1°)- Brigitte Bouzonnie : 2022 : le départ de notre chef bien aimé. Après la taloche de dimanche dernier aux élections régionales, il faut bien que Manu en tire les conséquences pratique.
Je sais, je sais. Moi aussi je lis le fil d’actu de Facebook. Quasi chaque jour, on y écrit que, malgré ses taloches réelles et par les urnes, oh la main, le poudré sera réélu en 2022. je n’en crois rien. Dans cette “démocratie” truquée, ce n’est pas l’avis du Peuple qui compte, ce dernier valant hélas peau de balle. Mais celui des commanditaires, l’état profond français, le groupe Bilderberg, qui ont placé Macron (2017) après Hollande (2012) et Sarkosy (2007) à l’Elysée.
Pour ces Messieurs-Dames de la Classe dirigeante, Macron est cramé. Attali a déjà une nouvelle protégée, qu’il présente partout : Audrey Tcherkoff. Le départ forcé de Macron en 2022 n’est donc pas une hypothèse ridicule, bien au contraire…!
2°)-2022: Audrey Tcherkoff. la nouvelle protégée d'Attali ( #Macron en version féministe ?)
Publié par Brujitafr sur 9 Décembre 2020,
Retenez bien son nom et son visage, nous allons très probablement la voir de plus en plus dans les médias.
Il s’agit d’Audrey Tcherkoff.
C’est la nouvelle protégée de... Jacques Attali bien sûr !
La candidate 2022 sauce "Build Back Better" des globalistes.
Elle fait des réunions avec #Macron et #Attali, et a écrit un bouquin qui pourrait probablement être également une sorte de programme présidentiel !
« Manuel pour une sortie positive de la crise »
Elle fait carrément présidentiable comme Macron en 2017. Tout à fait les mêmes techniques de mise en avant...
Puisque Jacques le hibou a déjà annoncé que pour 2022 le président de la République Française serait une femme...
Elle est jeune, maman, féministe 2.0 et déterminée... Parfaite pour le petit coup de fraîcheur à la sauce Macron en 2017 histoire d'enfumer encore les plus naïfs...
Il est temps que tous les citoyens français comprennent que les politiques ne sont que les marionnettes d'une cabale bien plus puissante.
Jacques Attali précise sa prédiction concernant la prochaine présidente ! (22/04/18)
3°)-Article publié le 21 avril 2021 sur mon blog Médiapart :
Le départ de (Macron) notre chef bien aimé. Le regard triste, amertumé, défait. Même la perruque de Madame est raplapla. Pendouille tristement aux côtés de son visage : certes regonflé par des kilos de Botox, mais qui ne croit plus en rien, maintenant qu’il a quitté le Palais de l’Elysée pour toujours.
Dans la gare, ils sont seuls. Personne à la fenêtre pour agiter son mouchoir, leur dire : "je vous aime, ce n'est qu'un au revoir, revenez-nous vite" (sic).
Personne pour lui dire "on vous aime", comme les américains sur le bord de la route de Floride, saluant, applaudissant joyeusement Donald Trump et Mélina. Ils viennent de quitter la Maison Blanche (20 janvier 2021), pour aller vivre dans leur villa de Mar-a-lago de Palm Beach : deux poids, deux mesures !
Un détail : les valises sont minables : ça sent le voyage de seconde classe (un aller simple) en perspective. Et pour dormir, l'auberge de jeunesse, les petits lits durs, étroits, empilés les uns sur les autres réservés aux apprentis comme seul point de chute. A côté des dorures et des splendeurs aménagées de l'Elysée, j'en connais un qui va sentir une douleur physique bien mérité dans le dos, les reins et l'âme...!
On croit entendre la chanson d'Aznavour :
"Je n'ai connu que les succès faciles
"Les trains de nuit et les filles à soldat
"Les minables cachets, les valises à porter
"Les p'tits meublés et les maigres repas !"
(Je m'voyais déjà en haut de l'affiche)
En effet, c'est un détail : personne pour porter les valises de Monsieur et Madame. Le cher Benalla, amant du couple, aurait bien fait l'affaire. Las, il est en prison, ayant été surpris dans une nouvelle rixe, à tabasser des passants, qui lui demandaient l'heure !
Ils sont crevants tous les deux, à guetter l'horaire du prochain train public de la SNCF : eux qui n'ont eu de cesse pendant cinq ans de prendre des avions privés, à toute heure du jour et de la nuit, sur simple mot , borborygme de leur part. Ils sont crevants de se comporter comme les "riens" que nous sommes : riens sur qui ils ont tellement vomis depuis cinq ans. Macron ne disait-il pas à Benalla : "les riens, on les aura !"
Et telle Cendrillon après minuit, son carrosse redevenu citrouille, voici le petit banquier redevenu un "rien", un "illettré" comme nous autres, les sans nom les sans grade de l'Histoire, à attendre le prochain train, comme dans la (très belle) chanson d'Edith Mitchell : "J'attendrai le prochain train" !
"C'est un beau roman, c'est une belle histoire,
"C'est une romance d'aujourd'hui"...Pour le Peuple français libéré de son tyran, dont le seul objectif est de vouloir la mort sociale et sanitaire des "riens", des sans nom, des sans grade, que nous sommes.