Comment les banquiers et industriels américains ont mis Hitler au pouvoir !
Source : Résister comprendre,
Après les honteuses célébrations du débarquement où ceux qui ont vraiment permis à l’Europe de se libérer du nazisme n’étaient pas invités (les russes), il est bon de rappeler qu’Hitler a été mis en place par les banquiers et industriels américains et qu’il a été soutenu jusqu’à sa défaite contre l’URSS.
Si on peut remercier les soldats US qui sont morts lors de la seconde guerre mondiale, on ne peut pas rendre hommage aux USA pour avoir « libéré l’Europe ».
Quand on parle des États-Unis, il faut faire la différence entre le pouvoir économique, les politiciens qui sont mis en place par ce pouvoir, les médias qu’ils détiennent en majorité et le peuple américains.
Ce qui suit est une partie importante et cachée de l’histoire dont il faut prendre conscience car malheureusement le fait que les responsables réels de la seconde guerre mondiale et ses vraies raisons ai été caché nous amène à une répétition.
Vous allez découvrir que ceux qui détenaient le pouvoir économique US, les grandes familles, les cartels, ont financé Hitler, l’ont aidé à gagner les élections puis à déclencher la seconde guerre mondiale.
Ils ont soutenu Hitler jusqu’à sa défaite avec l’URSS et par peur de voir les russes envahir et prendre le contrôle de l’Europe, ont décidé non pas de nous libérer, mais de venir, chasser les nazis et prendre le contrôle politique et économique de l’Europe.
Mais l’occupation après la « libération », ne s’est pas passé comme prévu.
En France ils voulaient mettre au pouvoir les français qui avaient collaboré avec les nazis et considérer la France comme un pays ennemi vaincu.
Ils auraient alors pu garder le contrôle et installer leurs bases de l’OTAN pour préparer la prochaine guerre avec l’URSS.
Mais le général De Gaulle a mis leurs plans en échec, certains collabos qui devaient prendre le pouvoir sous le commandement américain ont été assassiné et c’est les représentants de la France libre qui ont repris le contrôle du pays.
La France était alors sortie de l’OTAN, car comme disait De Gaulle :
« L’OTAN est un faux-semblant. C’est une machine pour déguiser la mainmise de l’Amérique sur l’Europe. Grâce à l’OTAN, l’Europe est placée sous la dépendance des États-Unis sans en avoir l’air »
Aujourd’hui on célèbre les USA pour nous avoir libéré, et a cette occasion, on met en avant l’armée américaine pour l’une des rares guerres juste qu’elle a mené.
Alors que l’on devrait rappeler comment cette guerre a pu avoir lieu, dénoncer ceux qui l’ont financé et ne pas mettre en avant une armée responsable d’autant de crime de par le monde.
Et c’est parce que nous ne somme toujours pas capable de voir ce qu’il c’est réellement passé, de juger les vrais responsables, que nous somme condamnés à revivre ces événements, car si les personnages ont changé, les même cartels sont toujours présent et ont gardé les mêmes objectif et l’histoire se répète.
Nous somme à l’aube d’une nouvelle crise financière qui d’après de nombreux économistes sera pire que celle de 1929 et les États-Unis, qui ont enfin pu prendre le contrôle de l’Europe et mis l’UE au ordre de l’OTAN, créent des guerres et tensions partout dans le monde.
Tout se prépare sous nos yeux pour la prochaine 3eme guerre mondiale…
Enfin, nous ne somme qu’une minorité de gens informés à le voir, le gros de la population marche avec les œillères posées par les médias dominants.
Vous découvrirez ci-dessous, que nombre des acteurs d’hier, responsable de la 2eme guerre mondiale, reprennent leurs rôles aujourd’hui.
Il est difficile pour la plupart des gens de comprendre que des personnes différentes au sein de groupes ou d’organisations plus ou moins secrètes, ne font que suivre un plan ou objectif sans limite de temps, qui est le nouvel ordre mondial, en résumé le contrôle de la population par les multinationales US.
« Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est une crise majeure et le peuple acceptera le nouvel ordre mondial… »
David Rockefeller.« On ira ensemble, vers ce nouvel ordre mondial.
Et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer. »
Sarkozy, 2009.
Même Attali parle du nouvel ordre et de cette 3eme guerre mondial qui arrive comme si de rien n’était :
Alors rappelons nous du passé avant sa répétition :
« Comment Londres et Wall Street ont mis Hitler au pouvoir
« La guerre économique et financière menée aujourd’hui par l’oligarchie peut se réclamer essentiellement de trois antécédents historiques :
1) l’empire vénitien ;
2) l’empire établi, sur le modèle vénitien, par la Compagnie des Indes orientales suite au traité de Paris qui mit fin à la guerre de Sept ans en 1763 ;
3) les cartels anglo-américano-allemands mis en place dans les années 20.
C’est ce dernier aspect que nous allons examiner ici, car il est l’incarnation la plus récente du danger que représente actuellement une oligarchie financière déterminée à dominer le monde sous couvert de « globalisation ».
Il s’agit ici de montrer que le système financier oligarchique d’après-guerre, décrit en partie par John Perkins dans son livre Confessions d’un tueur à gages économique, représente la continuation des accords de cartellisation des années 20, qui menèrent à la Deuxième Guerre mondiale.
Ces accords, que le président Franklin Roosevelt comptait démanteler après la guerre, constituent en quelque sorte un précurseur de la globalisation actuelle ».
Dans une lettre au secrétaire d’Etat Cordell Hull, datée du 8 septembre 1944, le Président américain disait :
« L’histoire de l’utilisation par les nazis du trust IG Farben se lit comme un roman policier. La défaite de l’armée nazie devra être suivie de l’éradication de ces armes de guerre économique. »
Cependant, malgré l’intention clairement exprimée par Roosevelt avant sa mort prématurée (en avril 1945), ces cartels furent protégés pendant la guerre par leurs partenaires anglo-américains et leur démantèlement ultérieurement prévu fut bloqué par ces mêmes intérêts.
En réalité, c’est une oligarchie financière internationale basée à Londres et à Wall Street qui permit la montée au pouvoir d’Hitler.
Face à la dépression mondiale, elle ne voulait en aucun cas résoudre la crise en faisant appel aux méthodes du système américain de développement économique appliquées par Roosevelt aux Etats-Unis et proposées en Allemagne au début des années 30 sous forme du plan Lautenbach.
Elle préféra encourager la création de gouvernements fascistes en Italie, en Allemagne, en Espagne, etc., afin de mieux garder le contrôle d’un système financier en plein effondrement, aux dépens de l’intérêt public. Les régimes fascistes ainsi mis au pouvoir devaient imposer une politique de pillage et de répression meurtrière et lancer la militarisation afin de renforcer encore le pillage. » source
Les cartels bancaires à l’origine de nos malheurs
On n’arrive pas au pouvoir sans soutient financier, on ne peut pas déclencher de grandes révolutions ou guerres quand on a pas d’argent, mais rare sont les historiens qui s’intéressent, comme Pauwels (voir vidéo plus bas) aux financiers.
C’est peut-être aussi parce que ce sont ces mêmes financiers ou plutôt leurs sbires qui écrivent nos livres d’histoires…
Voici différents extraits d’articles qui mettent à jour les principaux responsables, banques, multinationales, personnages, qui sont derrière la création du régime nazi.
Sans leurs financements rien n’aurait été possible !
«Qui a financé la Seconde Guerre Mondiale ?
[] C’est à travers le cercle de connaissances de Smith que Hitler est entré en contact avec « Putzi » (Ernst Franz Sedgwick Hanfstaengl), un diplômé de l’Université de Harvard qui a joué un rôle important pour faire de Hitler un politicien à succès, lui donnant un soutien financier substantiel et des liens entre les personnalités britanniques de haut rang.
