Quand le pseudo collectif féministe Me Too s'acharne sur Adrien Quatennens !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
Info France Inter. Pauline Baron, du Collectif Me Too, trouve que la décision de Adrien Quatennens, de se mettre en retrait de la France Insoumise ne suffit pas. Elle reproche au député du Nord de ne pas avoir abandonné aussi ses fonctions de parlementaire.
Première question :
1)-Qui es-tu, obscure greluche, obscure femmelette surgie de nulle part, ne représentant que toi-même, pour t'arroger le droit de juger de l'attitude de Quatennens, régulièrement élu par le Peuple français, trouvant que son attitude n'est pas assez ceci ou cela ? !
2)-Certainement, la gifle donnée par ce dernier à sa femme est un geste détestable. Mais, pour le juger valablement, il faut le resituer dans les moeurs et coutumes des autres hommes politiques, dans la jurisprudence d'actes équivalents, qui ne sont pas mal non plus.
La violence ignoble faite aux femmes et à leur dignité ne se limite souvent pas hélas à une simple mandale. Elle n'en est pas moins encore plus odieuse. Encore plus violente.
Et personne, parmi ces supposées défenseurs des femmes, ne moufte. Personne n'ose prendre la parole pour défendre la femme blessée, à commencer par le Collectif Me Too, autoproclamé, manipulé, téléguidé comme chacun sait par Macron et la CIA.
Et dont la puissance de bluff et de mise à mort sociale dans le champ politique 2022, est d'autant plus forte, que personne n'a le courage de le remettre fermement à la petite place de conseil, qu'il n'aurait jamais dû dépasser. Et encore !
Souvenons-nous de Mitterrand, de ses nouvelles maîtresses, chaque soir une nouvelle, tout au long de ses deux septennats, 14 ans, que lui procuraient ses rabatteurs, en particulier Jack Lang. Souvent des étudiantes en lettres. A chaque fois, non seulement personne ne s'indignait de la chose : mais nous avions droit à un communiqué de presse, avec le nom de la donzelle. Suivi d'une exclamation de son Directeur de Cabinet : Gilles Ménage, disant en bon courtisan roue : "Quel homme !" (sic).
En 14 ans de triste mitterrandie, jamais personne pour prendre la défense une seule fois de la cause de Danielle Mitterrand, amie de la grande résistante Berty Albrecht et de sa fille Mireille Albrecht, que son père, recteur révoqué par Vichy, avait accueillies secrètement dans sa maison pendant la guerre. Danielle Mitterrand, qui avait enlevé de justesse le bulletin de "Combat", posé à la place des partitions sur le piano, lorsque les allemands débarquèrent, pour chercher les résistants fugitifs.
En 14 ans de Mitterrandie, jamais le sieur Mitterrand n'eut un seul cheveu de déplace, à cause de ses frasques humiliantes pour sa femme légitime, mise publiquement au rancart. Frasques humiliantes aussi pour toutes les femmes, dont l'image, réduite au plaisir du Prince, ne ressortait pas grandie de ces années.
Inversement, et s'agissant Adrien, il faudrait à présent, si on suivait les injonctions de cet odieux collectif autoproclamé "défense des femmes", qui ne me représente nullement. Faux nez évident de Macron et de la CIA, ce qui lui permet, sous des dehors de "féminisme" , de décaniller un tel du champ politique français, qui a déplu. Donc, il faudrait que Adrien abandonne tous ses mandats. Pointe à la soupe populaire.
ON LE VOIT : DEUX POIDS DEUX MESURES !
Le triste procès de Moscou fait à l'élu du Nord. Le fait que le Parquet ait laissé fuité sciemment, volontairement l'info sont au moins aussi odieux, sinon plus que la gifle qu'il a administrée à sa femme. Mais de cela, le plus important, personne ne moufte. P
référant s'acharner sur un homme affaibli par le lynchage public !
Et surtout, qu'on ne me dise pas que Me Too est un "progrès" pour la défense de la Cause des femmes. C"est un "progrès" pour les procès de Moscou, le triste lynchage public, se substituant sans raison et de façon abusive à la Justice de droit commun !
Au passage, à la place Adrien, je ne me serai pas démise illico de mes fonctions de Coordinateur de la FI. J'aurais attendu que la Justice fasse son travail. Et ensuite seulement, si la Justice estimait que j'étais coupable, je me serais demis de mes fonctions, nuance !
L'histoire de Adrien ressemble beaucoup, heureusement en moins grave, à celle de Thomas Piketty, qui a battu sa femme. Pour autant, Piketty n'a pas démissionné de ses fonctions de professeur à l'Ecole d'économie de Paris. On ne comprend pas pourquoi Quatennens cède à des greluches hystériques ?!
Mais il y a longtemps que la Raison n'a plus cours au sein de la FI, et de la classe politique en général, polluées par ses féministes de choc illégitimes ! Les greluches autoproclamées, qui font la Loi comme au Far West, cela suffit !
Dehors, c'est pas plein !