Denis Collin : Le fascisme ne vient pas de Mme Le Pen, qui se façonne péniblement une image à la Merkel, respectable et loin de tous les "excès". Le fascisme vient de cette extrême-gauche décérébrée, de toute la frange woke des "insoumis", de R. Diallo et de tous ces gens qui prônent la délation, la surveillance généralisée, réclament toujours plus de répression et imposent progressivement la présomption de culpabilité.
Tous ces gens ne sont pas libéraux, comme on me le dit parfois, mais des antilibéraux radicaux car ils ne détestent rien tant que la liberté, dans les acceptions les plus rudimentaires du mot. On peut se consoler en se disant que les fous ne prennent pas le pouvoir. C'est une erreur. Ils occupent déjà des places importantes avec le soutien de la classe capitaliste transnationale.
(1)-Pour Macron.