Hitler se préparait pour la grande politique, mais tant que la prospérité régnait en Allemagne, son parti restait à la périphérie de la vie publique.
Cette situation changera radicalement avec le début de la crise. Après l’effondrement du marché boursier provoqué par la Réserve fédérale américaine (FED) à l’automne 1929, la troisième phase de la stratégie anglo-américaine commença.
La Fed et J. P. Morgan décident de cesser leurs prêts à l’Allemagne, provoquant une crise bancaire et une dépression économique en Europe centrale. »Source
Il faut rappeler ici que la Réserve Fédérale américaine (FED) a été créé par Paul Warburg qui a été à la tête d‘IG Farben et que cet organisme que ne nombreuses personnes pensent étatique, « fédéral » est en fait contrôlé par des banques privées dont une grande partie sont dirigées par les grandes familles US qui ont financé Hitler.
Voir Wikipedia : Réserve fédérale des États Unis
ou en résumé :
« La FED n’est ni une Réserve, ni Fédérale, ni Américaine.
Le système monétaire américain est dirigé par une agence de l’État fédéral, [] (désignés par le Président des États-Unis), la gestion courante est déléguée à douze banques régionales qui fonctionnent comme des entreprises privées : elles émettent des actions à l’intention de banques privées partenaires.
De plus, deux tiers des membres administrateurs de ces antennes régionales représentent des banques privées.« (source : leconomiste.eu )
Avant la Seconde Guerre mondiale, Max Warburg a siégé au conseil d’administration de Interessen Gemeinschaft Farben ou I.G. Farben, le géant allemand des produits chimiques qui a produit du gaz Zyklon B, plus tard utilisé dans les camps d’internement nazis.
Son frère Paul Warburg (fondateur de la réserve fédérale US) a siégé au conseil d’administration de I.G. la filiale américaine à 100% de Farben, qui était également associée à la Standard Oil (Esso). Wikipedia
Petite parenthèse sur les Warburg qui confirme l’implication de cette puissante famille dans la mise en place d’Hitler :
Les Origines financières du national-socialisme : trois conversations avec Hitler
Sidney Warburg est le nom de plume d’un auteur qui serait en fait James Paul Warburg, banquier américain et conseiller financier de Franklin D. Roosevelt, fils de Paul Warburg (dirigeant d’IG Farben et créateur de la réserve fédérale, deux puissants organismes qui ont soutenu Hitler).
Son essai » Les Origines financières du national-socialisme : trois conversations avec Hitler« , évoque trois conversations entre l’auteur et Adolf Hitler.
Sidney Warburg, qui est présenté par le traducteur de 1933 comme le fils d’un grand banquier américain de la Kuhn, Loeb & Co, et qui décrit une réunion en juillet 1929 avec un certain « Carter » (John Ridgley Carter, ayant épousé Alice Morgan) le président de J.P. Morgan‘s) Guarantee Trust (autre financier d’Hitler, voir le documentaire ci-dessous), les dirigeants de la Réserve fédérale, « le jeune Rockefeller » (John Davison Rockefeller Junior, les Rockefeller qui dirigeait la Standard Oil, autre soutient important d’Hitler) et « Glean de la Royal Dutch » (Henri Deterding).
Il fut décidé que Warburg, qui parlait allemand, devait voyager en Allemagne et demander à Hitler de combien d’argent il avait besoin pour devenir chef d’état.
La seule condition était qu’Hitler devait adopter une « politique étrangère agressive ».
L’intention des commanditaires de Warburg était de causer une menace de guerre sur la France afin qu’elle coopère le plus possible afin de soutenir les affaires financières des États-Unis et de la Grande-Bretagne : au total 32 millions de dollars auraient été transférés dns les caisses du NSDAP.
« Sydney Warburg » détaille trois réunions avec Hitler entre 1929 et 1933.
1929
La première réunion eu lieu dans une brasserie et Hitler calcula ses besoins sur une feuille de papier avec l’aide d’un certain Von Heydt.
