Après guerre, "aimer son pays" a été qualifié de "chauvin", par la Bourgeoisie et petite-bourgeoisie intellectuelle !
Version 2 / Article rédigé par Jean-Claude et Brigitte Bouzonnie
Mais dans la présente sortie de De Gaulle, celui-ci tacle l'atlantisme et l'américanisme exagéré de la Bourgeoisie et de la classe politique française.
1°)-Jean-Claude : “C'est étonnant, je n'avais pas cette vision de Charles, dans un double langage Ultimement politique, pour cause d'être autodidacte...
Ce que j'ai retenu de sa structuration de la 5ème république, le peuple n'est pas capable de ce gouverner, il lui faut une élite pour le gouverner...
Il le confirme par l'ajout du 49.3, "L'article 49 alinéa 3" totalement anti-démocratique...
Est ce critiquable, à la sortie de la deuxième guerres mondiale après une division issue de la propagande médiatique, contrainte professionnelle et personnelle à l'acceptation... d'une France coupée en deux entre les collabos et la résistance, ...
Exercice à haut risque, pour ma part j'y verrais une ressemblance avec la période actuelle. La forme de manipulation totalitaire à la pensée unique à évolué de façon abyssale, ils ont tellement le contrôle, qu'ils nous envoient leur bouffon de service, nous dire : “nous sommes en guerre”... Et à actuellement,” il emmerde les non vaccinés”(sic)....
La forme d'avant guerre ou de guerre à changer, ce qui reste inchangé, c'est toujours les même ou leurs descendants, qui ce font un pognon de """ dingue """, sur la vie et la survie de population...
2°)-Brigitte Bouzonnie : De Gaulle a toujours méprisé le Peuple. Lorsque Raymond Aubrac était préfet de la région PACA en 1944, Lucie et lui avaient organisé un repas à la préfecture. Mais avec un ordre du protocole inversé. Les notables et l'Archevêque au bout de la table. Les jeunes gens à côté du Général à l'autre bout. De Gaulle avait piqué une crise de colère noire devant Raymond Aubrac, qui avait stoïquement écouté sans rien dire...
La Constitution de 1958 est une monarchie déguisée, et je n'ai aucune sympathie pour elle. Sans parler du dispositif scélérat de financement de la vie politique, qui permet aux responsables de droite et de gôche de vivre sur un grand pied, sur la manne de l'argent public
Mais dans la présente sortie de De Gaulle, celui-ci tacle l'atlantisme et l'américanisme exagéré de la Bourgeoisie et de la classe politique française.. Ce n'est pas le même problème.
Après guerre, "aimer son pays" est devenu le marqueur social du seul Peuple français. Inversement, la Bourgeoisie et la petite bourgeoisie intellectuelle ont brocardé ce sentiment. Je me souviens très bien des poèmes de résistance de Louis ARAGON, que je relisais récemment : "La diane française". Au lycée, notre prof de français nous disait que ces poèmes étaient "chauvins" (sic)....!
De la même façon, tous les intellectuels de gôche étaient européiste/eurolâtres et internationalistes. Pourtant, le bilan chiffré de la soi disant “mondialisation heureuse” a de quoi refroidir : depuis 1976, l’industrie française a perdu 2,5 millions d’emplois (chiffre du site ELUCID). La part de l’industrie dans la population active n’est plus que de 13%, un des taux les plus bas d’Europe ! Par ailleurs, la mondialisation de la production, notamment vers la Lituanie, ou la Chine, où les salaires sont plus faibles qu’en France, est pour beaucoup dans le chiffre de 6,6 millions de chômeurs, compté officiellement (chiffre DARES) par notre pays.
La construction d’une Europe supra-nationale scélérate, ayant les pleins pouvoirs, a été rendue possible par des intellectuels de gôche félons, qui n’aimaient pas, ne défendaient pas leur pays, comme a pu le faire à une époque un certain Louis ARAGON. Le mouvement des intellectuels eurosceptiques, Jacques Sapir, François Asselineau, Frédéric Lordon, le PRCF, a un moment rebattu les cartes. Redonné du sens au mot “nation”.