Le capitalisme financier, dès l'origine inhumain et criminel, veut aujourd'hui la mort de masse, par la vaccination tueuse, pour rétablir son taux de profit en chute libre !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
On distingue deux capitalismes avec deux projets opposés :
1°)- Le capitalisme fordiste (1945-1975), qui tire sa valeur, de la production industrielle de biens et de services rendus nécessaires par la Reconstruction après-guerre : Ciment. Acier. Maisons. Ponts. Routes. Immeubles. Entreprises. Ecoles. Hôpitaux…. : tout était à reconstruire. Sa logique est entièrement productive.
Pour ce faire, il a besoin d’une importante main d’oeuvre salariée. C’est ce qui explique le plein emploi de la période d’après guerre : 1945-1975. Dans les années soixante, il faut une heure et demie pour trouver un emploi que l’on gardera toute sa vie.
De 1960 à 2018, en France métropolitaine, le nombre d’emplois passe de moins de vingt millions (contingent compris) à plus de vingt‑sept millions mais le nombre d’actifs, notamment dans le secteur non marchand, progresse dans le même temps de vingt à trente millions. Le nombre de chômeurs oscille autour de 250 000 au début des années 1960”(sic) (cf article rédigé par Olivier Marchand et Claude Minni intitulé: “Les grandes transformations du marché du travail depuis les années soixante”, Economie et Statistique” n°510, 2019. Entre 1960 et 2018, le nombre d’actifs en France passe de 20 à 30 millions, soit +10 millions d’actifs.
Le capitalisme fordiste s’organise autour d’une dispute féroce de la valeur ajoutée entre le travail et la capital. L’économiste Robert Boyer parlait de “partage conflictuel” de la valeur ajoutée (voir son livre “Croissance, crise et accumulation”). Mais c’est bien mal connaitre les employeurs que de croire qu’ils sont prêts à “partager”(sic) leurs profits avec les manants salariés que nous sommes. Même de façon conflictuelle.
Mais force est de reconnaitre qu’entre 1945 et 1975, les français adultes ont eu un emploi. Les salariés ont eu les miettes de la richesse nationale.
2°)-Le capitalisme financier réduit ses préoccupations à la seule courbe du profit des actionnaires. C'est son unique centre d’intérêt.
Le capitalisme financier a un projet très différent de celui du capitalisme fordiste. Il cherche à faire du profit. Point barre. N’importe comment. N’importe où sur la planète. Quitte à vendre des produits financiers toxiques. Ainsi, la crise des subprimes de 2008 a révélé les pratiques obscènes des banques. Elles concluaient des prêts immobiliers avec les populations noires, chicanos pauvres : sachant bien sûr que le noir, le chicano, ne pourrait jamais rembourser les traites mensuelles. C’est ce qui arrivait. Le noir, le chicano était expulsé de sa maison. Mis à la rue. Et la banque récupérait la maison…Anecdote racontée par l’économiste Dominique Plihon dans une conférence sur la crise des subprimes en 2008 à l’Ecole Normale Supérieure.
Le capitalisme financier cherche à faire du profit, pour rassurer les actionnaires, pierre angulaire du capitalisme financier. Comme analyse l’économiste Philippe Béchade pour les Etats-Unis, il n’hésite pas à licencier les classes moyennes, rien que pour faire monter l’action en bourse.
Le capitalisme financier se moque aussi de la logique productive d’accumulation des biens. Ce n’est pas son problème. Ce n’est pas un hasard si le capitalisme industriel a beaucoup régressé au cours de ces 40 dernières années. En France, il ne représente plus que 13% des actifs. Depuis 1974, la France a perdu 2,5 millions d’emplois dans le secondaire (cf Article du 13 novembre 2021 publié sur le site ELUCID).