Il ressort du livre qu’Hitler aurait reçu près de 10 millions de dollars en 1929.
Il s’agissait d’un montant extrêmement important en cette époque de dépression économique car les nazis donnaient de la nourriture et un abri à de nombreux sympathisants.
Hitler ne fut pas prévenu de la raison de leur aide et ne le demanda pas.
1931
En octobre 1931, Warburg reçu une missive d’Hitler lui annonçant que l’intégralité des 10 millions étaient dépensés et qu’il avait besoin d’un nouveau financement.
De retour en Allemagne, il rencontre à nouveau Hitler à son domicile oú celui-ci lui demande « 500 millions de marks pour faire une révolution ou 200 millions de marks pour faire une prise de pouvoir légale ».
Warburg, après avoir télégraphié à ses banquiers le message, reçoit un refus qu’il transmet.
Il reçoit alors la visite de Hermann Göring et Julius Streicher et, littéralement, se fait prendre à partie par Göring qui lui reproche son avarice0.
Après en avoir reporté à Hitler en se plaignant du comportement de son lieutenant, il reçoit une lettre d’excuse de Göring, puis la visite de Von Heydt et Gregor Strasser.
Il finit par leur transmettre la réponse définitive de ses commanditaires: 15 millions de dollars au maximum.
Le montant est divisé en trois virements: l’un chez Mendelsohn & Co., Amsterdam, oú il y voyage avec Von Heydt, l’autre chez la Rotterdamsche Bankvereniging, Rotterdam, où il s’y rend avec Gregor Strasser, et le troisième à la Banca Italianna à Rome avec Göring.
À Rome, Italo Balbo et Cesare Rossi les reçoivent, lui et Göring.
1933
Warburg se trouve à Berlin le jour de l’Incendie du Reichstag.
Le soir même, il rencontre Göring et Goebbels, il finit par rencontrer Hitler.
En cette autre occasion Hitler lui demande s’il est juif, mais y répond lui-même encore en disant qu’il porte un nom allemand.
Finalement, les commanditaires de Warburg promettent à Hitler 7 millions de dollars, dont deux payables directement à Warburg via la Rhenania Joint Stock Co., la branche allemande de la Royal Dutch à Dusseldorf.
Le livre s’achève sur des considérations de Warburg ne prédisant rien de bon sur les conséquences de ces virements d’argent au NSDAP et sur l’accession d’Hitler au pouvoir.
Épilogue du livre
Le live se conclut par un épilogue non signé, daté « octobre 1946 », qui n’est pas de Sydney Warburg.
Selon l’auteur de cet épilogue, 10 millions de dollars en 1929 furent virés au NSDAP depuis la banque Kuhn, Loeb & Co, alors que l’auteur du livre ne la cite pas nommément.
L’épilogue évoque également Joseph Goebbels, qui, dans son livre-journal Von Kaiserhof zur Reichskanzlei, notait au 20 février 1933 :
« Nous sommes en train de lever des fonds importants qui résoudront tous nos problèmes financiers d’un coup ».
On ignore si cette exclamation jubilatoire de Goebbels se réfère à cette hypothétique transaction évoquée ici.
Source : Wikipedia
Suite :
« [] IG Farben (Warburg) était notamment connu pour avoir financé la campagne de Adolf Hitler et avoir développé le Zyklon B, le gaz des chambres de la mort. » Wikipedia
« I .G Farben et le IIIe Reich
C’est en effet grâce au charbon et à I.G. Farben que la rhétorique de Hitler put se transformer immédiatement en un redoutable dispositif de guerre.
La structure de la société, comme celle de plusieurs autres firmes de l’époque, avait été calquée directement sur la Standard Oil (Esso) Trust de John D. Rockefeller à la fin du siècle dernier.[]
Les installations industrielles d’I.G. Farben à Auschwitz fonctionnaient grâce au travail de gens réduits en esclavage, leur financement étant assuré exclusivement par I.G. Farben au coût astronomique de 250 millions de dollars []
Diverses questions restent, certes, à élucider : en particulier celle des liens qui existèrent entre I.G. Farben et les cartels mondiaux de la chimie et du pétrole, et la dissimulation aux juges de Nuremberg des intérêts de la firme outremer » . source : monde-diplomatique.fr
Les responsables allemands d’IG Farben ont été jugé, mais pas les « vrais » responsables US….
