Pouvoir au Peuple exige des augmentations très importantes de salaires, afin de contre-carrer la baisse gigantesque des salaires réels observée depuis les années 1980 !
Propositions sociales du programme Pouvoir au Peuple. Proposition n°33 d'augmentation très importantes des salaires rédigé le 25 août 2023 par Brigitte Bouzonnie
Proposition n°33 : Pouvoir au Peuple exige des augmentations très importantes de salaires, des retraites, et du montant revalorisé de l’allocation du nouveau minima social. Le retour à l’échelle mobile, c’est-à-dire à l’indexation des salaires sur le coût de la vie. Ainsi qu’un grand plan de rattrapage salarial, afin de contre-carrer la baisse gigantesque des salaires réels observée depuis les années 1980.
A)-Constat :
Sur longue période, c’est-à-dire depuis les années 1980, à compter de Mitterrand, et afin de lutter contre la chute du taux de profit du capital, on assiste à une baisse réelle et massive des salaires français avec l’aide de l’Etat totalement contrôlé par le capital, comme le montre l’historienne Madame Annie Lacroix-Riz dans une vidéo intitulée « Les parades du grand patronat à la chute du taux de profit ». En effet, à compter des années 1980, les salaires n’augmentent plus que de +0,7% par an contre +2,25% par an entre 1959 et 1979 (chiffres INSEE).
Cette érosion massive des salaires s’opère en amont et en aval de ce dernier :
a)-On assiste d’abord à une pression gigantesque, forcenée et réitérée du grand patronat sur la masse salariale française. Le coût du travail devient l’épouvantail numéro agité par les patrons : quand bien même les salaires dans la sidérurgie dans les meilleures années n’excédaient pas 5% du coût du capital analyse Madame Lacroix-Riz. Le grand patronat automatise tout ce qu’il peut : autoroutes, supermarchés, etc. Les salariés sont licenciés massivement, ce qui permet d’augmenter le cours de l’action en bourse.
Dans le partage de la valeur ajoutée, le facteur travail perd dix points par rapport au facteur capital.
b)-Mais ce n’est pas tout. Grâce à l‘impôt sur le revenu, chaque année, les salariés sont ponctionnés de leurs revenus au profit du 1% le plus riche. Par exemple, au titre du budget public de l’Etat, 157 milliards sont donnés chaque année en « aides aux entreprises » aux plus hauts revenus. Ils sont pris sur les salaires les plus modestes. Et personne en s’en émeut au sein des organisations syndicales et de la France Insoumise. Pour information, il faut savoir qu’entre 1945 et 1983, le budget de l’Etat permettait de redistribuer d’importante sommes des hauts revenus vers les revenus les plus modestes. En effet, les hauts revenus étaient imposés à hauteur de 40% (chiffre Thomas Piketty), contre 21% aujourd’hui (chiffre Alternatives Economiques). Soit l’exact mouvement contraire ponctionnant les plus riches au profit des plus pauvres, tel qu’il existait dans les années 1960.
B)-Voilà pourquoi Pouvoir au Peuple fait trois propositions de hausse des salaires, retour de l’échelle mobile, diminution de la fiscalité:
-proposition n°32-A (hausse des salaires) : Pouvoir au Peuple se bat pour obtenir une progression substantielle du pouvoir d’achat des salariés. Il exige l’augmentation des salaires directs, dans un premier temps de +20% pour tous les salaires. Aucun salaire ne doit être inférieur à 1500 euros. Il veille à réserver une attention particulière aux bas salaires et aux travaux les plus pénibles.
*Pouvoir au Peuple met en place un grand plan de rattrapage salarial, afin de neutraliser les énormes baisses des salaires réels, hélas subies par la population salariée française, à compter des années 1980. Chaque salarié touchera un capital correspondant au manque à gagner, dont il a été la victime.
Naturellement Pouvoir au Peuple supprime le salaire au mérite : tous les salaires seront revus dans leur globalité et de la même façon.
Pouvoir au Peuple demande aussi l’augmentation des prestations sociales, afin de faire en sorte que les dépenses de santé ne coûtent rien au salarié, chômeur, jeune ou retraité : frais d’hôpital, de spécialiste, de lunettes, etc. : une fois payée la sécurité sociale.
-Proposition 33-B (retour de l’échelle mobile) : Pouvoir au Peuple rétablit l’échelle mobile, c’est-à-dire l’indexation des salaires sur les prix, supprimée en 1983 pour cause de politique de rigueur est rétablie (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple°.
-Proposition 33-C (fiscalite) : Pouvoir au Peuple se bat aussi afin que diminue fortement la pression fiscale pesant sur les petits et moyens contribuables, c’est-à-dire sur 90% des salariés gagnant moins de 3500 euros par mois.
Pouvoir au Peuple supprime toutes les aides aux entreprises donnés chaque année dans le cadre du budget public de l’Etat : soit 157 milliards d’euros qui seront affectés aux budgets sociaux du Peuple français.
Pouvoir au Peuple impose à hauteur de 40% les hauts revenus et surtaxe ces derniers de +20% chaque année (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple)
De façon générale, Pouvoir au Peuple agit fermement, afin que le budget de l’Etat redevienne un budget redistributeur des hauts vers les bas revenus, tel qu’il existait dans les années 1960/1970.
Proposition n°34 : Le rassemblement Pouvoir au Peuple lutte activement contre les inégalités abyssales actuelle : aujourd’hui, on est passe d’un écart des revenus de 1 à 20 dans les années 1960 à un écart de 1 à 400 aujourd’hui (chiffre Martine Orange).
