La stratégie du choc est à l'origine de la pandémie de Covid et des injections tueuses, qui l'accompagnent !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
On le pense profondément. Dans cet article, nous souhaitons montrer comment les deux années de gestion calamiteuse de la pandémie de Covid-19 (2020 et 2021) et de dictature vaccinale qui l’accompagne avec des injections tueuses, provoquant des thromboses et des morts, doivent s’analyser comme une stratégie du choc voulue par le camp mondialiste : Etats-Unis, France. On se réfère notamment) au livre rédigé par la journaliste Naomi Klein intitulé ; “La Stratégie du choc : la montée d'un capitalisme du désastre, essai socio-politique publié en 2007. Et disponible en France aux éditions La Découverte.
Que nous dit Naomi Klein ?
Son premier chapitre porte sur la torture et plus particulièrement sur les expériences de lavage de cerveau effectuées par Donald Ewen Cameron. Expériences financées par la CIA. D'après Naomi Klein, ces recherches étaient menées pour détruire la personnalité du sujet en lui administrant des chocs divers afin d'obtenir une « page blanche » sur laquelle on pourrait écrire une nouvelle personnalité
Naomi Klein montre que des désastres (catastrophes naturelles, changements de régimes, attentats), qui conduisent à des chocs psychologiques, permettent aux chantres du capitalisme d'appliquer la doctrine de l'ultra libérale école de Chicago dont Milton Friedman est l'un des représentants les plus connus. Le Pouvoir imposerait, à l'occasion des désastres, des réformes économiques ultra-libérales telles que la privatisation de l'énergie ou de la Sécurité sociale. La croissance accélérée du chômage de masse, puisque le Chili du dictateur Pinochey, largement cité dans ce livre, est passé d’un taux de chômage de 3%, sous Allende, à un taux de chômage de 21% !
Naomi Klein évoque aussi le cas de la Bolivie, où les réformes ont été conduites en déportant temporairement les responsables de gauche. Naomi Klein pointe les libéralisations qui ont suivi la chute du bloc de l'Est en Pologne et en Russie, au début des années 1990. Le gouvernement de Margaret Thatcher au Royaume-Uni. La fin de l'apartheid en Afrique du Sud. Les politiques qui ont été pratiquées aux États-Unis depuis 1990, mais plus particulièrement sous l'administration Bush, sont particulièrement visées, notamment la privatisation progressive de la sécurité aux États-Unis. Cela l'a conduite à s'intéresser à la gestion de la guerre en Irak. D'après Naomi Klein, on assiste depuis 2001 à l'émergence d'une industrie de la sécurité intérieure, les attentats du 11 septembre ayant été utilisés comme un choc « utile ».
L'autrice évoque notamment les réformes engagées et les mesures prises après la crise asiatique de 1997, l'ouragan Katrina ou encore le tsunami de 2004.
Naomi Klein montre que l'imposition de politiques néo-libérales ne s'est jamais produite sans coup d'État, élimination de l'opposition ou imposition d'un état d'urgence prolongé.
Il apparait que tous les évènements d’une très grande violence, que nous avons vécus depuis deux ans, 2020 et 2021, participent de l’application d’une stratégie du choc voulue par le nouvel ordre mondial, victime de la concurrence et de l’impérialisme chinois. Stratégie de dépopulation massive pointée officiellement au mois de novembre 2021 par le Ministre des affaires étrangères Serguei Lavrov.
André Ilnitsky, conseiller de Serge Shoigu, Ministre russe de la Défense, analyse ; “Déséquilibrer l’économie et les systèmes de santé des États nationaux est la tâche principale du projet de coronavirus. Elle a été réalisé avec succès ». Selon Ilnitsky, les multinationales occidentales considèrent le coronavirus comme leur propre projet. La tâche consiste à avoir un impact à grande échelle sur les États du monde entier et à transformer complètement la vie des gens grâce à de strictes restrictions anti-coronavirus.
Stratégie du Grand Reset, visant à réinitialiser les économies et mettre les survivants en esclavage. Confinement strict générateurs de 1546 plans sociaux et un million de chômeurs et pauvres supplémentaires. Générateur aussi de 15 millions de dépressions nerveuses.
