"C'est une gifle faite à la République"(sic) a dit Boris Vallaud, porte-parole du Parti socialiste.
Macron a échappé à une gifle, selon ses dires … France info l’un des médias propagande parle « d’une forte émotion dans la classe politique… »(sic).
Et quand Macron, l’ordonnateur de la barbarie policière - d’une police/milice qui a tué, éborgné, mutilé, gazé, tabassé, humilié, fait agenouiller des adolescents, racketté à travers des verbalisations arbitraires - se trouve responsable et comptable de tous ces crimes et de bien d’autres encore : économiques, sociaux et politiques, la classe politique -quasi unanime- légitime la violence policière… et soutient sans limite Macron, le président illégitime…
Manu ne disait-il pas ? « Nous sommes en guerre ». Et la classe politique, dans sa quasi-totalité, est dans le camp des assassins, le camp des opportunistes. Le camp des chiens de garde du système capitaliste, qui n’ont que faire du sort des « gueux », des gens qui souffrent, des « riens ».
Très vite, les médias aux ordres ont cité les Gilets Jaunes, suite à cette gifle que l’Élysée considère comme un acte isolé… Cependant les chiens des médias sont toujours plus royalistes que leur roi, Macron…
Selon la loi -faite sur mesure par les pouvoirs hors-la-loi-, celui qui a tenté de gifler Macron risque trois ans de prison plus 45 000 euros d’amende… Les criminels eux qui ont tué et mutilé sont toujours policiers et jouissent d’une scandaleuse impunité… Et l’ordonnateur des crimes, toujours « président ».
Non seulement la police/milice mutile, mais elle ose dire à ses victimes mutilées : « Bien fait pour vos gueules »...
Excédé par les méfaits du roi Louis XVI, le peuple de France a mis fin à sa manière à un règne insultant. Nous vivons une époque où Macron le suffisant, fait président par les grands patrons, ne rate aucune occasion pour traiter avec mépris le peuple qui le nourrit… et nourrit l'ensemble des ordures de la République, sommées par les maîtres des lieux de défendre le « soldé » Macron…
Soldé = moins que rien.
P.S. Jilles Lazardeux; Facebookien : “Macron giflé en public et tous les élus réclament des sanctions plus sévères pour les agressions à leur égard. Comme si cela allait changer quoi que ce soit.
Réclamer des sanctions plus sévères pour de tels actes, c’est justement ne pas comprendre les raisons de cette agressivité.
Le problème, c’est que les élus se moquent aujourd’hui du peuple. Ils défendent leurs intérêts personnels et ceux des lobbys, des sectes et des castes, auxquels ils sont vendus. A force de se moquer des gens, on attise la violence, tout simplement...
Chers élus, vous voulez être aimés ? C’est simple, bossez pour le peuple et vous verrez à quel point il vous aimera. Mais bien sûr vos comtes en banque seront moins remplis...”(sic)