Comment Macron pratique le mépris de classe vis à vis du Peuple français ?!
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
"Alcoolisme", "illettrés", "fainéants" : comment Macron pratique le mépris de classe vis à vis du Peuple français. C'est un bras d'honneur lancé par Macron aux Classes populaires, qui n'ont pas fait l'ENA comme lui. La même morgue que celle de Giscard, en beaucoup moins intelligent. Un article de Médiapart raconte par le menu les banalités, qu'il sort dans ses meetings, dans le genre : "il faut faire bouger les lignes"(sic). Appelant "au rassemblement des bonnes volontés" (re-sic). Et concluant : "nous sommes las d'entendre les chicayas, d'être pris ensemble dans cette comédie humaine des petits jeux". Un discours de concierge à crever de honte. Typique de la non-pensée, la non analyse de ceux qui nous gouvernent....!
En la traitant "d'illettrée" ou de "fainéante", Macron psychologise la Classe ouvrière, ce qui le "légitime" en dominant, futur Président de la République, lui qui se vit comme étant tout le contraire. Ce racisme de l'intelligence justifie sa position sociale au sommet de la hiérarchie. Sa villa au Touquet. Sa femme. Son fric, etc.
Son racisme de classe, c'est le racisme de la Classe dominante, à laquelle il appartient. Et dont il défend bec et ongles, avec cupidité les intérêts. Les milliards que la Classe dominante a reçus en richesse nationale non partagée avec les salariés. Depuis 1980, le travail a perdu 10 points de la valeur ajoutée nationale.
Les milliards de la Classe dominante qu’elle a reçus du budget de l'Etat, depuis 2017 / en cadeaux fiscaux : 20 milliards au titre du CICE, baisse des cotisations sociales patronales revenant à donner des sommes folles aux patrons, crédit impôt recherche, etc..,
Comme écrivait Paul Nizan, "il n'y a que deux partis à prendre : celui des oppresseurs ou celui des opprimés". Il y a longtemps que Macron a choisi son camp : celui des patrons oppresseurs, alors que le libéralisme violente le corps social comme jamais. Ce petit crétin illustre ce sentiment, dont parle Pierre Bourdieu, "d'avoir perdu la tradition des Lumières, lié au renversement du monde qui a été imposé par le neo-libéralisme, la Révolution conservatrice actuelle" (sic). Macron est l'un des (petits) porte-flingues du libéralisme, celui qui s'en prend aux plus pauvres, traités de "fainéants", soit une façon implicite, qui se veut polie de leur reprocher les 450 euros donnés chaque mois au titre du RSA. Tout en donnant des milliards aux patrons.
A nous, militants du Rassemblement “Pouvoir au Peuple”, de combattre frontalement le Capitalisme mondialisé criminel. D'avoir l'énergie neuve de vaincre la pauvreté de masse recouvrant hélas notre beau pays : 15 millions de pauvres, selon mes calculs. De nous battre contre la vaccination obligatoire. Nos micro-résistances participeront de l’opposition non parlementaire avec les Gilets Jaunes, les militants anti vaccination obligatoires. Les militants de contre information sur le net.
Comme écrivait Albert Camus, "les grandes choses, les grandes idées, on l'a dit, viennent au monde sur des pattes de mésanges" ("Actuelles, chroniques algériennes, 1939-1958", 1958).
Tenir bon, tenir tête à l'oligarchie arrogante, imposant une triste vie à l'écrasante majorité de gens en situation de simple survie.
Nous proposons une vie saine et décente pour chacun, soit à travers un emploi correctement rémunéré. Soit à travers une allocation allant de 900 a 1000 euros pour les 7,4 millions de bénéficiaires de minimas sociaux. Réinventer un avenir collectif meilleur, une vie décente, simple, honnête, joyeuse et saine pour chaque français. Qui auront l'assurance que leurs enfants auront une vie meilleure que ce qu'ils ont vécu. Avec un sillon que nous creuserons patiemment chaque jour : ABOLIR LA MISERE, ABOLIR LE COVID ET SES VACCINS TUEURS...!