Vaccination obligatoire à marche forcée avec des injections tueuses, provoquant des thromboses, crises cardiaques, voire plus de 4000 décès et 110 000 effets secondaires, selon les chiffres de l’Agence Nationale de Sécurité et du Médicament (ANSM). 15 millions de dépressions nerveuses rien que pour l’année 2020.
1°)-Selon les dernières statistiques du Covid-19, on compte 5,66 millions de morts dans le monde : dont 128 000 en France, 883 000 aux Etats-Unis, 494 000 en Inde. 627 000 au Brésil : 627 000. 156 000 au Royaume Uni. 118 000 en Allemagne (Source JHU CSSE COVID-19 Data du 29 janvier 2022).
Dans cette comptabilité macabre, le chiffre de 5,6 millions de morts du Covid doit être pris avec des pincettes. Chacun sait que la notion de “mort du Covid” a été interprétée de façon très large, incluant des morts de pathologies classiques, sur “instructions” données par le Ministère de la Santé aux docteurs chargé de rédiger l’acte de décès.
Un dessin s’en amuse :
En revanche, un directeur d’entreprises de pompes funèbres vient d’affirmer qu’il n’a jamais vu autant de morts de thromboses, crises cardiaques que maintenant (cf Business Bourse du 29 janvier 2022)
Quoi qu’il en soit, nous avons affaire à un crime de masse abject, inoubliable. Pareil par son ampleur aux morts de la première guerre mondiale. Extra ordinaire, puisqu’à la différence d’une guerre “classique”, la population a été décimée par son propre chef d’Etat, notamment avec des injections tueuses.
C’est ainsi qu’une étude publiée récemment par le statisticien belge Patrick Meyer et portant sur les chiffres officiels de surmortalité enregistrés dans 18 pays européens en 2021, étude présentée dans une interview donnée au média alternatif belge BAM! I montre l’existence de surmortalités importantes : 45 000 pour les 45-64 ans, 6000 pour les 15-44 ans ;
En ce qui concerne les 45-64 ans, la surmortalité de 30 000 personnes induite par le Covid-19 en 2020 (ou plutôt la gestion sanitaire volontairement calamiteuse de la pandémie) est sensiblement dépassée par celle enregistré en 2021, qui avoisine 45 000 personnes sur l’année entière. Et qui a accompagné la campagne d’injections expérimentales…
Pour les 15-44 ans, on remarque également que la surmortalité décolle sensiblement parallèlement à l’avancement de la campagne de vaccination. La surmortalité de 6 000 personnes observée en 2021 excède de plus du double celle enregistrée en 2020, avant que ne débute la campagne de vaccination.
Mais, comme analyse justement le lanceur d’alerte Israël Adam Shamir dans son article intitulé “La boite de Pandore” de juin 2020, le projet du camp mondialiste était de tuer 62 millions de personnes dans le monde. Et quand bien même le chiffre de 5,66 millions nous semble être à juste titre atroce et abominable, force est de reconnaitre que le génocide social opéré depuis deux ans n’est pas à la hauteur des “espérances” d’un Schwab, Biden et Macron.
De même, nous savons que nous avons été victimes d’une stratégie d’une grande brutalité en matière de peur d’une pandémie grippale. Depuis les années 2000, contre la peur de cette pandémie, les criminels de guerre Dick Cheney et Georges Bush, initièrent des exercices de simulation militaire intitulés : les “dark winter”, avec déjà l’obligation de vacciner toute la population. Dès les années 2000 aussi, l’OMS déclare la « pandémie de grippe » comme le risque majeur dans la décennie à venir.
L’avocat Reiner Fuelmich a engagé une action judiciaire pour crimes contre l’Humanité contre l’OMS qui a été jugée recevable. Dans une conférence de presse du 23 janvier 2022 à Bruxelles, il analyse : “J’ai bien conscience qu’après ce procès, nous pourrons avoir des mises en accusation, car ce sont des faits criminels et nous ferons émerger la vérité sur ce qui se passe auprès du public, car c’est nous le Peuple qui pourrons arrêter ce massacre”.
Avec la pandémie de Covid et les vaccinations tueuses, le nouvel ordre mondial a bien perpétré un massacre de masse contre les populations du globe d’une violence jamais atteinte. Une application sévère de la stratégie du choc théorisée par Naomi Klein, qu’on se le dise !
NI OUBLI, NI PARDON !