L'opération COVID-19 fabrique de la mort de masse et fait basculer l'être humain dans l'inhumanité !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
Plus tard, on se souviendra. Toute notre vie, nous vomirons les années Covid (2020-2021) à la face du camp mondialiste, qui a osé tenté sur nous une si inhumaineHitler et expérience ! Que ce soit la haine ou la volonté de survivre seulement, penserons-nous. Non que ce soit la haine profonde de ces criminels de masse, dont le mode opératoire est en droite ligne du monstre Hitler et des kapos de Birkenau-Auchwitz.
En effet, il existe une incroyable ressemblance entre les mondialistes et les nazis, meurtriers de masse. Entre d’une part, le génocide humain commis par Hitler, la Gestapo et la Wermacht : à travers la Shoah par balles (un million de morts). Les camps d’extermination, comme celui de Birkenau, où les personnes arrivées étaient aussitôt gazées. Résultat : 6 millions de morts de toute origine. Comme analyse Primo Lévi :” les nazis ont mis en place une industrie inédite : la fabrication de la mort de masse” (cf son livre : “Ainsi fut Auchwitz”, témoignages 1945-1986”, édition poche, 2021).
D’autre part, les crimes du camp mondialiste commis entre 2020 et 2021 : où la mort de masse de la population mondiale est la seule raison de vivre du camp mondialiste. Certes, il n’y a eu “que” 1 à 2 millions de morts du Covid. Mais, souvenons-nous bien de ce chiffre : 65 millions d’êtres humains devaient périr de ce virus. 500 000 rien qu’en France. Les mondialistes ont repris à leur compte cette industrie de la mort, follement imaginée par les nazis : la mort, la mort toujours recommencée.
Certes, il ne faut pas réécrire l’histoire à postériori. Inventer des “paradis perdus”, des “âges d’or”, qui n’ont jamais existé. Avec la société libérale apparue à partir des années 80, nous ne vivions pas au paradis de la convivialité et de l’entraide : c’est un euphémisme de le dire. L’économiste Jacques généreux a écrit selon moi le meilleur ouvrage critique sur la vraie nature dénaturée de la société libérale, dans laquelle nous survivons depuis plus de quarante ans : “La Dissociété , édition du Seuil, 1986. Il montre comment, en rupture avec les années Pompidou, l’Etat redistributeur, à compter des années 70-80 émerge un nouveau type de société fondée sur l’ultra-individualisme, le triomphe des plus forts.
Transmuant la société française en champ de bataille. Abattoir des plus faibles. Où les faibles sont livrés à eux même en concurrence forcément désavantageuse vis à vis des plus forts. Subissant de plein fouet le chômage et la pauvreté de masse : un million de chômeurs en 1980, 2 millions en 1988, 3 millions en 1997. 6 millions aujourd’hui, selon les chiffres officiels de la DARES, 9 millions selon nos calculs.
Un véritable génocide social s’est déroulé sous nos yeux, mais renvoyé lâchement dans le hors champ de l’impensé, éternelle boite noire du débat public, rendu possible par les chiffres truqués, minorés de l’INSEE. Et dont surtout jamais personne ne parle dans les médias aux ordres. Ou parmi les responsables politiques de “gôche” : PG, PCF, NPA, ATTAC. Et on parle d’expérience, pour avoir envoyé sans succès nos articles et nos livres sur le chômage et la pauvreté à chacune de ces organisations soi disant “alternatives”. Idem pour les maisons d’édition comme “La Découverte”.
En face, des "zélites" arrogantes, conquérantes, sans surmoi, avides de Fric, Pouvoir, Réussite sociale. Et les gadgets qui vont avec : voitures qui font Pin Pon, téléphones obéissants, presse docile à leur égard. Gens qui "pétillent" confisquant les "unes" de journaux et de magazines, alors que le plus souvent, ils n'ont strictement rien à dire.
il faut savoir que la pauvreté n’est pas seulement “monétaire”. Elle est aussi psychologique. Comme explique Généreux, chaque être humain a deux aspirations profondes : “être soi-même’, “être avec”. Le chômage rompt très souvent le dernier cercle de sociabilité de l’ouvrier, (dont l’emploi a été délocalisé en Chine. Nous avons ainsi perdu un million d’emplois sans que personne ne moufte). L’ouvrier, l’employé perd son aspiration profonde à “être avec” , bascule dans l’inhumanité. Souvent dans la dépression et tout ce qui l’accompagne.
