que 61,2% des français ayant été testés positifs (dont certains plusieurs fois) seraient, en large part, immunisés naturellement. Ces contaminations Omicron ont fortement contribué à accroître le nombre de schémas vaccinaux complets.
Comme partout ailleurs dans le monde, les résultats attendus de la vaccination expérimentale n’ont pas été au rendez-vous, en France. Une forte majorité des vaccinés admet s’être fait vaccinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vaccinés de vivre et de travailler normalement. Un nombre important d’électeurs ont fait payer au président, lors des législatives, une gestion perçue comme dictatoriale et surtout inefficace de la crise sanitaire. Il a perdu sa majorité parlementaire, tout comme Benyamin Netanyahou en Israël quelques mois avant lui et Joe Biden aux USA, et pour les mêmes raisons de déclin économique largement dû à la gestion de la pandémie.
Mais beaucoup de français renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème doses de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle infernal et sans fin de vaccinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vaccins commencent à être connus et documentés et que les nouveaux variants se jouent des vaccins proposés sur le marché et sont de moins en moins létaux. Certains renoncent même au vaccin contre la grippe… (???)
On a été très loin, en France, du consentement «libre et éclairé» requis dans ce genre d’acte médical «expérimental», surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite.
Les chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises et de leurs relais médiatiques qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie et sur bien d’autres sujets de politique intérieure ou étrangère.
Peut-être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde… Bien sûr, elles rendront toujours les nouveaux variants, plus malins qu’elles, et les non vaccinés responsables de l’échec de leur stratégie, sans jamais se poser la question qui tue : Les vaccins expérimentaux anti-Covid, élaborés à la va-vite, ont-ils eu, ou non, un jour ou quelque part, l’efficacité de 95% que Pfizer, multi-condamné pour tromperie aggravée, leur prête ?
Courbe du nombre de tests positifs en France au 1er juillet 2023 0h00 GMT
(en bleu, moyenne sur les 7 derniers jours)
Pour le nombre des décès, la France devrait franchir la barre des 168 000 décès déclarés avant l’automne 2023.
France : courbe des décès quotidiens (en barre grise)
et moyenne quotidienne sur 7 jours (en orange)
Le taux de mortalité Covid français reste, à ce jour, près de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,56 décès pour mille habitants en 3 ans, pour une moyenne mondiale de 0,88/1000h.
Rattrapée par l’Allemagne pour le nombre des décès, la France est passée de la 4ème à la 5ème place européenne (sur 48 pays ou territoires) d