Nord Stream : refus du gouvernement allemand de répondre à une question d'une députée sur la présence de navires dans la zone, au moment du sabotage !
Article rédigé le 18 octobre 2022 par Eric Verschorre sur son mur Facebook : je le remercie.
UUn récent post sur ce mur parlait du refus du gouvernement allemand de répondre à une question d'une députée sur la présence de navires dans la zone, au moment du sabotage. Raison invoquée: sécurité nationale, une telle information pouvant avoir un effet néfaste sur "le bien-être du pays".
Une réponse qui dit que le suspect ne peut pas être nommé, et tout le monde sait quel suspect ne peut pas être nommé.
Le 10 octobre, la Suède (qui contrôle la zone de sabotage) a indiqué refuser la demande de la Russie concernant le partage des informations, invoquant la "confidentialité associée au investigations préliminaires" par le droit suédois. Mais elle reconnait par ailleurs le droit des Russes d'aller voir pour eux-mêmes, sachant que tout indice compromettant aura déjà été enlevé.
Le 14 octobre, la Suède a refusé de se joindre à une équipe internationale, une proposition de l'agence européenne EuroJust, à laquelle devaient aussi collaborer le Danemark et l'Allemagne. Raison invoquée: un tel accord impliquerait le partage des informations suédoises avec ses partenaires, ce qui irait à l'encontre de la sécurité nationale suédoise.
Il semble que le Danemark a également refusé cette collaboration. Et la police fédérale allemande a remis son rapport d'enquête au gouvernement.
Quel aspect de l'enquête pourrait impacter la sécurité nationale suédoise, au point de ne vouloir la partager avec personne? La seule hypothèse un peu raisonnable, à nouveau, est que l'enquête incrimine celui-qui-ne-peut-pas-être-nommé, cad à dire les USA ou un allié.
Comme on l'a vu au début de l'affaire Assange, où il était faussement accusé de viol (plainte finalement retirée) via un procureur suédois aux ordres des USA, afin de le coincer, la Suède est un vassal des USA et tout refus de se soumettre pourrait lui valoir quelques rétorsions.
Pour l'Allemagne, c'est encore pire. Elle paie aujourd'hui son infidélité (ou son courage) d'avoir construit Nord Stream malgré l'opposition farouche des USA. Pourquoi l'Allemagne, aujourd'hui, accepte de se suicider au bénéfice des USA, fera sans doute l'objet de nombreuses thèses de géopolitique dans les années à venir.
L'Europe est attaquée, et la Russie n'est qu'un faux nez. Von der Hyène et sa clique sont des traitres par essence, se vendant au plus offrant. Les dirigeants nationaux, tels Macron et Scholz, comprennent sans doute ce qu'il se passe, mais choisissent de se soumettre. La violence dans l'arrière-salle doit être assez extrême quand même, pour que nous en arrivions là.
0 commentaires, une telle information pouvant avoir un effet néfaste sur "le bien-être du pays".
Une réponse qui dit que le suspect ne peut pas être nommé, et tout le monde sait quel suspect ne peut pas être nommé.
Le 10 octobre, la Suède (qui contrôle la zone de sabotage) a indiqué refuser la demande de la Russie concernant le partage des informations, invoquant la "confidentialité associée au investigations préliminaires" par le droit suédois. Mais elle reconnait par ailleurs le droit des Russes d'aller voir pour eux-mêmes, sachant que tout indice compromettant aura déjà été enlevé.
Le 14 octobre, la Suède a refusé de se joindre à une équipe internationale, une proposition de l'agence européenne EuroJust, à laquelle devaient aussi collaborer le Danemark et l'Allemagne. Raison invoquée: un tel accord impliquerait le partage des informations suédoises avec ses partenaires, ce qui irait à l'encontre de la sécurité nationale suédoise.
Il semble que le Danemark a également refusé cette collaboration. Et la police fédérale allemande a remis son rapport d'enquête au gouvernement.
Quel aspect de l'enquête pourrait impacter la sécurité nationale suédoise, au point de ne vouloir la partager avec personne? La seule hypothèse un peu raisonnable, à nouveau, est que l'enquête incrimine celui-qui-ne-peut-pas-être-nommé, cad à dire les USA ou un allié.
Comme on l'a vu au début de l'affaire Assange, où il était faussement accusé de viol (plainte finalement retirée) via un procureur suédois aux ordres des USA, afin de le coincer, la Suède est un vassal des USA et tout refus de se soumettre pourrait lui valoir quelques rétorsions.
Pour l'Allemagne, c'est encore pire. Elle paie aujourd'hui son infidélité (ou son courage) d'avoir construit Nord Stream malgré l'opposition farouche des USA. Pourquoi l'Allemagne, aujourd'hui, accepte de se suicider au bénéfice des USA, fera sans doute l'objet de nombreuses thèses de géopolitique dans les années à venir.
L'Europe est attaquée, et la Russie n'est qu'un faux nez. Von der Hyène et sa clique sont des traitres par essence, se vendant au plus offrant. Les dirigeants nationaux, tels Macron et Scholz, comprennent sans doute ce qu'il se passe, mais choisissent de se soumettre. La violence dans l'arrière-salle doit être assez extrême quand même, pour que nous en arrivions là.
L'auteur probable du sabotage est la Russie, qui d'un coup interrompt tout approvisionnement de gaz russe a l'Europe; Résultat de ce mauvais calcul: des milliards de revenus en moins, perdus a tout jamais, car l'Europe dans les 2 prochaines années aura remplace le gaz russe avec du gas provenant de 10 ou 12 autres pays