Dans son livre intitulé “The Secrets Of The Federal Reserve”, l’auteur Eustace Mullins dit que “les actionnaires de ces banques, qui sont propriétaires des actions de la Réserve fédérale de New York, sont les gens qui ont contrôlé les destinées politiques et économiques des États-Unis, depuis 1914″.
Et, selon lui, ces actionnaires sont :
Les Rothschild ; Les Frères Lazard ; Israel Sieff; La Compagnie Kuhn Loeb ; La Compagnie Warburg (IG Farben) ; Les Frères Lehman ; Goldman Sachs ; La Famille Rockefeller (Standard Oil (Esso); et Les Intérêts de J. P. Morgan.
Source
Voir aussi :
Comment la Réserve fédérale a détruit la démocratie américaine…)
Suite de l’article : « Qui a financé la Seconde Guerre Mondiale ?
« En septembre 1931, l’Angleterre abandonne l’étalon-or, détruisant délibérément le système de paiement international et coupant complètement l’oxygène financier de la République de Weimar.
Mais le parti nazi connaît un essor miraculeux: en septembre 1930, grâce aux dons généreux de Thyssen, I. G. Farben, et Kirdorf, le parti recueille 6,4 millions de voix, ce qui le place en deuxième position au Reichstag.
Peu après, une généreuse injection de fonds de l’étranger apparaît. Hjalmar Schacht était devenu le lien clé entre les grands industriels allemands et les financiers étrangers. Le 4 janvier 1932, lors d’une réunion entre Adolf Hitler, le chancelier allemand Franz von Papen et Montague Norman, un accord secret est conclu pour assurer le financement du parti nazi.
Le politicien américain Dulles était également présent à cette réunion, ce que ses biographes n’aiment pas mentionner. Le 14 janvier 1933, Hitler tient une réunion avec Kurt von Schroeder, un banquier sympathisant nazi, von Papen et Kepler, au cours de laquelle le programme d’Hitler est entièrement approuvé.
C’est là que fut tracée la voie finale de la montée au pouvoir des nazis, et le 30 janvier, Hitler devint chancelier. Ensuite a commencé la quatrième étape de la stratégie.[ ]
« En août 1934, le géant pétrolier américain Standard Oil (Esso, Rockefeller) acheta 730 000 acres de terrain en Allemagne (environ 300 000 ha) et construisit de grandes raffineries de pétrole qui approvisionnaient les Nazis en pétrole.
En même temps, les États-Unis fournissaient secrètement à l’Allemagne les équipements les plus modernes pour les usines d’avions, qui allaient bientôt produire des avions allemands.
L’Allemagne reçut un grand nombre de brevets des firmes américaines Pratt and Whitney, Douglas et Bendix Corporation, et le bombardier en piqué « Junker-87″ fut construit en utilisant une technologie purement américaine.
En 1941, au moment où la Seconde Guerre Mondiale était en plein essor, les investissements américains dans l’économie allemande totalisaient 475 millions de dollars, 120 millions de dollars rien que pour Standard Oil (ESSO Rockefeller), 35 millions pour General Motors, 30 millions pour ITT et 17,5 millions pour Ford. »Source
Le mythe de la bonne guerre
Dans cette vidéo, Jacques Pauwels, historien et chercheur à l’université de Toronto, raconte comment les puissantes familles américaines à la tête des cartels bancaires et des multinationales ont financé Hitler.
Il raconte comment Hitler a pu relancer l’industrie et déclencher la 2eme guerre mondiale grâce à l’aide des américains.
Hitler n’était pas un magicien !
