Comment, via la drogue bon marché, le sexe XXL, l'éducation permissive imbécile, la CIA mit en oeuvre sciemment une stratégie, pour tuer de l'intérieur nos rêves de faire advenir un monde meilleur !
Article rédigé le 16 septembre 2022 par Brigitte Bouzonnie, Dominique Kern, Frédérique Laffont, Marcel Janvier, Roger Lévy, Jean-Michel Devergranne, Lars Sociolog Jorgensen
1°)-Brigitte Bouzonnie : Plus tard, on se souviendra. Plus tard, les historiens seront très sévères. Ils pointeront le rôle joué par la CIA pour faire la peau à nos beaux rêves post-68 ards de "Changer le Monde". Il y eut une "implosion" du mouvement social post-68 ard : " les années rouges" : 1968-1978. Elle est venue de la drogue bon marché diffusée largement par les services secrets états-uniens. Du sexe roi, également voulu par la CIA, pour empêcher toute pensée critique de triompher. De l'éducation permissive imbécile. Bonjour la vache sacrée Dolto ! Bonjour "le droit à la paresse" chantée servilement par Moustaki !, téléguidée là encore directement par la CIA.
Je les ai bien connus au PSU, tous ces basistes de choc, ne vivant chaque jour que pour les partouzes. La drogue. Et l'éducation permissive volontairement ratée de leurs enfants. Qui haïssaient les livres. Ce qu'ils détestaient de plus dans les livres, c'était l'effort intellectuel pour les lire.
Toute une stratégie mise en oeuvre sciemment, volontairement par la CIA, pour tuer de l'intérieur nos rêves et nos manifestations de faire advenir un monde meilleur !
2°)-Frédérique Laffont :…mais les yeux commencent à s'ouvrir...
3°)-Marcel Janvier : Bon, après, le rock, le blues, c'était bon à prendre, tout de même !...
4°)-Roger Lévy : Pas besoin de la CIA. J’adhère à une bonne partie de cette diatribe. Mais le grand tournant idéologique de la fin des années 80, a peut-être été initié par la CIA mais il n’a pas beaucoup rencontré de résistance. Et les convertis en sont devenus à leur tour dés zélateurs. Il est probable cependant que Thatcher et Reagan aient bénéficié d’un coup de pouce de la CIA, très active tout au long des années 70.
5°-Brigitte Bouzonnie ; Pas d'accord : une idéologie, croyance historiquement et géographiquement datée, ne nait pas et ne se développe pas d'elle-même : il faut un PILOTAGE GLOBAL assuré en l'espèce par la CIA. Pourquoi pointer la CIA ? Car Dominique m'a expliquée comment la drogue bon marché était une de ses stratégie privilégiée par la CIA pour faire taire la Jeunesse révoltée. Et l'émission "Rendez vous avec X" de Patrick Pesnot, dit la même chose !
6°)-Jean-Michel Devergranne : Et toujours sous couvert de liberté. Et nous nous sommes confortés dedans, jusqu'à se que je me rende compte que je m'étais trompé, en croyant sous couvert de liberté, je manquais de respect à ce qui nous ont précédé, et je manquais de respect à moi même.
7°)-Brigitte Bouzonnie : Exactement. On a cru agir "librement", et on était "manipulé"
8°)-Lars Sociolog Jorgensen : Only Bourdieu mentions the CIA in the academic world. Another sign of his courage to speak the truth.
9°)-Brigitte Bouzonnie : Lars Sociolog Jorgensen : très juste. Bourdieu dénonce le rôle de la CIA, à travers la revue "Projet", revue financée pendant 25 ans par la CIA, pour vendre les idées libérales, reprises ensuite par Thatcher et Reagan (voir son livre Contre feux, édition Raison d'agir 1998) !
Mais je n'ai pas eu besoin de m'appuyer sur l'université, qui n'est pas la seule à produire des idées neuves, il s'en faut !
9-1°)-Mon ami Dominique Kern m'a expliquée un jour, comment, dans les années 70, la CIA a fait sciemment circuler de la drogue bon marché, en grandes quantités dans les quartiers populaires, pour assommer, annihiler tout risque de révolution de la Jeunesse. J'ai compris le mode opératoire de la CIA.
9-2°)- Au PSU, j'ai vu très concrètement comment un parti politique, laboratoire d'idées, fier de ses idées neuves en politique (l'autogestion), est devenu cette pauvre chose, violemment anti intellectuelle. Détruite par la drogue, les partouzes et l'éducation permissive imbécile des enfants.
9-3°)- Toujours au PSU, j'ai vu de près les ravages créés par l'éducation permissive des enfants : des masses d'affects se roulant par terre sous la musique et le shit. Incapables bien sûr de travailler : le fils Bourchardeau par exemple...
Sur le sujet, on peut me traiter de "monopausée" (sic), comme le fait délicatement une lectrice du compte Facebook soi disant "pédagogique" : La vie des reines, qu’il faudrait appeler la vie des enfants monstres. Ceux qui s'imaginent que les insultes vont me faire changer d'avis, se mettent le doigt dan l'oeil, juqu'à l’omoplate !