Les personnes vaccinées n'arrivent pas à admettre que le "vaccin" n'en est pas un !
Article rédigé par Monique Plazza, biologiste
Des «personnes vaccinées» que je rencontre sur Twitter (qui est une agora ouverte à tous les vents) ou sur des fils de commentaires de personnes amies n’arrivent pas à admettre que «le vaccin» n’en est pas un, qu’il ne protège que partiellement de l’infection devant des variants qui le contournent et le percent. Et que sa date de péremption rapide oblige à «booster» la machine immunitaire par de nouvelles injections - en somme, à instaurer une dépendance à l’égard de la prothèse vaccinale.
J’ai beau leur citer des articles, leur montrer des tableaux de données de différents pays, rien n’y fait.
Elles m’opposent des taux de charges virales qui seraient fortes chez les «non vaccinés» et faibles chez elles et, quand je leur présente les nouveaux faits, elles les repoussent et dénient. Elles oublient que les «non vaccinés», comme elles avant d’être inoculées, ont des défenses immunitaires propres, pratiquent la prévention, et ne sont pas des réservoirs de virus.
Je comprends parfaitement pourquoi elles dénient. Elles ne peuvent renoncer à croire ce qu’on leur a promis: qu’elles sont dorénavant protégées contre l’infection, l’hospitalisation, la mort.
Le gouvernement (et ses relais médicaux et médiatiques) ne relaie pas du tout les nouveaux faits sur les limites du vaccin, il se contente de désigner les personnes «non vaccinées» comme les boucs émissaires devant porter le poids de l’infection, de la maladie et de la mort. En discriminant violemment les personnes «non vaccinées», et en n’informant pas de façon honnête, il conforte les «personnes vaccinées» dans leur croyance. C’est irresponsable car elles risquent de ne pas prendre les précautions nécessaires pour elles et pour les autres.
Le pire à mes yeux, c’est que cette croyance dans «le vaccin» conduit nombre de «personnes vaccinées» à une superbe indifférence devant la situation de dystopie et de folie qui règne en France. Ça leur passe par dessus la tête. Elles ne voient pas l’injustice et l’arbitraire du dispositif du «pass sanitaire» et ce qu’il préfigure de l’évolution de notre société.
C’est atterrant et extrêmement inquiétant.