Il faut bien comprendre que sans le soutient de ceux qui sont très sûrement les « puissances supérieures » dont parle la fiche des RG français, Hitler n’aurait rien pu faire dans une Allemagne ruinée par la 1ère guerre mondiale !
Encore aujourd’hui, il y a des personnes pour s’étonner du « miracle économique », de la relance de l’industrie et de la prospérité retrouvée après l’arrivée au pouvoir d’Hitler.
Mais il est temps d’ouvrir les yeux sur cette période, il n’y a pas eu de miracle économique, juste une importante aide financière US.
La relance de l’industrie, le travail à la chaîne (Ford), l’huile de moteur, l’essence, les moteurs américains, la technologie (radio télécommunication, ITT, IBM…) tout cela a été fournit par les entreprises américaines aux nazis, sans eux, pas de prospérité retrouvée, pas de 2eme guerre mondiale et pas de Shoah !
Sans leurs argents et leurs soutient stratégiques dès le départ, Hitler n’aurait pas pu payer les milices d’extrêmes droites et s’attirer les faveurs de nombreux autres politiciens.
Sans la crise en Europe provoquée par la FED (réserve fédérale créé par Paul Warburg) il ne serait pas devenu chancelier.
« une grande partie des sociétés US ont carrément collaboré avec Hitler, et pas seulement au début de la guerre : Du Pont, Union Carbide, Westinghouse, General Electric, Goodrich, Singer, Kodak, ITT, JP Morgan…
Pire. La grande nouveauté stratégique d’Hitler, ce fut la « Blitzkrieg », la guerre-éclair : porter très vite ses troupes au coeur de l’adversaire.
Pour cela, deux conditions indispensables :
des camions et de l’essence, l’Allemagne n’ayant aucun des deux,
c’est la Standard Oil (Esso, Rockefeller) qui a fourni l’essence, tandis que les camions provenaient des usines allemandes de Ford et General Motors. »
Source : 6 juin 44 : ce qu’on ne vous dira pas
Pactes avec le diable « l’Amérique et le 3eme Reich »
Un film de Fabrizio Calvi et Steeve Baumann . Vidéo produite par point du jour avec la participation de Canal plus , Lundi Investigation et Planète .
Sur le rôle des grandes banques américaines comme Chase et JP Morgan, qui ont financé les nazis.
Ce film ne parle que d’une infime partie de cette collaboration, de ce soutien, car les personnes filmées n’ont eu accès qu’à une petite partie des documents compromettant avant leur destruction lors de la fusion entre les 2 banques, Chase et JP Morgan.
Henri Ford l’inspirateur du nazisme ?
En 1903, au États-Unis, alors que Henri Ford est sur le point de faire faillite, il reçoit l’aide d’une mystérieuse banque germano-américaines et les usines Ford peuvent enfin se développer.
En 1920 des usines seront ouvertes en Allemagne et un journal judéophobe sera édité en allemand avec des articles signés Henri Ford.
Il y aura aussi la parution d’un livre : »The International Jew », qui aura une grande influence sur Hitler et l’idéologie nazi.
« A travers son journal le Dearborn Independent, Henry Ford publie de nombreux articles qui seront rassemblés dans son livre intitulé The International Jew, « le juif international ». Dans cet ouvrage Henry Ford présente les juifs comme un « germe » qui doit faire l’objet d’un « nettoyage ».
Adolf Hitler et ses collaborateurs reprendront cette terminologie pour justifier leurs crimes. Le Juif n’est plus défini par sa religion mais par sa « race », « une race dont la persistance a vaincu tous les efforts faits en vue de son extermination ». source : henryford.fr
Ford sera remercié pour toutes l’aide apporté au nazi, aide autant idéologique, financière, matérielle que militaire, il reçut en 1938 la « Grand-Croix de l’ordre de l’Aigle allemand », plus haute décoration nazie pour les étrangers.

Au procès de Nuremberg de nombreux nazis avouerons être devenu « antisémite » , en lisant le journal de Ford.
