"Je n’ai jamais vu un Peuple votant pour un banquier, un énarque inconnu adorateur du Marché, mondialiste forcené !"
Article rédigé par Bill Cocker au lendemain de l'arrivée de Macron à l'Elysée en mai 2017, mis hélas toujours d'actualité
1)-Bill Cocker écrit : "J’ai vécu.
J’ai connu le giscardisme, le mitterrandisme, les lendemains qui refusaient de chanter, le chiraquisme ventilatoire, le sarkozysme pétaradant, le hollandisme ectoplasmique. J’ai vu des ratages, j’ai vu des impasses.
J’ai vu Jean-Pierre Raffarin, et j’ai vu Edith Cresson.
J’ai été témoin de reniements, de boniments, et de ressassements de boniments. J’ai vécu le baratin et j’ai vécu l’embobinage. J’ai observé la sottise populaire, l’aveuglement et l’amnésie jouant ensemble en toute candeur.
J’ai vu les mêmes causes produisant sans cesse les mêmes effets, et les mêmes recettes produisant sans répit la même purée.
J’ai entendu les explications et les expertises, et les ai vues se désintégrer sur le front obtus de la réalité.
J’ai vu des enculages plus formidables que les colonnes d’Hercule.
J’ai vu les millions d’emplois nouveaux nous passer sous le nez, tandis que disparaissaient les millions d’emplois anciens. J’ai vu des absurdités reprises en chœur par des millions d’idiots. J’ai vu les alarmes des pessimistes ravalées au rang d'euphémismes tièdes. J’ai vu les entourloupes et les pantalonnades. J’ai vu les promesses n’engager et ravir et ensevelir que ceux qui y croyaient.
J’ai vu disparaître un pays.
Mais je n’avais encore jamais vu un peuple votant majoritairement pour un banquier, un énarque, un inconnu adorateur du Marché, multiculturaliste radicalisé, mondialiste forcené, libéral fanatique, européiste extrémiste et ami du CAC 40. Je n’avais jamais vu une nation aux cinq millions de chômeurs choisir dans l’allégresse de continuer sa route comme si de rien n’était.
Je n’avais jamais vu une jeunesse sacrifiée s’en remettre au fils de ses bourreaux.
Je n’avais jamais vu Emmanuel Macron Président de la République.
Je suis atterré.
2)-Brigitte Bouzonnie : "Le pire, peut être, c'est l'indifférence des gens, continuant leurs affaires dans Paris : prenant le Bus, continuant a aller travailler, faire leurs emplettes, comme s'il ne s'était rien passe. C'est l'indifférence de la majorité silencieuse, se refermant telle une pierre lancée dans l'eau : comme s'il ne s'était rien passé...!
En 2017, comme en 2022, Macron n'a pas été élu. Il a été mis au pouvoir au moyen de fraudes électorales par l'Etat Profond et ses agents dont le but depuis 1789 est de détruire la France, ses institutions, son identité et ses valeurs. Macron est illégitime et ne doit pas rester au pouvoir; tôt ou tard, dans un futur proche, il devra faire sa valise. Le système est au bord du gouffre, quand il s'écroulera, il emportera tout dans sa chute ; les loges maçonniques, les partis politiques et les syndicats.
Pour Pompidou ils l’ont fait
C’est un remake du jeu où l’état cède volontairement son autonomie aux privés