1°)- Brigitte Bouzonnie : Avec mon ami Dominique Kern, nous évoquons les très beaux romans policiers gauchistes rédigés par Thierry Jonquet. Notre livre préféré : Les Orpailleurs (Gallimard, coll. « Série noire » no 2313, 1993 . Jonquet raconte comment les juifs ont enterré leur or près du camp de Auchwitz, persuadés de pouvoir bientôt le récupérer. Et les recherches cupides effectuées par tous ceux qui veulent s’enrichir sans effort…!
J’aime aussi beaucoup “Comédia”, livre de Jonquet pas très connu, mais très politique, très historique…!
L’occasion de ressortir la fiche que lui consacre Wikipedia. Il le mérite.
2°)-Wikipedia :
Thierry Jonquet
BiographieNaissance19 janvier 1954
Paris
Décès9 août 2009 (à 55 ans)
Paris
SurnomMartin Eden
Ramón MercaderNationalitéFrançaise
FormationLycée Charlemagne
Université Paris-Est-Créteil-Val-de-Marne
ActivitésÉcrivain, scénariste, auteur de littérature pour la jeunesse, auteur de roman policier
Autres informationsParti politiqueLigue communiste révolutionnaire
Site webwww.thierryjonquet.fr
Distinctions3 Trophées 813
Prix Mystère de la critique 1994 & 1999
Médaille d’honneur de la LICRA
Œuvres principales
La Vie de ma mère !
Du passé faisons table rase
Jours tranquilles à Belleville
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Thierry Jonquet est un écrivain français, né le 19 janvier 1954 dans le 14e arrondissement de Paris et mort à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris le 9 août 2009. Auteur rattaché au genre littéraire du néo-polar, il a écrit des romans noirs où se mêlent les faits divers et la satire politique et sociale. Il a également publié sous les pseudonymes de Martin Eden et Ramón Mercader1, et utilisé les noms de Phil Athur et Vince-C. Aymin-Pluzin lors d'ateliers d'écriture.
Sommaire
Biographie[modifier | modifier le code]
Thierry Jonquet a une enfance marquée par le cinéma. Il fait ses études secondaires au lycée Charlemagne à Paris, puis étudie la philosophie à l'université de Créteil et, plus tard, l'ergothérapie. Il travaille ainsi en gériatrie.
Devant le spectacle de la mort omniprésente, il commence à écrire pour raconter l'horreur et pour rendre hommage à un pensionnaire avec qui il s'était lié d'amitié. Lassé de l'environnement hospitalier, il brigue un poste d'instituteur. Il se voit affecté à un centre de neuropsychiatrie infantile. Puis il est nommé par l'Éducation nationale dans les cités de banlieue du nord de Paris où il est responsable d'une classe de section d'éducation spécialisée.
Tous ces métiers, qui l'ont mis en contact avec les « éclopés de la vie », « lui (ont) permis de découvrir le monde des vieillards oubliés, des handicapés, des délinquants, tableau complet de la défaillance de nos sociétés »2. Lorsque Thierry Jonquet découvre assez tardivement les romans de la Série noire, il peut faire le lien entre la violence du réel et la violence littéraire. Il publie son premier roman, Mémoire en cage, en 1982.
Si les romans sont de pures fictions où il réinvente la réalité, il puise dans les faits divers, en revendiquant une totale liberté. Son roman Moloch lui vaut ainsi un procès. Bien que ses romans mettent en scène une société malade qui engendre la violence, la haine, le désir de vengeance, Thierry Jonquet refuse de porter l'étiquette d'auteur engagé. Même s'il ne cache pas qu'il est un homme de gauche, ses convictions ne s'expriment que très discrètement dans son œuvre. Thierry Jonquet mène de front deux activités distinctes — celle de scénariste et celle de romancier. Les personnages de son roman Les Orpailleurs ont donné naissance à une série télévisée, Boulevard du Palais. Il est aujourd'hui reconnu comme l'un des grands auteurs de romans noirs et ses livres sont autant de réussites de construction, d'angoisse et d'intelligence narrative3[source insuffisante].
