En l'espace de 4 jours, Macron rétropédale : passant de la critique des flics à leur cirage de pompes échevelé !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
Entendu ce matin sur France Info : selon une décision de Macron, les policiers ne pourraient plus "étrangler" un contrevenant. Mais aussitôt après, Macron va "s'excuser" d'une telle décision, dans son allocation de dimanche.
Reprenons les faits :
1)-Le comité Adame Traore, surfant sur la mort de Floyd aux Etats-Unis, poussé par Soros, tire la couverture médiatique à lui. Tant pis si, après une première manif bien suivie, les autres ne mobilisent que de maigres cortèges.
On souhaite dire un mot sur Assa Traore, soeur d'Adame, manipulée depuis quatre ans par le comité du même nom. On se souvient d'une émission sur Canal plus, où était invité le philosophe Alain Badiou et Assa Traore. Badiou, visiblement amoureux de la belle, la comparait (carrément) à Antigone. Pourtant, notre supposée héroïne de tragédie disait des choses très fades, à crever de rire. Pire, elle sponsorise des tennis DIOR à 3 000 euros la paire (cf Le Canard enchainé de cette semaine) : ce qui, pour une supposée Antigone du XXIème siècle révèle une bien grande mesquinerie de pratique !
2)-Castagnette et surtout Macron prennent très au sérieux un mouvement qui ne l'est pas. Tous les deux suppriment la technique dite "d'étranglement" du contrevenant. Macron pousse le zèle jusqu'à prononcer, en Conseil des Ministres" une "repentance" contre les "flics racistes" (sic). Il est relayé dans les maigres cortèges par Mélenchon, aussi peu Chef de l’Opposition que possible. Avec ses sbires obligés : Adrien Quatennens, Manon Aubry. Ces derniers poussent le déshabillage idéologique avec les idées humanistes pratiquées jusqu’alors au Parti de gauche puis à la FI première manière, jusqu'à s'agenouiller, en signe également de "repentance". Ce geste insupportable est un signe de soumission à l'idéologie mondialiste "Sorosienne", devenue la nouvelle idéologie dominante des responsables du camp mondialiste, excusez du peu de trahison des chefs de la FI !
J'ouvre une parenthèse. J'ai déjà dis tout ce que je pensais de cette mobilisation initiée par Soros, afin d'occulter la non lutte contre le coronavirus : absence de masques, de gels, de tests, de lits de réa. Les 4 000 morts officiels, suite à une vaccination tueuse, comprenant de l’oxyde de graphène. Histoire d'occulter aussi la disparition soudaine, dans l'agenda politique du nombre de morts du covid-19 : 38 000, si on intègre les décès à domicile: chiffre scandaleux et indigne : on ne le répétera jamais assez.
Heureusement, Christian Péronne est en "une" du Figaro Magazine, à propos de son dernier livre critiquant le travail de Gribouille de la Macronie vis à vis du covid-17 : son interview est excellente : j'y reviendrai. Tout comme je compte faire du tapage, dès que je serai revenue à Paris, sur la gestion lamentable de cette épidémie. Fin de la parenthèse.
3)-troisième temps : les forces de l'ordre se rebiffent. Notamment le responsable de Force Ouvrière de la Police, menaçant de ne plus obéir à Castaner. Le même qui avait affirmé en décembre 2018, en plein mouvement des Gilets jaunes : "La Police est le dernier rempart du Pouvoir"(sic) (JDD de l'époque). Analyse que je partage 5 sur 5.
C'est dire la bêtise crasse, l'inintelligence de la prise de position de Macron en faveur de l'indigénisme : c'est ce qui s'appelle se tirer une balle dans la tête.
Voilà donc nos poulets s'essayant à la manif, jouant maladroitement à Gavroche sur les Champs Elysées. La honte. A peine 50 manifestants suivis de 300 journalistes au bas mot. Mais la "manif" est jugée être un "succès" par tous les médias menteurs. Et ce matin, on apprend sur France Info, que Macron va leur cirer les pompes dimanche.
Autrement dit, en l'espace de quatre jours, le petit banquier a rétropédale. Passé du noir au blanc. De la défense d'un caïd de cité vendeur de drogue, auteur d’extorsions réitérées à celle de la défense de sa Police bien aimée. Dernier rempart avant Varennes. Cela montre sa politique du chien crevé, menée au jour le jour, sans aucune distance avec les événements.
Macron est un village Potemkine à lui tout seul. Ses ruses sont trouées, à force d'avoir servies. Changer de politique en l'espace d'une semaine, envoyer un de ses conseillers dire du mal de Philippe dans tous les journaux (lu dans Le Canard Enchainé d'il y a 15 jours). La trame de la Macronie est tellement effilochée, qu'on y voit à travers.
Mais le pire, c'est qu'aucun journaliste, lanceur d'alerte sur Facebook n'ose dénoncer une telle mascarade.