On a eu Yvonne (De Gaulle), et on s'est moqué d'Yvonne pas très moderne... Puis on a eu Carla....!
Article rédigé par Danièle Malas et Brigitte Bouzonnie
1)-Danielle Malas écrit : "On a eu Yvonne et on s'est moqué d'Yvonne pas très fun, Yvonne, bonne mamie gâteau. Puis on a eu Anne-Aymone, on s'est moqué : "trop bourgeoise". On a eu Danielle, la "trompée".
Puis on a eu Bernie (Bernadette Chirac) et ses sacs à main. La risée de la bien-pensance de gauche. Puis on a eu qui déjà après, ah oui un défilé de prétendantes au statut de 1ere dame sans l'être vraiment,.........Puis on a Brigitte !!!!!! Ces robes courtes révélant des genoux cagneux, limite anorexique, son regard d'accro à des substances illicites........Je crois que je vais finir par me sentir mieux au sein d'une communauté moins "évoluée". En tout cas, bien heureuse de vivre chez les RIENS. Parce que chez les REUSSIS, on dirait bien que c'est pas bien abouti...!
2)-Brigitte Bouzonnie : Danielle a oublié de parler de Carla, choisie dans un groupe de "prétendantes" sélectionné par Séguéla. Devenue femme officielle de Sarkosy, en lieu et place d’Isabelle Adjani, autre pressentie, qui a préféré lâcher l’éponge. Et bien sûr, Claude Pompidou en 1969, dont on aimait bien l'air un peu ahuri, posant sagement à côté de son mari, Monsieur gros sourcils...
Ah ! On en a vu passer du beau monde. Les femmes de Président, c'était quelque chose...! Dire que les insoumis voulaient à une époque supprimer la Cinquième et la Présidence de la République toute puissante : c'est sûr que ce serait moins kitch. Même si, avec les épouses récentes, entre Yvonne et Carla : quelle dégringolade morale de l’image de la femme bourgeoise française !
Je me souviens de cet article rédigé par Domi, où il traite Carla de “call-girl” (sic). Lorsque je l’ai lu, j’ai tout de suite pensé à Yvonne, la pauvre, qui ne mérite pas une telle succession…. Si Yvonne peut lire l’article de Domi, de sa place au Paradis, elle doit se retourner dans sa tombe. Imperturbablement. Façon centrifugeuse !
C’est comme la 2 CV de Bourvil dans Le corniaud : depuis ces dernières années, notre machine a rêves (gentillets), lorsqu’on regarde nos premières Dames, fonctionne beaucoup moins bien !
Vivent les Riennes et les Riens ! Vivent les sans nom les sans grade ! Elles et eux au moins ont un peu de morale !