François Héran, qui n’était pas alors Directeur de l’INED a mené à la fin des années 80 une enquête sur la sociabilité des gens “ordinaires”. Il a fait remplir un carnet, où chacune, chacun indiquait le nombre de personnes extérieures à la famille rencontrées dans la journée : voisin, facteur, syndicaliste de la boite, etc.. On arrivait en moyenne à neuf personnes rencontrées. Héran a capté la sociabilité d’un salarié qui travaille. On voit que cette sociabilité est médiocre et superficielle, alors que les “zélites” multiplient les cercles de socialisation : passages médias à répétition, appartenance à un parti politique, colloques, livres, défense de telle ou telle cause à la mode, fréquentation des restaurants chics, grand hôtel, soirées mondaines, activité sportive, chasse, etc..
Avec le chômage et la pauvreté, on brise le dernier rempart social qui reliait encore l’être humain à la société globale. Terminus, tout le monde descend et poignée de miraculés mise à part, personne ne revient.
Avoir accepté sans broncher le sacrifice des classes populaires, au motif qu’il s’agissait de “beaufs” (sic) (évidemment nous ne partageons pas ce mot), fait évidemment penser au célèbre poème de Martin NIEMÖLLER, faussement attribué à Bertold Brecht. NIEMOLLER fut arrêté en 1937, envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. Et transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau.
“Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
“Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
“Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
“Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
“Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester. »(sic)
Oui, la petite bourgeoisie égoïste n’a pas défendu les classes populaires, lorsque ces dernières prenaient le bouillon. Ce qui est un peu “logique”, lorsqu’on sait que la petite-bourgeoisie s’est alliée à la classe dirigeante, pour défendre l’immobilisme social. Une société devenue La belle au bois dormant, pour reprendre l’analyse d’Emmanuel Todd (cf ouvrage : “Les luttes de classes en France au XXIème siècle”, édition Poche Seuil n°922, 2021) .
Mais concurrence chinoise oblige, et afin de restaurer son taux de profit en chute libre, la classe dirigeante a décidé de liquider à son tour la classe moyenne, comme explique l’économiste marxiste Vincent Gouysse, dans un article intitulé : Sur les rails du grand reset, le petit train de l’horreur, posté sur la lettre politique indépendante le 4 juillet 2021.
L’opération Covid est avant tout une opération visant à liquider l‘appareil productif au profit de la finance internationale. Comme écrit l’économiste Michel Chaussudovski : La vérité tacite est que le nouveau coronavirus fournit un prétexte et une justification aux puissants intérêts financiers et aux politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite, d’extrême pauvreté et de désespoir.
Les petits et moyens capitaux doivent être éliminés. Le grand capital prévaut. Une concentration massive de la richesse des entreprises est en cours. C’est un «Nouvel Ordre Mondial» diabolique en gestation”(sic). (Extrait du livre électronique, intitulé : “La Crise mondiale corona 2020-2021: destruction de la société civile, dépression économique, coup d’État mondial et «Grande réinitialisation», dont nous publions sur la lettre politique indépendante les chapitres les plus importants).
Autrement dit, les confinements à répétition doivent s’analyser comme le génocide social d’une partie de la population salariée française, y compris une partie de la classe moyenne jusque là protégée. Pour mémoire, on a compté 1548 plans sociaux. Un million de chômeurs supplémentaires en 2020.
Mais ce n’est pas tout. Comme écrit Noam Chomsky : “le confinement vise à nous briser psychologiquement”(sic). Nous priver de notre aspiration durable à “être avec”, y compris la petite bourgeoisie confinée comme les autres. A nous faire basculer toutes et tous dans l’inhumanité. Je rappelle que le premier confinement a été très dur, avec seulement une heure de sortie par jour. Aucun masque pour se protéger du Covid. A Paris, lorsque nous faisions la queue pour accéder au supermarché, nous portions tous deux barres verticales de peur sur le visage.
En 2020, 15 millions de français ont fait une dépression nerveuse.
La vaccination obligatoire a pris la relève du confinement, en nous injectant dans le corps de l’oxyde de graphène susceptible de nous tuer à plus ou moins long terme. Nous transformer en animal de batterie.
On peut dire que les réseaux sociaux comme Facebook et VK, blogs, journaux alternatifs sur le net comme “Réseau International” et “les 7 du Québec” ont permis à beaucoup d’entre nous de “résister”. Garder le contact avec ses amis. Sauver ce qui peut l’être de notre aspiration à “être avec”’.