Despentes, pure savonnette inventée par un éditeur véreux pour faire du fric. Abaisser le niveau intellectuel des français !
Article rédigé par Dominique Kern et Brigitte Bouzonnie
1°)-Dominique Kern : J'ai lu Vernon Subutex en entier, pourquoi tu t'acharnes sur elle Brigitte, soit qu'elle à un rôle essentiel et qu'elle n'est pas à sa place ... Interroge plutôt le rôle de l'écrivain aujourd'hui, par rapport à d'autres périodes et là il y a des choses à dire, mais s'acharner sur Virginie Despentes, malheureusement elle est la pour ça ... Pour servir de cache misère ...
2°)-Brigitte Pascall : Domi, ce que je déteste chez Despentes, ce n'est pas cette pauvre femme en tant que tel, avec ses tatouages et ses références ridicules à Georges Sand, qu'elle n'a visiblement jamais lue. Sinon, elle aurait une toute autre prose pleine de sensibilité.
Ce que je déteste par-dessus tout est qu'elle soit un produit de l'édition, une pure savonnette inventée par un éditeur véreux pour faire du fric. Et surtout abaisser le niveau intellectuel des français., comme on a pu le constater depuis les années 80. Il faudrait dire la même chose de Françoise Verny, lançant comme une savonnette les premiers livres de Alexandre Jardin. Moi je me bats pour que cette littérature de pacotille soit mise au rancart. Pour qu'on assiste au retour des philosophes du XVIIIème siècle, qui se battaient pour la Vérité. C'est simple : quand on lit Despentes, cela revient à jeter à la poubelle Rousseau et l'Encyclopédie !
3°)- Dominique Kern : J'y pense. Tu pourrait aussi parler de la littérature de l'inculture. Faire des parallèles entre elle et Houellebecq, QUI SONT DES PRODUITS FABRIQUES PAR L'édition, qui ne joue plus du tout son rôle aujourd'hui. Des produits de la décadence qui implique BHL et bien d'autres.
Où sont les José Corti, qui a édité Julien Gracq ?!
Il y a un acharnement contre la culture française. Il est sûr que certains veulent la détruire de toute urgence. Cela, je te l'accorde. Comme on s'acharne a détruire la langue…