Son roman Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte est adapté par Emmanuel Carrère pour la télévision sous le titre Fracture en 2010, pour un téléfilm réalisé par Alain Tasma.
Mygale est adapté en 2011 au cinéma par le réalisateur espagnol Pedro Almodóvar, sous le titre La piel que habito.
Il raconte son engagement militant à Lutte ouvrière, puis à la Ligue communiste révolutionnaire et Ras l'Front dans Rouge c'est la vie, où il disait de lui :
« J'écris des romans noirs. Des intrigues où la haine, le désespoir se taillent la part du lion et n'en finissent plus de broyer de pauvres personnages auxquels je n'accorde aucune chance de salut. Chacun s'amuse comme il peut4. »
Lors de ses obsèques, un certain nombre d'anciens militants de la LC/LCR sont présents dont Romain Goupil.
Pseudonymes[modifier | modifier le code]
Thierry Jonquet utilise quatre pseudonymes pendant sa carrière :
Il publie trois romans sous le pseudonyme de Ramón Mercader, le nom de l'assassin de Léon Trotski5.
Sous le pseudonyme collectif de Martin Eden, il met sous forme de roman pour Presses Pocket en 1989 deux épisodes de la série télévisée David Lansky scénarisée par Frédéric H. Fajardie, qui met en scène un commissaire joué par Johnny Hallyday.Jonquet connaissait à l'époque quelques difficultés financières et a été démarché par le directeur de la collection. Une expérience d'écriture automatique, assez inattendue[réf. nécessaire] selon lui6.
Il utilise également deux autres pseudonymes, pour deux ateliers d'écriture : Phil Athur et Vince-C. Aymin-Pluzin7.
Œuvres[modifier | modifier le code]
Romans[modifier | modifier le code]
Mémoire en cage (Albin Michel, coll. « Sanguine » no 6, 1982 ; édition revue et corrigée, Gallimard, coll. « Série noire » no 2397, 1995 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier », no 119, 1999)
Le Bal des débris (Fleuve noir, coll. « Spécial Police » no 1848, 1984 ; réédition, Points, coll. « Roman noir » no P2293, 2010)
Mygale (Gallimard, coll. « Série noire » no 1949, 1984 ; édition revue et corrigée, Gallimard, coll. « Folio » no 2684, 1995 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier », no 52, 1999)
La Bête et la Belle (Gallimard, coll. « Série noire » no 2000, 1985 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier », no 106, 1999)
Le Manoir des immortelles (Gallimard, coll. « Série noire » no 2066, 1986 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier », no 287, 2003)
Le Secret du rabbin (Clims, 1986 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier », no 199, 2001)
Comedia (Payot, coll. « Roman », 1988 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier », no 390, 2005)
Le pauvre nouveau est arrivé ! (Manya, 1990)
Les Orpailleurs (Gallimard, coll. « Série noire » no 2313, 1993 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier » no 2, 1998 - Prix des lecteurs des CE de Saint-Nazaire, Prix Mystère de la Critique, Trophée 813 du meilleur roman, Prix Polar Michel Lebrun)
La Vie de ma mère ! (Gallimard, coll. « Série noire » no 2364, 1994)
Moloch (Gallimard, coll. « Série noire » no 2489, 1998 ; réédition, Gallimard, coll. « Folio policier », no 212, 2001) - Trophée 813 du meilleur roman 1998, prix Mystère de la Critique 1999)
Ad vitam æternam (Seuil, coll. « Fiction & Cie », 2002)
Mon vieux (Seuil, 2004)
Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte (Seuil, 2006 ; réédition, Points, coll. « Roman noir » no P1814, 2007), titre emprunté au poème de Victor Hugo À ceux qu’on foule aux pieds
Vampires (Seuil, 2011 ; réédition, Points, coll. « Roman noir » no P2746, 2012), roman inachevé, publié à titre posthume
Récits[modifier | modifier le code]
Quelques dimanches en bord de Marne : de Charenton-le-Pont à Meaux (Amattéis, 1990, avec des photographies de Patrick Bard)
L'Enfant de l'absente, avec Jacques Tardi et Jacques Testart (Le Seuil, coll. « La Dérivée », 1994)
La Banlieue des quatre dimanches (Le Parcours, 1996, avec des photographies de Patrick Bard)
Rouge c’est la vie (Seuil, coll. « Fiction & Cie », 1998)
Jours tranquilles à Belleville (Méréal, coll. « Black process », 1999)
Recueils de nouvelles[modifier | modifier le code]
La Vigie et autres nouvelles (L’Atalante, coll. « Insomniaques & ferroviaires », 1998)
La Folle aventure des Bleus… suivi de DRH (Gallimard, coll. « Folio 2 € » no 3966, 2004)
400 coups de ciseaux et autres histoires (Seuil, coll. « Seuil Policiers », 2013 ; réédition, Points, coll. « Roman noir » no P3222, 2014)
Ouvrages de littérature d'enfance et de jeunesse[modifier | modifier le code]
Romans[modifier | modifier le code]
On a volé le Nkoro-Nkoro (Syros jeunesse, coll. « Souris noire » no 8, 1986)
L’Ogre du métro (Nathan, coll. « Arc-en-poche » no 873, 1988 ; réédition sous le titre Lapoigne et l’ogre du métro, Nathan, coll. « Pleine lune policier » no 4, 1994)
Paolo Solo (Nathan, coll. « Arc-en-poche » no 611, 1989)
Pourquoi demander la lune ? (Nathan, coll. « Marque-page », 1990)
Un enfant dans la guerre (Gallimard Jeunesse, coll. « Page blanche », 1990)
Belle-Zazou (Mango poche, coll. « Série verte » no 8, 1993 ; réédition sous le titre Les Fantômes de Belleville, Mango jeunesse, 2002)
Lapoigne et la fiole mystérieuse, Paris, Nathan, coll. « Arc-en-poche » no 650, 1993 ; ill. par Erwann Surcouf, Paris, Gallimard jeunesse, coll. « Folio junior » no 1403, 2006 (ISBN 2-07-057180-7)
La Bombe humaine (Syros jeunesse, coll. « Souris noire » no 4, 1994 ; réédition sous le titre L'Homme en noir (Mango jeunesse, coll. « Biblio Mango » no 307, 2003)Sur la prise d'otages de la maternelle de Neuilly en mai 1993.
Lapoigne à la chasse aux fantômes (Nathan, coll. « Pleine lune policier » no 31, 1995)
Lapoigne à la Foire du Trône (Nathan, coll. « Pleine lune policier » no 72, 1997)
Ateliers d'écriture[modifier | modifier le code]
Plus de toutous du tout (Ville de Rennes, 1991, sous le pseudonyme de Phil Athur)
C’est trop ! (Ville de Rennes, 1991, sous le pseudonyme de Vince C. Aymin Pluzin)
Sur la piste de Bostanzim (Findakly, 1999)
Nouvelles[modifier | modifier le code]
Le Témoin (in Pages noires, Gallimard, coll. « Page noire », 1995)
Nadine (in À mots ouverts, manuel scolaire de français de classe de 5e, sous la dir. de Alain Pagès, Nathan, 2001)
Romans sous pseudonymes[modifier | modifier le code]
Sous le pseudonyme de Ramón Mercader[modifier | modifier le code]
Du passé faisons table rase (Albin Michel, coll. « Sanguine » no 14, 1982) > réédité sous le nom de Thierry Jonquet chez Gallimard, coll. « Folio policier », no 404, 2006)
Cours moins vite, camarade, le vieux monde est devant toi ! (Fleuve noir GF, 1984)
URSS Go Home ! (Fleuve noir GF, 1985)
Sous le pseudonyme de Martin Eden[modifier | modifier le code]
Seuls les deux titres de la série David Lansky mentionnés ci-dessous ont été écrits par Thierry Jonquet.
