Macron, dos au mur, a recours aux moyens les plus violents...!
Article rédigé par Claude Bourdet, Brigitte Bouzonnie et Michel Bakounine
LE MACRONISME, SIMPLE IDEOLOGIE DE LA CLASSE DOMINANTE... !
1)-Claude Bourdet écrit à propos du régime de Vichy : "On n’avait pas besoin d’être marxiste pour constater que la Classe dirigeante s’était emparée de la France, pour la gérer à son profit, comme il ne lui avait pas été possible de le faire depuis le Second Empire.
Une classe sociale toute entière (Classe dominante) était imprégnée de cet état d'esprit, même s'il y a eu de notables exceptions. Le régime de Vichy, grâce à la défaite, a pu mettre en forme cette politique (au seul profit de la Classe dominante), la faire monter au niveau de la conscience, la révéler au grand jour comme étant une "nécessité". Mais c'est parce qu'elle correspondait bien à un état d'esprit aussi général qu'il y eut si peu de résistance dans l'armature politique, administrative, militaire et économique de la société ( classe dominante).
Toutefois, il ne faut pas sous-estimer l'effet propre de l'instauration de ce régime. Le caractère "prestigieux" du Maréchal, la garantie de "patriotisme" qu'il donnait à ses partisans ont permis à la bonne conscience de se développer à une échelle inimaginable sans cela" (sic), extrait de "L'aventure incertaine", réédition du Félin, 1998.
2)-Brigitte Bouzonnie : La macronie ressemble trait pour trait au Pétainisme. Il n’y a pas besoin d’être marxiste, pour comprendre, qu’avec Macron, et en réaction aux mobilisations contre le projet de loi anti Khomry de l’année 2016, la Classe dirigeante s’est emparée de la France, pour la gérer à son profit, comme il n’avait pas été possible de le faire depuis les années noires de la Collaboration.
Comme Pétain, Macron n'est pas surgi de nulle part. Les idées ultralibérales de Macron correspondent à ce que pensent depuis toujours la Classe dominante française et américaine : Hillary Clinton, Biden. Les banques et les grands groupes américains. Le Medef et les grands patrons français milliardaires. Bercy aussi. Mais aussi les "Gracques", hauts fonctionnaires aussi libéraux que lui, se réunissant régulièrement depuis 10 ans.
Le "macronisme", c'est la pure idéologie de la Classe dominante. Sans aucun compromis, même avec les cadres supérieurs et les professions intellectuelles, qui soutiennent pourtant le système depuis le milieu des années 70. Classes moyennes grâce à qui la société française est devenue la "Belle au Bois dormant" analyse Todd (cf entretien du 1er juillet 2016 sur le site Atlantico).
Ce n'est pas un hasard si on nous vend la casse du code du travail (demandée depuis toujours par le patronat), comme une "nécessité"(sic) : celle sensée nous permettre de lutter contre le chômage de masse" (sic), une pure galéjade...!.
Certes dans les têtes et dans les coeurs, Macron n'a pas le "prestige" de Pétain. Il n'existe aucun phénomène d'enrôlement des consciences, au sens où l’utilisait Spinoza, autour de sa personne.
Donc, la macronie, c'est un système de domination sans aucune base sociale. "Une pure mise en esclavage", écrit mon ami Dominique hier. Le pire est que les médias soutiennent Macron un jour sur deux : un jour oui, un jour non. Ce qui montre l'extrême fragilité de l'édifice...!
Comme écrivait Mickaël Bakounine : "La Bourgeoisie, quand elle comprendra qu'elle a perdu le combat, elle aura recours aux moyens les plus violents." Rien de plus juste...!
Les deux coups d’état à la hussarde fomentés par Macron en 2017 et 2022 avec des fraudes abyssales, rendues possibles par les serveurs Scytl et Dominion. Aujourd’hui, son travail grossier à la hache, pour se construire une majorité absolue de 269 sièges, quitte à débaucher des députés ultra marins élus sur la base d’une solide volonté anti macronienne des électeurs d’Outre Mer. Autant de moyens les plus violents et anti démocratiques, pour s’installer et rester au pouvoir, afin de liquider, sur ordre des américains, la France sur le plan économique et social.
Maintenant, il ne reste plus que deux solutions, pouvant aller ensemble naturellement :
-De grandes démonstrations de rue, pour faire partir Macron.
-Un coup d’état de l’armée, nous débarrassant pour toujours de Macron. L’armée cèderait ensuite sa place à Gérard Larcher, Président du Sénat, un civil, qui organiserait des élections sincères. Ce qui rétablirait un cadre démocratique, où chacune, chacun pourrait de nouveau respirer, vivre librement, libéré de cette odieuse dictature macronienne.
Comme on disait dans les années 70 :
ON A RAISON DE SE REVOLTER !