L'opération militaire russe contre le régime kiévien approche la fin !
Article du journaliste russe Mickaël Gamandly Egorov, lu sur le mur de Vincent Christophe Le Roux que je remercie :
Russe. Eurasien. Partisan et artisan des relations Afrique-Russie. Entrepreneur et journaliste.
L'opération militaire russe contre le régime kiévien approche la fin. Je vous ferai le compte-rendu des principaux points le moment venu.
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Le principal étant est que depuis 8 années - la population du Donbass vivait sous la peur constante de ne pas finir la journée en vie. Depuis 8 années également, la Russie continuait de privilégier la diplomatie, en rappelant à chaque occasion la nécessité de respecter les Accords de Minsk et ne reconnaissait pas officiellement les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk comme des Etats indépendants. Mais chaque chose a une fin. Et devant le risque d'un génocide pur et simple de cette population courageuse, mais qui ne pouvait plus continuer à vivre ainsi, la Russie a fait ce qu'elle devait faire. Le tout en visant des installations militaires fournies depuis toutes ces dernières années et mois par les pays membres de l'Otan au régime de Kiev, tout en épargnant les civils et même les militaires ukrainiens qui pour beaucoup n'ont pas souhaité se battre et mourir pour un régime criminel, se trouvant sous le diktat occidental-atlantiste.
Enfin, j'aimerai dire que j'assume pleinement la rupture totale des contacts avec plusieurs de mes prétendu(e)s ami(e)s et connaissances, y compris datant de très longues années. Il y a effectivement bien longtemps que j'ai réalisé toute l'hypocrisie qui caractérise les personnes voulant copier le comportement des leaders occidentaux. A savoir - lancer des larmes de crocodile pour l'Ukraine où la population civile est pourtant largement épargnée (et j'en suis extrêmement heureux, sachant les liens qui m'unissent avec cette terre aussi), s'agiter pour les droits des gays en Russie ou en Afrique, ou encore publier massivement les messages du style "Je suis Charlie". Mais évidemment aucune note de compassion, aucune note de solidarité pour les gens du Donbass qui se faisaient tuer quasi-quotidiennement depuis toutes ces années dans le centre de l'Europe, pour les personnes brûlées vives à Odessa (dont plusieurs de mes ancêtres sont par ailleurs originaires), pour les soldats et civils syriens égorgés par une vermine terroriste soutenue par l'Occident, pour les populations africaines qui souffrent d'insécurité, du terrorisme et du chaos créé et propagé par les interventions néocoloniales occidentales. Je ne veux plus aucun contact avec vous, d'une quelconque manière. Vous ne faites pas partie de ma vie, et n'en ferez jamais. Voilà, c'est dit.