Hitler n’a pas été le seul des dirigeants nazis à éprouver l’influence du livre d’Henri Ford. Baldur von Schirach, leader de la Hitlerjugend et, plus tard, gauleiter de Vienne, déclara, lors du procès de Nuremberg :
« Le livre antisémite décisif que j’ai lu à cette époque, et le livre qui a influencé mes camarades, est celui de Henry Ford, The International Jew.
Je l’ai lu et je suis devenu antisémite. »
Joseph Goebbels et Alfred Rosenberg figurent également parmi les dirigeants ayant mentionné cet ouvrage au nombre des référence importantes de l’idéologie du Parti national-socialiste allemand (NSDAP). »
Voir cet article du Monde Diplo :
Henry Ford, inspirateur d’Adolf Hitler
Prescot Bush, le père de George Bush senior et grand père de Geeorge Bush junior , a été un des financier d’Hitler au côté de Fritz Thyssen.
»Prescott Bush, ami personnel de nombreux dirigeants du IIIème Reich, multiplia les joint-ventures avec les autorités nazies durant la période 1933-1941.
Il continua à « faire des affaires » avec le régime nazi pendant la Seconde Guerre mondiale.
Tout commerce avec l’Allemagne ayant été interdit et ses sociétés ayant été placées sous séquestre par le gouvernement Roosevelt après l’entrée en guerre des États-Unis, il créa une constellation d’entreprises internationales pour contourner la législation.
Il installa aux Pays-Bas des sociétés de blanchiment de l’argent du crime, dont la Consolidated Silesian Steel Company, propriétaire de l’usine d’Oswiecim-Auschwitz. »
Les Bush et Auschwitz, une longue histoire
« L’argent engrangé grâce à la collaboration avec les nazis permit aux Bush d’asseoir leur position politique. Prescott Bush devint sénateur et deux de ses héritiers montèrent à la Maison Blanche sans faire beaucoup réagir les bonnes âmes juives et américaines du pays. »
Un Bush complice d’Hitler
Lorsqu’il était président, George Bush junior avait reçu du premier ministre japonais une photo de son grand père, Prescot, avec des dirigeants japonnais.
Les journalistes occidentaux avaient rapporté cette histoire en oubliant de rappeler que c’était un faux cadeau, un souvenir de l’époque ou l’Allemagne nazi était alliée avec le Japon, et Prescot Bush, soutien des nazis, était reçu comme un ami !
Les américains voulaient-ils une Europe fasciste ?
Voici un autre interview de Pauwels, l’historien canadien qui donne à réfléchir à ce qui se serait passé si Hitler avait gagné la guerre contre l’URSS :
Après ce soutien, la mise en place d’Hitler, il faudra attendre la défaite des nazis face à l’URSS pour que les dirigeants US, de peur de voir l’URSS envahir l’Europe pour en chasser les nazis, mettent fin à l' »opération Hitler » et décident de venir « Libérer » ou prendre le contrôle direct de l’Europe.
Mais l’opération initiale qui était en France, de mettre au pouvoir des collabos qui avaient servi les nazis et de les utiliser de même, en considérant la France comme l’Allemagne, en tant que « pays ennemi vaincu » où ils allaient pouvoir installer des bases de l’OTAN, a été mis en échec grâce à De Gaulle.
Au lieu de cela, De Gaulle à présenté la France comme un pays allié qui s’était libéré du nazisme avec l’aide US, et les Gaullistes ont pris le pouvoir.
Grace au Gaullisme, la France est resté un état libre jusqu’au jour où Sarkozy a tué le Gaullisme en remettant la France dans les mains de l’OTAN.
Voir : Terrorisme islamiste : ce que les médias vous cachent
En complément un article de l’UPR :
Theories Hégéliennes ….THÈSE + ANTITHÈSE. = SYNTHÈSE
COMMUNISME +NAZISME = MONDIALISME. !!!
Memes financiers et mêmes responsables depuis un siècle !
bel article . des vérités que beaucoup ne connaissent pas ou font semblant de ne pas connaitre ..