La vérité sur l'oxyde de graphène présent dans les vaccins anti-Covid-19 !
Article rédigé le 20 septembre 2021 par Olivier Cabanel pour le site Les 7 du Québec
Le sang contaminé nouveau est arrivé.
Cette crise sanitaire nous en aura fait voir de toutes les couleurs…
La dernière est rouge comme le sang.
C’est entendu, le sang véhicule les produits contenus dans les injections contre le coronavirus, et ces produits se retrouvent pas la suite dans différents organes de nos corps…
Mais il y a un mystère sur la nature de ces produits, alors que le code de Nuremberg prescrit que les informations sur les ingrédients spécifiques aux vaccins soient divulguées.
Alors le biochimiste et microbiologiste Dr Robert Young, et son équipe, a mené des recherches afin d’identifier ces ingrédients.
Rappelons que, précédemment, le bruit avait couru sur les réseaux sociaux qu’un professeur de l’Université d’Alméria, un certain Pablo Compra, aurai détecté de l’oxyde de graphène dans le vaccin Pfizer…information démentie par le site Fact & Furious. lien
Pourtant, si l’on en croit « News medical life sciences », la présence du graphène dans les injections a été observée à plusieurs reprises…lien
Et voilà maintenant, que l’équipe du Dr Young, en analysant les ingrédients des vaccins, fait une découverte convergente. lien
Pour ce que l’on appelle improprement des vaccins, ils ont identifié de l’histidine, du saccharose, du PEG (Polyéthylène Glycol) et de l’alcool éthylique…sauf que le PEG était le seul adjuvant déclaré sur la fiche technique de l’AstraZeneca. lien
Et ce n’est tout : le 20 aout, Ils ont confirmé tant pour le Pfizer, le Moderna, l’AstraZeneca, et le Johnson & Johnson, ce que les chercheurs de la Quinta Columna avaient déjà trouvé, à savoir un contenu nano métallique toxique, qui est magnéto toxique, cytotoxique et génétoxique pour les plantes, les insectes, les animaux, et donc les humains.
Les 4 produits destinés à être injectés, contiennent en effet des niveaux relativement élevés de l’oxyde de graphène, et les capsides des liposomes Pfizer et Moderna en contiennent 100%, après extraction de l’ARNm.
Or l’on sait que l’oxyde de graphène est cytotoxique, généto-toxique, magnéto toxique, et qu’il est véhiculé par la capsule du liposome, se retrouvant finalement dans les ovaires, les testicules, la moelle, le cœur, et le cerveau. lien
On sait aussi que le CNRS, et d’autres centres de recherches, continuent de s’interroger sur l’éventuelle toxicité du graphène. lien
Au-delà de la polémique soulevée par tous ces scientifiques, il y au moins une certitude, des chercheurs du CNRS, et de l’Université de Strasbourg avaient déjà envisagé d’utiliser des matériaux apparentés au graphène pour lutter contre les pandémies et ces études ont fait l’objet d’une publication dans la revue « Advanced Materials ».
Extraits : « le graphène, l’oxydes de graphène et l’oxyde de graphène réduit, ont été largement étudiés au cours des 15 dernières années et présentent un réel potentiel pour des applications en (…) bio médecine (…) cette analyse critique place les matériaux apparentés au graphène au rang de puissants alliés dans la lutte contre le virus SARS-CoV-2…».lien
Mais il y a mieux, si l’on peut dire…
L’un des « vaccins » contient même des parasites potentiellement mortels, comme par exemple le parasite Trypanosoma cruzi, lequel a été trouvé dans le Pfizer, sans s’avoir s’il s’agit d’un accident, ou s’il a été placé volontairement dans le produit…mais il est en tout cas présent dans tous les produits commercialisés. lien
Le voilà en photo
D’après l’étude de l’équipe du Dr Young, ce parasite ne se trouverait que dans la thérapie génétique de Pfizer…qualifiée improprement de « vaccin ».
Comme l’écrit l’OMS sur son site officiel, les personnes infectées par ce parasite développent des symptômes aigus comparables à ceux produits par le coronavirus : « la maladie chronique de Chagas entraîne souvent un état pro thrombotique, des lésions cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux thrombotiques ». lien
En effet, on observe depuis plusieurs mois des effets secondaires de ce type, thromboses, etc…
Il n’est pas inutile de découvrir cet article qui tente d’évaluer les retombées sur la santé humaine (et sur l’environnement) de ce graphène.
Pour compléter le tableau, un consortium composé de 150 groupes de recherche, sous le nom de Graphène Flagship, crée pour 10 ans, et lancé en 2013, s’est donné pour mission d’évaluer l’impact potentiel des matériaux à base de graphène sur la santé humaine (système immunitaire, peau, poumons, systèmes cardiovasculaire, gastro-intestinal, nerveux et reproducteur).
Graphique : effets indésirables en Suisse. lien
Selon le Dr Young, ~500 millions de personnes dans le monde ont déjà été concernées par ces effets secondaires, avec potentiellement 35 millions de décès…il pense que les personnes ayant subi 2 injections sont 13 fois plus susceptibles d’être hospitalisées, voire de mourir, suite à la contamination due au variant Delta, que celles qui ont une immunité naturelle, et il précise que le code génétique de cette « thérapie génique » fabriquée par l’homme, pouvant être facilement modifiée, interagira avec les fréquences dites 5G, devenant responsable de la prochaine vague prédite en octobre.
(Et l’on sait que le Président de la République est bien décidé à faire installer un peu partout en France la 5G, malgré l’hostilité des maires écolos récemment élus, lesquels réclament en vain un débat). lien
Le Dr Young conclut « qu’empoisonner le corps pour guérir le corps n’a aucun sens », et il encourage les uns et les autres de diffuser son message, regrettant que son article soit censuré sur Google, Facebook et Twitter.
Les anti-pass ont été les premiers à constater la censure sévère qui punit tous ceux qui osent contester la stratégie gouvernementale, tant sur le pass, que sur le vaccin…
Ajoutons que le 26 aout, le Japon avait annoncé qu’il suspendait l’utilisation des « Moderna », en raison de rapport faisant état de « contamination par une substance qui réagit aux aimants ». lien
Pas étonnant dès lors que des actions judiciaires se multiplient…
L’une d’elles est menée par l’association Réaction 19, (forte de 70 000 membres) présidée par Maître Brusa, à l’encontre de l’ANSM (Association Nationale de Sécurité du Médicament) le CNOM (Conseil National de l’Ordre des Médecins), le CNOP (Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens), le Vidal, pour utilisation de produits non autorisés. lien
On peut écouter ici l’avocat lors de l’une de ses interventions à Marseille, évoquant « la dictature monarchique sanitaire ».
Ce référé sera plaidé devant le tribunal judiciaire de Paris, le 21 octobre prochain au motif que les produits dits vaccinaux utilisés depuis le 27 décembre 2020 sont illégaux, car non conformes aux AMM (Autorisation de Mise sur le Marché).
D’après l’avocat, depuis cette date, toutes les injections ont été faites avec des produits illégaux en France.
Une telle procédure devrait imposer, selon l’association, un arrêt immédiat de toute vaccination.
Pourtant, ces vaccinations continuent, au moins jusqu’à la date du 21 octobre 2021. lien
Comme dit mon vieil ami africain : « plus un singe monte au cocotier, plus il montre son derrière ».
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