"Groupons-nous, et demain", qu'elle disait la chanson...Quand tu vois tous les groupes qui explosent : Partis politiques de gôche. Etat-nation. Famille... sous les coups de boutoir du capitalisme !
Texte rédigé par Dyonisos Guiscart et Brigitte Bouzonnie
1°)-Brigitte Bouzonnie : Euh, "groupons-nous, et demain", qu'elle disait la chanson...Quand tu vois tous les groupes qui explosent : partis politiques de gôche. Etat-nation. Famille... sous les coups de boutoir répétés du capitalisme mondialisé déchainé.
Comme disait Karl Marx : "la Bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité touchante, qui recouvrait les rapports familiaux, et les a réduits à de simples rapports de force et d'argent" ("Le Manifeste du Parti communiste").
"La société se retrouve subitement ramenée à un état de barbarie momentanée" ("Le Manifeste").
"Les rapports bourgeois de propriété, la société bourgeoise moderne, qui a fait surgir de si puissants moyens de production et de circulation, ressemble à ce sorcier, qui ne sait plus dominer les puissances souterraines qu'il invoque" ("Le Manifeste").
Le(a) bourgeois (e), avec leur corps malingre, sont de tristes sorciers, utilisant à leur profit des forces gigantesques, qu’aucun homme/femme n’a possédé jusque là. Forces gigantesques, qui, forcément à un moment donné, se retournent contre eux, pour une mise à mort certaine, concurrence forcenée, impitoyable entre eux et dialectique de l’Histoire obligent ! Par exemple, les Etats-Unis, restés longtemps la première puissance mondiale, sont aujourd’hui dominés par la Chine, comme le montre l’économiste marxiste Vincent Gouysse.
L'homme ou la femme libéral (e) moderne ne sont plus des êtres humains sentimentaux, au sens de Montaigne et de Primo Lévi, mais des reptiliens froids comme une banquise, des bombes vivantes déchainant la mort, la mort toujours recommencée.
2°)-Dyonisos Guiscart :
C'est la lutte finale
Groupons-nous et demain
L'Internationale
Sera le genre humain
C'est la lutte finale
Groupons-nous et demain
L'Internationale
Sera le genre humain
L'État comprime et la loi triche
L'impôt saigne le malheureux
Nul devoir ne s'impose au riche
Le droit du pauvre est un mot creux
C'est assez languir en tutelle
L'Égalité veut d'autres lois
Pas de droits sans devoirs dit-elle
Égaux pas de devoirs sans droits
C'est la lutte finale
Groupons-nous et demain
L'Internationale
Sera le genre humain
C'est la lutte finale
Groupons-nous et demain
L'Internationale
Sera le genre humain
Brigitte PascallEuh, "groupons-nous, et demain", qu'elle disait la chanson...Quand tu vois tous les groupes qui explosent : partis politiques de gôche. Etat-nation. Famille... sous les coups de boutoir du capitalisme mondialisé déchainé. Comme disait Karl Marx : "la Bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité touchante, qui recouvrait les rapports familiaux, et les a réduits à de simples rapports de force et d'argent" ("Le Manifeste du Parti communiste"). "La société se retrouve subitement ramenée à un état de barbarie momentanée" ("Le Manifeste"). "Les rapports bourgeois de propriété, la société bourgeoise moderne, qui a fait surgir de si puissants moyens de production et de circulation, ressemble à ce sorcier, qui ne sait plus dominer les puissances souterraines qu'il invoque" ("Le Manifeste"). L'homme ou la femme libéral (e) moderne ne sont plus des êtres humains sentimentaux, au sens de Montaigne et de Primo Lévi, mais des reptiliens froids comme une banquise, des bombes vivantes déchainant la mort, la mort toujours recommencée.
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