L'idéologie du réchauffement climatique et du Covid imposent par la violence le maintien des restrictions !
Article original rédigé par Vincent Chapin, lu sur le mur Facebook de mon amie Monika Karbowska, que je remercie.
Globalement, les dirigeants et les cadres de l’Union européenne, qui s’appuient sur diverses variantes idéologiques de répression, comme les idéologies du réchauffement climatique, l’idéologie de la santé et de la précaution, et aujourd’hui l’idéologie covidienne, développent leurs routines bureaucratiques dans le cadre de ces idéologies.
Par exemple, l’idéologie réchauffiste et l’idéologie de la santé structurent l’urbanisme de la bureaucratie. Cet urbanisme est partout très hostile aux transports mécanisés, tout d’abord à l’automobile, mais aussi à l’aérien, et bientôt aux bus. Ces transports, dans le jargon des boîtes d’urbanisme, sont les transports durs. L’idéologie de la santé fait préférer des lignes fixes, électrifiées ; il est donc indispensable de contrôler les lieux d’installation et d’habitation des individus. Spontanément, les travailleurs ne privilégient le vélo ou les transports en commun que par la contrainte : il faut écraser de contraintes les véhicules à moteur pour progresser. Cette politique est suivie aujourd’hui dans la plupart des grandes villes.
La fermeture définitive des bars et des restaurants, des lieux de spectacle, tout comme la restriction des transports, est au fond en symbiose avec cette politique générale : c’esGlobalement, les dirigeants et les cadres de l’Union européenne, qui s’appuient sur diverses variantes idéologiques de répression, comme les idéologies du réchauffement climatique, l’idéologie de la santé et de la précaution, et aujourd’hui l’idéologie covidienne, développent leurs routines bureaucratiques dans le cadre de ces idéologies.
Par exemple, l’idéologie réchauffiste et l’idéologie de la santé structurent l’urbanisme de la bureaucratie. Cet urbanisme est partout très hostile aux transports mécanisés, tout d’abord à l’automobile, mais aussi à l’aérien, et bientôt aux bus. Ces transports, dans le jargon des boîtes d’urbanisme, sont les transports durs. L’idéologie de la santé fait préférer des lignes fixes, électrifiées ; il est donc indispensable de contrôler les lieux d’installation et d’habitation des individus. Spontanément, les travailleurs ne privilégient le vélo ou les transports en commun que par la contrainte : il faut écraser de contraintes les véhicules à moteur pour progresser. Cette politique est suivie aujourd’hui dans la plupart des grandes villes.
La fermeture définitive des bars et des restaurants, des lieux de spectacle, tout comme la restriction des transports, est au fond en symbiose avec cette politique générale : c’est l’imposition par la violence d’un ordre spatial, et le maintien des restrictions pour pérenniser un tel progrès est très probable, y compris à la demande des maires, qui ont déjà tenté à la fin du premier confinement de maintenir des restrictions de circulation aberrantes.
La liberté ou le plaisir ne sont pas le programme du monde d’après. Les restrictions, la discipline et le contrôle le sont. Ce qui est surprenant à mes yeux, c’est l’assentiment général à la mise en place de cette glaciation politique non moins générale.
La mise en place du monde d’après est l’organisation d’une formidable régression des libertés, des conditions de vie des populations. Et la bureaucratie le sait et y travaille. Face à cette endurance, il n’y a que des indignations éphémères : laissez-nous nos rêves de l’aérien, mais c’est vrai que les avions c’est pas bien ; laissez-nous nos théâtres, mais c’est vrai que les bus puent et les parkings prenaient de la place...bref, une totale impuissance à résister et à comprendre le coup d’État totalitaire en cours.
En 1939, certains qui voyaient la guerre commencer lui donnaient une durée de six mois. 2020 pourrait bien être le développement durable de1984."
Découvrez dans quelle mesure la température moyenne change dans votre région.
Renseignez-vous sur la climatologiepour pérenniser un tel progrès est très probable, y compris à la demande des maires, qui ont déjà tenté à la fin du premier confinement de maintenir des restrictions de circulation aberrantes.
La liberté ou le plaisir ne sont pas le programme du monde d’après. Les restrictions, la discipline et le contrôle le sont. Ce qui est surprenant à mes yeux, c’est l’assentiment général à la mise en place de cette glaciation politique non moins générale.
La mise en place du monde d’après est l’organisation d’une formidable régression des libertés, des conditions de vie des populations. Et la bureaucratie le sait et y travaille. Face à cette endurance, il n’y a que des indignations éphémères : laissez-nous nos rêves de l’aérien, mais c’est vrai que les avions c’est pas bien ; laissez-nous nos théâtres, mais c’est vrai que les bus puent et les parkings prenaient de la place...bref, une totale impuissance à résister et à comprendre le coup d’État totalitaire en cours.
En 1939, certains qui voyaient la guerre commencer lui donnaient une durée de six mois. 2020 pourrait bien être le développement durable de1984."
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