L’annonce de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen de donner une nouvelle aide de 5 milliards d’euros à l’Ukraine !
Article rédigé par Ernest Porras
Bien entendu, l’annonce de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen de donner une nouvelle aide de 5 milliards d’euros à l’Ukraine doit être approuvée par le parlement européen, ce qui justifie la garantie démocratique nécessaire, au détriment des parlements nationaux et de la responsabilité des Peuples à disposer d’eux-mêmes.
Bien entendu, officiellement le retour sur investissement européens de ces milliards attribués ne sera pas priorisé sur l’économie du pays d’origine de la présidente, qui pour l’heure est le seul à disposer des moyens industriels pour faire face à l’afflux de demandes de reconstruction qui ne manquera pas de survenir à la fin de la guerre.
Bien entendu, le niveau d’appauvrissement général des populations, est compensé dans ce conflit opposant la lumière européenne à la nuit poutinienne, par la défense de nos valeurs.
Bien entendu, nos principes républicains, en particulier ceux de laïcité, de citoyenneté, d’unicité de la Nation, sont équivalents à ceux des monarchies belge ou espagnole, de l’état fédéral allemand, de la république théocratique polonaise, de la principauté/paradis fiscal luxembourgeoise ou de la dictature hongroise, et bien sûr de la « place offshore » maltaise, si chère à nos propriétaires de yachts et autres actionnaires de sociétés en recherche d’optimisation fiscale.
Bien entendu « à défaut de pouvoir imposer une réforme des retraites à la France ou à un autre pays de l'UE, il est donc possible que la Commission mette la pression pour solliciter des évolutions législatives, en particulier si les déficits publics viennent à s'envoler. »
Bien entendu, les vautours des fonds de pensions nord-américains ne planent pas sur l’Europe pour s’approprier les milliards que les institutions européennes libéreront enfin des caisses nationales de solidarité des retraites pour se les approprier.
Bien entendu, la réforme des retraites est obligatoire, car décidé par moumoute 1er, malgré l’opposition de plus de 70 % des Français, des syndicats, et du constat sans équivoque du Conseil d’Orientation des retraites, qui déclare qu’il n’y a aucune justification économique.
Bien entendu, cette réforme doit être menée sans délai, si la France veut voir revenir dans ses caisses, une maigre partie des fonds qu’elle a généreusement mis à disposition de ses partenaires et aujourd’hui de l’Ukraine, état corrompu jusqu’à ses plus hautes instances et représentants, dans le cadre du plan de relance européen post-Covid.