L’Enfant américain (Presses Pocket no 3332, série David Lansky no 3, 1989, novélisation)
Le Gang des limousines (Presses Pocket no 3333, série David Lansky no 5, 1989, novélisation)
Bandes dessinées, avec Jean-Christophe Chauzy[modifier | modifier le code]
La Vigie (scénario), avec Jean-Christophe Chauzy (dessin), Casterman, 2001 (ISBN 2-203-38976-1)8
La Vie de ma mère (scénario), Casterman, coll. « Un monde »9 :
Face A, 2003 (ISBN 2-203-39003-4)
Face B, 2003 (ISBN 2-203-39110-3)
D.R.H. (scénario), Casterman, 2004 (ISBN 2-203-39128-6) (Adapt. par T. Jonquet de sa pièce radiophonique La Leçon de management)
Du papier faisons table rase (scénario), Casterman, coll. « Un monde »2006 (ISBN 2-203-39138-3)
Filmographie[modifier | modifier le code]
Scénariste[modifier | modifier le code]
1990 : Hallali, épisode de la série télévisée Les Cinq Dernières Minutes, réalisé par Patrick Bureau, avec Jacques Debary, Marc Eyraud et Gérard Blain
1992 : Peintures de guerre, téléfilm réalisé par Stéphane Kurc, avec Jean-François Stévenin, Constanze Engelbrecht, Roland Amstutz
1995 : Dérive mortelle, épisode de la série télévisée Le juge est une femme, réalisé par Claude Grinberg, avec Florence Pernel, Jean-Pierre Cassel et Macha Méril
2001 : Le Prix d'un homme, épisode de la série télévisée Les Enquêtes d'Éloïse Rome, avec Christine Citti, Jean-Baptiste Martin, Marc Berman et Valérie Kaprisky.
2008 : Résolution 819, téléfilm de Giacomo Battiato, avec Benoît Magimel, Hippolyte Girardot, Karolina Gruszka.
Auteur adapté[modifier | modifier le code]
1998 : On a volé le Nkoro-Nkoro, épisode de la série Souris noire, réalisé par Michel Favart, d'après le roman éponyme.
1999 - 2017 : Boulevard du Palais, série télévisée dont les personnages sont inspirés de son roman Les OrpailleursEn 2010, dans la saison 12 épisode 3 (Trop jeune pour toi), un hommage est rendu à l'auteur et un de ses livres, Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte, fait une brève apparition sur le bureau du commandant Philippe Rovère.
2005 : Les Feux de l'enfer, épisode de la série télévisée Les Enquêtes d'Éloïse Rome réalisé par Christophe Douchand, d'après une nouvelle inédite de Thierry Jonquet, avec Christine Citti, Jean-Baptiste Martin, Marc Berman et Smaïl Mekki.
2010 : Fracture, téléfilm de Alain Tasma, d'après Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte.
2011 : La piel que habito, film de Pedro Almodóvar, d'après Mygale, avec Antonio Banderas, Elena Anaya, Jan Cornet
Prix et distinctions[modifier | modifier le code]
1985 : Trophée 813 du meilleur roman pour La Bête et la Belle10 .
1993 :
Trophée 813 du meilleur roman 1993, pour Les Orpailleurs10.
Prix des lecteurs des C.E. de St-Nazaire, pour Les Orpailleurs.
Prix Mystère de la critique, pour Les Orpailleurs11.
Prix du roman policier francophone de la ville du Mans pour Les Orpailleurs12.
1994 : Prix du Zinc - Fête du livre de Montmorillon, pour Les Orpailleurs.
1998 : Trophée 813 du meilleur roman francophone pour Moloch10.
1999 : Prix Mystère de la critique pour Moloch11.
2003 : Prix des Lecteurs Marque-pages - Bibliothèque Anne-Frank de Saint-Nazaire, pour Ad vitam aeternam.
2004 : Prix littéraire de la Ville des Sables-d'Olonne - Festival Simenon, pour Mon vieux.
2007 : Médaille d’honneur de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) pour Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte13,14.
Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ Jean Tulard, Dictionnaire du roman policier, 1841-2005 : auteurs, personnages, œuvres, thèmes, collections, éditeurs, Fayard, 2005, p. 382
↑ préface Thierry Jonquet, La folle aventure des bleus : Suivi de DRH, Paris, Gallimard (no 3966), 2003, 91 p. (ISBN 978-2-07-042946-2).
↑ « Thierry Jonquet est mort » [archive], NouvelObs.com, 10 août 2009 (consulté le 10 août 2009).
