J'ai défendu Donald Trump, car c'était le vote du Peuple américain !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
J'ai défendu Trump, car c'était le vote du Peuple américain. Si c'était à refaire, je recommencerai.
J'ai défendu Trump, car il a créé cinq millions d'emplois, quand Obama/Biden avaient laissé filer sciemment la courbe du chômage et de la misère, comme le montrent les articles de Philippe Béchade et Olivier Delamarche sur la pauvreté glaciale aux Etats- Unis en 2016.
Les internautes ont oublié de quelle situation horrible il a hérité en 2016 : 150 millions de chômeurs, selon Olivier Delamarche. Les emplois créés l'ont été dans l'hôtellerie, restauration, services. Pas dans les mines. Que le confinement ait tout arrêté, c'est la même chose qu'en France, où on compte 1 548 plans sociaux, rien qu'en 2020. Et un million de chômeurs supplémentaires. S'il n'y avait pas eu le COVID, Trump était réélu au premier tour : ce n'est pas moi qui le dit, mais France Inter, qu'on ne peut vraiment pas taxer de "trumpiste".
Trump a rassemblé 75 millions d'électeurs, venus le plus souvent des classes populaires, conscientes de son action en terme de créations massives d'emploi. Et de lutte contre la pauvreté, puisqu'il a décidé d'une aide de 1200 dollars par mois réservée aux plus pauvres..
Je ne regrette absolument pas le combat que j'ai mené pendant trois mois. J'ai appris beaucoup de choses : les serveurs truqués, Dominion et Scytl, soit le même mode opératoire que l'arrivée par ruse de Macron à l'Elysée. Et ce sera le même mode opératoire qu'en 2022 en France.
L'historien, le politiste sait que le vol des élections américaines, le fait de mettre Biden de force à la Maison Blanche, alors que 70% des américains savent que le vote a été truqué, manipulé, n'est pas un coup de tonnerre dans un ciel serein. C'est le même mode opératoire utilisé jusque là, d'abord en Afrique, pendant des décennies, à ces pays dits "en voie de développement": où "des élections fantomatiques permettent de placer des valets corrompus"(sic) de l'Etat profond, comme écrit avec lucidité Alain Badiou dans son ouvrage : "Le réveil de l'Histoire". édition Lignes, 2012. En clair, l'état profond s'assoie sur le vote populaire, pour imposer sa dictature avec un fantoche de service, coopté par la CIA.
Ensuite, le procédé a été utilisé en France avec la fausse "élection" du candidat Macron, faussement crédité de 23% le soir du premier tour des élections présidentielles. Le 23 avril 2017, à 19 heures, le petit banquier faisait à peine entre 6 et 9% des suffrages exprimés. D'où une panne géante d'électricité et des serveurs Dominion et Scytl , tournant à plein régime. Siphonnant toutes les autres listes : les grandes comme la FI créditée in fine de presque 20%, alors que son score était supérieur. La liste Fillon à 20% alors qu'elle aurait dû être au second tour contre Le Pen.
Et les petites listes, comme le montrent les scores microscopiques du NPA (0,5%) et de l'UPR (1%), en contradiction avec leur présence active dans les luttes pour le NPA. Dans le champ politique et les réseaux sociaux pour l'UPR. Toutes les listes ont été minorées, y compris celle du FN, comme il ressort d’une discussion avec Mark Markus sur Facebook. Je le remercie de m'avoir ouvert les yeux sur ce siphonnage global.
En 2017, il y a eu vol de l'élection française par l'Etat profond, avec la complicité de tous les partis dits de "gôche" et de droite. On n'a pas oublié l'intronisation de macron, sur une Place de l'Hôtel de Ville complètement vide !
Comme explique Alain Garrigou, professeur de sciences politiques : "La "démocratie parlementaire", le suffrage universel est né en France dans l'urgence des journées révolutionnaires de février 1848, qui ont renversé le roi Louis-Philippe. Un gouvernement provisoire dut alors organiser l'élection d'une assemblée constituante. Chargés de la rédaction d'une nouvelle loi électorale, le suffrage universel est une idée conçue par deux constitutionnalistes modérés : Louis-Marie de Lahaye de Cormenin et François-André Isambert. Ces derniers rendent leur copie le 2 mars. Sans discussion, le suffrage universel est immédiatement proclamé" (sic) ' extrait de : "Les ambiguités du suffrage universel", in Monde diplomatique, Manière de voir, "Le roman national en débat. Aux armes historiens" n°166, septembre 2019.
Le suffrage universel est né d'un simple décret de 1848. Non d'une revendication populaire. Longtemps boudé par le Peuple français, il fait aujourd'hui partie du "roman national" fédérant chaque française et français.
Mais ce vote est mort. Définitivement. Certes, à cause de l'incroyance populaire montante : notamment l'abstention structurelle des ouvriers et des jeunes à la règle du suffrage universel, désireux d'une offensive anti-système. Ce phénomène a été longuement analysé par l'étude réalisée par Cécile Braconnier, Baptiste Coulmont, Jean-Yves Dormagen; publiée dans la Revue Nationale française de Sciences Politiques, vol 67, 2018.
Mais aussi, le vol de l'élection française est le fait d'un Etat profond, ne faisant même plus semblant de partager le Pouvoir avec le Peuple français. imposant une dictature brutale et décomplexée.
Depuis 2017 en France, nous avons pris conscience de l'existence d'une pure dictature régnant sur le Peuple français.
Aux Etats-Unis en 2020, l'état profond impose à son tour une pure dictature avec Biden, le tricheur. Un Biden intronisé mercredi, sans public pour l'acclamer au Capitole. Avec des soldats qui lui tournent le dos. Cérémonie lugubre, paraissant être sur une autre planète que l'intronisation joyeuse et festive de John Kennedy en 1961 : avec Sinatra, Bellafonte, tout Hollywood réuni pour l'occasion.
Comme disait René Char, "aujourd'hui, l'essentiel a été remplacé par l'insignifiant". Les questions majeures occultées par des règlements de compte de 25 ème importance. Comptez sur moi, pour ne pas salir à mon tour le candidat du Peuple Donald Trump, que je défends toujours : car la partie n'est pas encore terminée.....