Je ne parlerai pas du décès de Jean-Paul Belmondo. Rien ne m'y oblige. Et tous les Oh et les Ah d'admiration, les cris d'orfraies d'un tel ou d'une telle lus dans le fil d'actu de Facebook, transmuant ce décès en évènement politique number one, n'y pourront rien.
Nous vivons une période pré révolutionnaire. Le Peuple est mobilisé massivement dans la rue : 3 868 400 le 4 septembre dernier. Cela fait huit semaines que cela dure. Le lourd couvercle de la résignation se soulève un peu. La partie de bras de fer avec la Macronie pourrie peut être gagnée.
Nous vivons la fin du monde libéral crapoteux et mortifère.
Avec le Peuple dans la rue, l'impossible peut devenir possible.
Et rien n'est plus important.