Mélenchon traite les salariés gagnant 3000 euros par mois, de "crevards à 3000 euros"(sic).
1°)- Résumé de l’article : Mélenchon traite avec arrogance les salariés gagnant 3 000 euros par mois de “crevards à 3000 euros”(sic). Ce qui montre la prolophobie (haine du populaire) du personnage. Le même qui, resté 35 ans au parti “socialiste”, Parti de gauche, France Insoumise, quémandant ensuite, toute honte bue, les suffrages des sans nom, des sans grade que nous sommes, afin de conserver son statut de nouveau riche de la politique.
La réponse du berger à la bergère n’a pas tardé. Les “crevards”(sic) lui ont répondu sec, à l’occasion du scrutin des Régionales et Départementales des 20 et 27 juin 2021. Ils se sont abstenus massivement, montrant ainsi leur colère vis à vis de la classe politique française en général. Mélenchon en particulier, qui les méprise si ouvertement. Résultat : lui qui rassemblait plus de 7 millions d(‘électeurs aux élections présidentielles de 2017, ne compte plus qu’un petit million d‘électeurs, soit à peine 15% de son score de 2017.
Comme écrit Eric Baugrand : “Ce n’est qu’un parasite profiteur du système. Une suceuse de babouches comme électorat. Voilà qu’il fait à peine cinq pour cents des voix, tout au plus. Lui qui refuse de divulguer son patrimoine et son capital. Ce qui en dit long sur son honnêteté. Un bon séjour au goulag cher camarade lui ferait le plus grand bien, ainsi que la saisie de tout ce qu’il procède, acquis grâce aux cotisations de ses camarades”(sic).
Je remercie mon camarade Marc Lebas d’avoir posté sur son mur Facebook les chiffres de la dégringolade méritée de l’arrogant Mélenchon.
2°)- Article :
Dans une vidéo que vient de me faire connaitre mon amie Marie-Luce, l'auteur dénonce l'arrogance de Mélenchon : notamment lorsqu'il dit le jour de la perquisition du 16 octobre 2017 :"La République, c’est moi !"(sic) : sous entendu, vous autres, qui n'êtes pas députés, êtes des sous-m. au bas mot. en comparaison !
Cela me rappelle le jour où il a traité les salariés qui gagnent 3000 euros par mois "de crevards à 3000 euros" (sic) sous-entendu : qu'il gagnait au moins le double. Et que seuls ces derniers étaient intéressants.
Quant à ceux qui ne gagnent pas 3000 euros, ce sont carrément des intouchables, croupissant dans l'obscurité, hors du regard de Mélenchon. Et donc, hors de toute lumière du jour, comme il pense en toute modestie.
Cela me rappelle aussi le 13 juin 2009. Ce jour là, il y avait une journée syndicale nationale. Les militants du PG du XIIIème arrondissement avaient fait un "point fixe" Boulevard de l'Hôpital, près de la gare d'Austerlitz, où le défilé devait passer.
On a vu arriver tous les permanents du PG, qui se sont déguisés, le terme n'est pas trop fort. Maladroitement, ils se sont mis des badges, pour faire croire qu'ils étaient les militants de base. La maitresse de JLM de l'époque a sorti sa crème à bronzer : j'en rigole encore... ! Naturellement, sur les photos publiées ensuite sur le site du PG, on n'a vu qu'eux. Venant de l'entourage pourri de JLM, une telle comédie misérable, dans le seul but de frimer, ne me surprend absolument pas...!
Puis on a vu arriver JLM, faisant claquer amoureusement ses boots en marchant, histoire de montrer qu'il n'était pas n'importe qui. Comme aurait dit Alain Badiou : "gens qui ne sont pas pour eux même des gens de peu, gens qu'on prendra garde de ne pas tenir pour des gens de rien" (sic) ("Le réveil de l'Histoire", édition Lignes, 2012).
Puis il a entreprise un vague tour de piste : d'abord tout sourire avec les "faux", car il les connaissent bien. Puis de façon distraite et arrogante pour les vrais militants : spectacle vraiment insupportable quand tu sais à quel point, on s'était tous défoncés comme des bêtes pour la campagne des Européennes de juin 2009, où il avait fait 6,3% : collages la nuit (Manuel Bompard et Julien Barrois), tractages de l'autocollant 'casses toi pov con", qui faisait un tabac ; manifs contre Sarkosy, etc... Spectacle à vomir, que je me suis vue taper du pied de colère, devant tant de suffisance. Et je revois son étonnement, suite à mon geste parti tout seul !
Huit ans plus tard, lors de la perquisition au siège du PG, lorsqu'il a dit : "La République c'est moi", que donc une nouvelle fois, il ne se prenait pas pour la moitié d'une boite d'allumettes , j'ai repensé à sa puanteur, à sa hauteur, lors de la journée du 13 juin 2009, pas loin de la gare d'Austerlitz, où on avait fait un point fixe....!
Et si je raconte ces anecdotes aujourd'hui, c'est pour que chacune, chacun comprenne combien ces gens là ne sont pas de vrais défenseurs du Peuple qui souffre : classes populaires et petites classes moyennes paupérisées. Combien il faut s'organiser, faire de la politique sans eux, c'est à dire sans professionnels de la politique, vivant pour et par la politique !
Voilà pourquoi le programme du rassemblement « Pouvoir au Peuple » exige la suppression pure et simple de tous les parlementaires : députés et sénateurs. La Politique doit être une pure affaire de bénévoles, comme le sont les facebookiens, VKiens, etc. Sinon, on trouvera toujours des gusses pour faire de la Politique : non pas pour défendre sincèrement l'emploi et les fin de mois des plus faibles : mais pour se faire du fric, comme l'inénarrable Corbière, ses petites emplettes chez Hédiard ; les grandes boucles d'oreille Chanel de Madame (Garrido)... !