Covid et totalitarisme : "Pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui, créer une effraction traumatique, c’est-à-dire le sentiment de l'imminence de la mort "!
Dialogue entre Ariane Bilheran, Docteur en psychopathologie et Vincent Pavan, mathématicien, posté sur le site Réseau International
1°)- Brigitte Bouzonnie : Je vous recommande la lecture de ce dialogue entre, d’une part, Ariane Bilheran, Docteur en psychopathologie et Vincent Pavan, mathématicien.Dans le cadre de le véritable opération psychologique, que nous avons subie avec le Covid, Ariane Bilheran montre que : “pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui, créer une effraction traumatique, c’est-à-dire le sentiment de l'imminence de la mort "(sic) !
C’est exactement ce que nous avons vécu, avec les annonces macabres, tous les soirs, du nombre de morts, par l’inénarrable Jérôme Salomon. L’impossibilité dans laquelle nous étions d’acheter de la Chloroquine, puis de l’Azythromycine. L’interdiction scandaleuse par la macronie de ces médicaments simples et éprouvés, nous a empêchés de guérir rapidement. Mais aussi de sortir rapidement de notre psychose de la mort. Et je parle d’expérience : j’ai eu le Covid le 25 novembre 2019 soigné par de l’Azythromycine. En 5 jours, j’étais de nouveau sur pieds.
2°)-Ariane Bilheran est docteur en psychopathologie et philosophe, spécialiste de l’étude des manipulations, de la perversion, de la paranoïa et du harcèlement.
Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille. Il y a quelques mois, ils ont publié Le débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme aux éditions Guy Trédaniel. Un ouvrage qui interroge la façon dont la langue, la logique et la science ont été dévoyées et perverties par le pouvoir politique, les médias ainsi que certains médecins et scientifiques pour exercer une contrainte psychique sur la population dans le cadre de la crise sanitaire.
« J’avais identifié que nous avions affaire à ce qu’on appelle un peu vulgairement une psychose de masse, c’est-à-dire un délire, une croyance totalement dénuée de rapport avec la réalité de l’expérience. Il fallait remonter aux premiers principes de ce délire paranoïaque, comprendre sur quoi il se fonde », explique Ariane Bilheran. « Dès que l’on comprend qu’il y a eu une corruption de la science, et en particulier des mathématiques, une imposture frauduleuse dès le départ, on comprend aussi que toute la suite ne tient pas debout », poursuit la philosophe. Un constat que partage Vincent Pavan : « J’ai été bouleversé de me rendre compte que les mathématiques qui, normalement, sont une discipline très précise, très rigoureuse, ont été complètement dévoyées, qu’elles ne servaient pas à décrire le réel mais, au contraire, à créer l’illusion de façon totalement délirante. »
Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont également analysé la façon dont la langue et les discours ont été manipulés, corrompus et avilis afin de subjuguer la population et de justifier les mesures politiques prises dans le cadre de l’épidémie. « Nous avons analysé la logique, la rationalité et, bien sûr, la question de l’utilisation de la langue pour créer le lavage de cerveau », souligne Ariane Bilheran. « Dans le phénomène totalitaire, il y a la question de la censure, de la liberté d’expression. Il y a des mots qui deviennent dangereux, que l’on n’a plus le droit de prononcer, et il y a des mots qui sont sanctifiés, que nous devons au contraire intégrer dans la nouvelle religion. » Pour les auteurs, certaines méthodes employées pendant la crise sanitaire s’apparentent d’ailleurs à une forme de « torture psychologique ». « Pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui, il faut créer ce que l’on appelle une effraction psychique, une effraction traumatique, c’est-à-dire le sentiment d’une imminence de mort pour soi ou pour autrui », explique Ariane Bilheran.
Les auteurs soulignent aussi que les décisions prises et les discours tenus dans le cadre de l’épidémie révèlent « un parti pris idéologique très puissant », la volonté de mettre en place une nouvelle organisation sociale dans laquelle l’homme serait privé de son humanité et de son identité propre.
« On veut réduire l’individu à un QR code, le mettre dans des banques de données, le réduire à un flux d’informations. […]. Dans la société du futur, c’est l’algorithme optimal qui donnera le mode d’organisation de la société, et si vous n’êtes pas d’accord, vous faites partie des gens qui n’auront vraisemblablement plus le droit de vivre en société », insiste Vincent Pavan.
« Cela traduit une société terrifiée par la vie, qui cherche à se maintenir dans la survie. La vie suppose des prises de risque et de l’aventure, c’est aussi de l’imprévu, de l’accident, du mouvement ; et c’est aussi la maladie et la mort », précise Ariane Bilheran.
source : Le Libre Penseur
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