Pour le capitalisme financier, le travail est un “coût”, qu’il faut réduire de façon forcenée. Notamment en délocalisant une entreprise industrielle française en Lituanie (Union Européenne, là où les salaires sont très bas. Tant pis si en France, il laisse des familles brisées, plonger dans le chômage et la misère la plus noire. Dans son essence même, le capitalisme financier cherche sciemment, volontairement, le sous emploi et le chômage de masse, puisqu’il cherche à diminuer de façon structurelle les coûts de production, donc les emplois.
Autre trait caractéristique du capitalisme financier : contrairement au capitalisme fordiste, la création annuelle d’emplois en CDI est faible, inférieure à 200 000.
Dès le départ, la rémunération du facteur travail est totalement oubliée.
Résultat : en France, entre 1980 et 2022, dans le partage de la valeur ajoutée, le facteur travail perd dix points. Les augmentations générales de salaires sont supprimées au profit de “primes” tête du client. Le chômage explose : 1 million de chômeurs en 1980. 2 millions en 1988. 3 millions en 1997. 6,6 millions de demandeurs d’emploi aujourd’hui. 15 millions de pauvres vivant en dessous du seuil de pauvreté selon nos chiffres.
Dans son ADN donc, le capitalisme financier est profondément inhumain, criminel. Le capitaliste fiancier est un gangster. Un homme sans foi ni loi participant de ce capitalisme criminel, parfaitement décrit et dénoncé par Jean-François Gayrot, commissaire de police, dans son ouvrage : "Le nouveau capitalisme criminel", préfacé par l'économiste atterré Paul Jorion.
Comme disait Al Capone : "le capitalisme est le racket légitime organisé par la Classe dominante"(sic))
Avec lui, toute morale minimale a disparu. Place au racket publié au Journal Officiel. Place à la mise à mort sociale et psychologique et physique du Peuple français.
3°)-Aujourd’hui, le capitalisme thérapeutique, pour reprendre le mot du philosophe marxiste Diego Fusaro, veut carrément la mort d’une partie de la planète, afin de redresser son taux de profit en chute libre. Mise à mort d’une partie de la planète, en droite ligne du Rapport Kalergi préconisant une dépopulation. Et des idées de Malthus, qui voulait la mort des pauvres : une façon selon lui, de régler leur problème une fois pour toutes..
Mon amie Monika Karbowska, qui a rédigé un article collector intitulé : "Comment en 20 ans la « pandémie grippale » Covid a été préparée comme une guerre bioterroriste" : un must, montre comment le capitalisme financier a inventé dès 2002 les "Dark winter": exercices de simulation d'une pandémie organisés par Bush et Cheney en 2002, où les médias "gèrent" la population + confinement + vaccination obligatoire.
La pandémie de Covid et l’obligation vaccinale sont donc des plans préparés à l’avance, dès les années 2000, par le capitalisme thérapeutique : afin de diminuer le nombre de vivants sur la planète. Faire des survivants des esclaves, histoire de remonter un taux de profit en chute libre du capitalisme occidental, à cause de la concurrence chinoise.
1°)-Serguei Lavrov, Ministre des affaires étrangères russe dénonce le 11 novembre 2021 “le plan de dépopulation”(sic) voulu par le camp mondialiste avec le Covid et les vaccinations tueuses.
2°)-André Ilnitsky, conseiller de Serguei Choïgou, Ministre russe de la Défense reconnait, que la pandémie de coronavirus vise à “« déséquilibrer l’économie et les systèmes de santé des États nationaux. C’est sa tâche principale. Elle a été réalisé avec succès”(sic) ! (cf article rédigé par André Ilnitsky le 21 décembre 2020 dans Сталкер Zone. Traduction Comité Valmy, publié sur le site Réseau International).
Aujourd’hui, nous vivons une terrible mort de masse, programmée et exécutée par le capitalisme mondialisé, digne de celle des kapos de Birkenau-Auchwitz. Mais, qu’on ne s’y trompe pas : ce projet mortifère était déjà présent, au début des années 80, dans l’ADN de ce capitalisme financier profondément inhumain et criminel.