Explosion de la pauvreté dans la France de Macron !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie le 15 octobre 2018
EXPLOSION DE LA PAUVRETE DANS LA FRANCE DE MACRON !
Même l'INSEE, sous tutelle de Bercy pour les primes et déroulement des carrières le constate, la pauvreté a fortement augmenté en 2018 !
Cette explosion de la pauvreté doit être rapprochée notamment de la casse de notre code du travail intervenue en décembre 2017. La France possédait jusque là le droit du licenciement le plus protecteur de l'Union Européenne. Du jour au lendemain, les employeurs ont eu la possibilité de virer des salariés en CDI sine die, sans aucun contrôle administratif sérieux. Toute protection juridique attachée jusque là au "noyau dur" du salariat, -les salariés en CDI par opposition aux salariés précaires-, a été pulvérisée par la mise à mort grossière, ignoble de notre code du travail.
En effet, notre code du travail est vieux de 150 ans de luttes sociales : cf Benoit Broutchoux, et son syndicat des mineurs du Nord, dont les luttes salariales à la fin du XIXème siècle, se battant énergiquement pour que les mineurs bénéficient d'une retraite bien méritée : toutes les solutions "locales", au départ réservées aux mineurs, ont ensuite été "généralisées" à toute la population salariée, dans un premier code du travail publié en 1919.
Hélas, Macron a utilisé du gros calibre, qui ne lui laissait aucune chance de survie.
Mais ce n'est pas tout. La pauvreté va continuer à croitre en 2019 et 2020. En effet, avec la réforme de l'assurance chômage en cours, de nombreux demandeurs d'emploi vont perdre le bénéfice de leurs indemnités chômage. Interrogée sur France Inter en septembre 2019, la Présidente du Secours Catholique disait redouter un basculement de ces chômeurs dans le RSA (450 euros par mois), voire dans rien du tout...
Naturellement, personne parmi les dirigeants de la FI n'ont protesté devant ce génocide salarial annoncé, hélas réalisé au delà des prévisions les plus pessimistes ! Et qui va fencore aire tâche d'huile sur les non salariés : chômeurs, retraités, jeunes, etc...
Même l'INSEE, sous tutelle de Bercy pour les primes et déroulement des carrières le constate, la pauvreté a fortement augmenté en 2018 !
Cette explosion de la pauvreté doit être rapprochée notamment de la casse de notre code du travail intervenue en décembre 2017. La France possédait jusque là le droit du licenciement le plus protecteur de l'Union Européenne. Du jour au lendemain, les employeurs ont eu la possibilité de virer des salariés en CDI sine die, sans aucun contrôle administratif sérieux. Toute protection juridique attachée jusque là au "noyau dur" du salariat, -les salariés en CDI par opposition aux salariés précaires-, a été pulvérisée par la mise à mort grossière, ignoble de notre code du travail.
En effet, notre code du travail est vieux de 150 ans de luttes sociales : cf Bruno Broutchoux, et son syndicat des mineurs du Nord, dont les luttes salariales à la fin du XIXème siècle, se battant énergiquement pour que les mineurs bénéficient d'une retraite bien méritée : toutes les solutions "locales", au départ réservées aux mineurs, ont ensuite été "généralisées" à toute la population salariée, dans un premier code du travail publié en 1919.
Hélas, Macron a utilisé du gros calibre, qui ne lui laissait aucune chance de survie.
Mais ce n'est pas tout. La pauvreté va continuer à croitre en 2019 et 2020. En effet, avec la réforme de l'assurance chômage en cours, de nombreux demandeurs d'emploi vont perdre le bénéfice de leurs indemnités chômage. Interrogée sur France Inter en septembre 2019, la Présidente du Secours Catholique disait redouter un basculement de ces chômeurs dans le RSA (450 euros par mois), voire dans rien du tout...
Naturellement, personne parmi les dirigeants de la FI n'ont protesté devant ce génocide salarial annoncé, hélas réalisé au delà des prévisions les plus pessimistes ! Et qui va encore faire tâche d'huile sur les non salariés : chômeurs, retraités, jeunes, etc...