A)-Constat :
Sur longue période, c’est-à-dire depuis les années 1980, à compter de Mitterrand, et afin de lutter contre la chute du taux de profit du capital, on assiste à une baisse réelle et massive des salaires français avec l’aide de l’Etat totalement contrôlé par le capital, comme le montre l’historienne Madame Annie Lacroix-Riz dans une vidéo intitulée « Les parades du grand patronat à la chute du taux de profit ». En effet, à compter des années 1980, les salaires n’augmentent plus que de +0,7% par an contre +2,25% par an entre 1959 et 1979 (chiffres INSEE).
Cette érosion massive des salaires s’opère en amont et en aval de ce dernier :
a)-On assiste d’abord à une pression gigantesque, forcenée et réitérée du grand patronat sur la masse salariale française. Le coût du travail devient l’épouvantail numéro agité par les patrons : quand bien même les salaires dans la sidérurgie dans les meilleures années n’excédaient pas 5% du coût du capital analyse Madame Lacroix-Riz. Le grand patronat automatise tout ce qu’il peut : autoroutes, supermarchés, etc. Les salariés sont licenciés massivement, ce qui permet d’augmenter le cours de l’action en bourse.
Dans le partage de la valeur ajoutée, le facteur travail perd dix points par rapport au facteur capital.
b)-Mais ce n’est pas tout. Grâce à l‘impôt sur le revenu, chaque année, les salariés sont ponctionnés de leurs revenus au profit du 1% le plus riche. Par exemple, au titre du budget public de l’Etat, 157 milliards sont donnés chaque année en « aides aux entreprises » aux plus hauts revenus. Ils sont pris sur les salaires les plus modestes. Et personne en s’en émeut au sein des organisations syndicales et de la France Insoumise. Pour information, il faut savoir qu’entre 1945 et 1983, le budget de l’Etat permettait de redistribuer d’importante sommes des hauts revenus vers les revenus les plus modestes. En effet, les hauts revenus étaient imposés à hauteur de 40% (chiffre Thomas Piketty), contre 21% aujourd’hui (chiffre Alternatives Economiques). Soit l’exact mouvement contraire ponctionnant les plus riches au profit des plus pauvres, tel qu’il existait dans les années 1960.
B)-Voilà pourquoi Pouvoir au Peuple fait trois propositions de hausse des salaires, retour de l’échelle mobile, diminution de la fiscalité:
-proposition n°32-A (hausse des salaires) : Pouvoir au Peuple se bat pour obtenir une progression substantielle du pouvoir d’achat des salariés. Il exige l’augmentation des salaires directs, dans un premier temps de +20% pour tous les salaires. Aucun salaire ne doit être inférieur à 1500 euros. Il veille à réserver une attention particulière aux bas salaires et aux travaux les plus pénibles.
*Pouvoir au Peuple met en place un grand plan de rattrapage salarial, afin de neutraliser les énormes baisses des salaires réels, hélas subies par la population salariée française, à compter des années 1980. Chaque salarié touchera un capital correspondant au manque à gagner, dont il a été la victime.
Naturellement Pouvoir au Peuple supprime le salaire au mérite : tous les salaires seront revus dans leur globalité et de la même façon.
Pouvoir au Peuple demande aussi l’augmentation des prestations sociales, afin de faire en sorte que les dépenses de santé ne coûtent rien au salarié, chômeur, jeune ou retraité : frais d’hôpital, de spécialiste, de lunettes, etc. : une fois payée la sécurité sociale.
-Proposition 33-B (retour de l’échelle mobile) : Pouvoir au Peuple rétablit l’échelle mobile, c’est-à-dire l’indexation des salaires sur les prix, supprimée en 1983 pour cause de politique de rigueur est rétablie (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple°.
-Proposition 33-C (fiscalite) : Pouvoir au Peuple se bat aussi afin que diminue fortement la pression fiscale pesant sur les petits et moyens contribuables, c’est-à-dire sur 90% des salariés gagnant moins de 3500 euros par mois.
Pouvoir au Peuple supprime toutes les aides aux entreprises donnés chaque année dans le cadre du budget public de l’Etat : soit 157 milliards d’euros qui seront affectés aux budgets sociaux du Peuple français.
Pouvoir au Peuple impose à hauteur de 40% les hauts revenus et surtaxe ces derniers de +20% chaque année (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple)
De façon générale, Pouvoir au Peuple agit fermement, afin que le budget de l’Etat redevienne un budget redistributeur des hauts vers les bas revenus, tel qu’il existait dans les années 1960/1970.
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Finalement, le système n’assassine que ceux qui l’acceptent !
Est-ce que tu existes par représentation ? Est-ce que c’est la tienne ? Si tu le sais, c’est bien, point barre ! En revanche, si tu ne le sais pas et que tu veux la donner à quelqu’un libre à toi de la donner !
Dire que « voter ou pas voter ne changera rien » c’est ne rien savoir sur sa #représentativité ! Si quelqu’un dit ça, c’est qu’il ne sait pas qu’il existe par sa propre représentation ! La sienne !
D'où aussi la question "d'Être ou ne pas être", la réponse est évidement Être.
Cela est donc par nature, déjà réglementé dans un rapport à géométrie variable, il n'y a donc pas de liberté sans "LOI", donc de savoir ce qu'il en Est.