↑ « Décès de l'auteur de romans noirs Thierry Jonquet » [archive], Le Point, 10 août 2009 (consulté le 10 août 2009).
↑ Temps noir, mars 2005, no 9, p. 41.
↑ Page Pseudonymes du site Thierry Jonquet de J.M. David. [archive]
↑ Fabien Tillon, « Le Caporal épingleur », BoDoï, no 44, août-septembre 2001, p. 22.
↑ Xavier Glaizes, « Ta mère en débé », BoDoï, no 60, février 2003, p. 18.
↑ Revenir plus haut en :a b et c Palmarès trophées 813 [archive]
↑ Revenir plus haut en :a et b Palmarès du prix Mystère de la Critique [archive]
↑ Palmarès prix du roman policier francophone de la ville du Mans [archive]
↑ Voir littérature de la Shoah.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Claude Mesplède (dir.), Dictionnaire des littératures policières, vol. 2 : J - Z, Nantes, Joseph K, coll. « Temps noir », 2007, 1086 p. (ISBN 978-2-910686-45-1, OCLC 315873361), p. 51-54
Bibliographie critique[modifier | modifier le code]
Entretien avec Thierry Jonquet, « "Jours tranquilles à Belleville". » [archive], Sociétés & Représentations, 1/2004 (no 17), p. 183-192.
« Dossier Thierry Jonquet », sous la direction de Jean-Marie David, Temps noir no 9, mars 2005, p. 4-85. Articles de Natacha Levet et David Le BretonDébut de l'entretien à lire en ligne [archive].
« Thierry Jonquet : entretien », par Jean-Marie David, Temps noir no 13, 1er semestre 2010, p. 267-280.
J-M Grimaud, « Du papier faisons table rase » [archive], sur BD Gest', 12 octobre 2006.
Signé Fufu, « D.R.H. » [archive], sur BD Gest', 15 novembre 2004.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Un chroniqueur des temps modernes sur revue-texture [archive]
(en) Thierry Jonquet [archive] sur l’Internet Movie Database
Hommage à Thierry Jonquet [archive] : Rue89-Nouvel Obs. - Mort d'un très grand romancier engagé
Ressources relatives à l'audiovisuel
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Ressource relative à la bande dessinée
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Ressource relative à la littérature
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Ressource relative à la recherche
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[masquer]v · mLauréats du prix Mystère de la critique : prix du meilleur roman françaisAnnées 1970-1990Albert Simonin (1972) · Fred Kassak (1973) · Boileau-Narcejac (1974) · Raf Vallet (1975) · Louis C. Thomas (1976) · A. D. G. et Georges-Jean Arnaud (1977) · Michel Grisolia (1978) · Alain Demouzon (1979) · Jean Vautrin (1980) · Jean-François Coatmeur (1981) · Brice Pelman (1982) · Albert Davidson (1983) · Tito Topin (1984) · Pierre Magnan (1985) · Jean Amila (1986) · Didier Daeninckx (1987) · Daniel Pennac (1988) · Patrick Raynal (1989) · Joseph Bialot (1990) · Jacques Syreigeol (1991) · Tonino Benacquista (1992) · Jean-Bernard Pouy (1993) · Thierry Jonquet (1994) · Jean-Hugues Oppel (1995) · Fred Vargas (1996) · Pascal Dessaint (1997) · Hugues Pagan (1998) · Thierry Jonquet (1999)Années 2000-2020Fred Vargas (2000) · Alain Demouzon (2001) · Dominique Manotti (2002) · Claude Amoz (2003) · Michèle Rozenfarb (2004) · Hervé Le Corre (2005) · Jean-Hugues Oppel (2006) · Dominique Manotti (2007) · Pascal Dessaint (2008) · Caryl Férey (2009) · Hervé Le Corre (2010) · Marin Ledun (2011) · Marcus Malte (2012) · Olivier Truc (2013) · Romain Slocombe (2014) · Nicolas Mathieu (2015) · DOA (2016) · Cloé Mehdi (2017) · Franz Bartelt (2018) · Patrick Pécherot (2019) · Thomas Cantaloube et Richard Morgiève (2020) · Sébastien Rutés (2021)
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