Aujourd'hui, 9ème journée de mobilisation anti dictature vaccinale. La manif du 11 septembre devrait être géante !
Article rédigé par Brigitte Bouzonnie
Dans le camp adverse, la Macronie compte ses épreuves et ses larmes. 14 500 plaintes ont été déposées contre les ministres de Macron devant la Cour de Justice de la République.
Première citée, Buzyn est mise en examen, pour “mise en danger de la vie d’autrui”(sic). De plus, elle est témoin assistée pour un autre chef d’accusation : “abstention volontaire de combattre un sinistre” (sic).
De façon scandaleuse, l’ex-Ministre de la Santé a interdit en janvier 2020 du jour au lendemain la vente de la Chloroquine, considérée jusque là comme une des plus belles réussites scientifiques médicales du XXème siècle. Médicament solide et éprouvé contre le Covid, remplacé par des vaccins tueurs et inefficaces, générant au contraire de nouvelles vagues de contamination au Covid (voir article rédigé par Michel de Lorgeril dans Réseau International publié sur la lettre politique indépendante du 10 septembre 2021). Selon les chiffres officiels de l’Agence Nationale de Sécurité et du Médicament, on compte 959 vaccinés décédés, mais la réalité est bien supérieure.
Mieux encore, Buzyn a pris de la Chloroquine, pour se soigner contre le Covid, selon le témoignage de Patrick Pelloux (voir article posté sur lettre politique indépendante du 9 septembre 2021) : quitte ensuite, une fois revenue sur les plateaux télé, à dégobiller en cadence contre cet excellent médicament.
Autre grief : Buzyn et Salomon étaient au courant de l’existence de cette grippe pulmonaire depuis au moins les Jeux Olympiques militaires de Wuhan d’octobre 2019. 260 athlètes de la délégation française sur 285 ayant été contaminés. Les médecins sportifs de la délégation ont signalé tout de suite l’existence de cette maladie atypique aux autorités françaises.
Mieux encore, au mois de décembre l’ambassadeur français à Pékin a prévenu Macron et Buzyn de ce nouveau virus, dont il avait pris connaissance en regardant We Chat, l’équivalent de Facebook chinois, où les habitants de Wuhan se plaignaient de ce nouveau mal. Aucune réaction.
Sans oublier le scandale de l’absence de masques, pieusement “oublié” des médias aux ordres ! Le stock constitué en cas de pandémie ayant pourri et n’étant curieusement pas renouvelé.
Mais ce n’est pas tout. Véran et Philippe vont être convoqués à leur tour. Véran trainé devant la CJR, cela signifie que va se dérouler le procès de la vaccination à marche forcée, que nous subissons tous depuis janvier 2021. Puis la dictature vaccinale, à compter du discours de Macron du 12 juillet 2021. Et son cortège de thromboses, décès, accompagnant ces injections expérimentales contenant un produit toxique : l’oxyde de graphène. Dans un moment où Organisation mondiale de la Santé elle-même déclare que les vaccins ne sont peut être pas la solution pour l'épidémie.
Dans le camp du Peuple, la manif du 11 septembre devrait être géante. Même un journal aux ordres comme Le Parisien concède que nous “devrions être plus nombreux que la semaine dernière : 170 000 contre 140 000”(sic).
N’en déplaisent aux menteurs professionnels, notre beau mouvement social va crescendo : 3,6 millions manifestants le 28 août 2021 ; 3,8 millions le 4 septembre, selon les chiffres du collectif Antipasssanitaire, faux nez du Ministère de l’Intérieur. Ce chiffre est obtenu grâce à 611 bénévoles et l’intelligence artificielle.
Comme écrit Jean-Michel Moriset : “C'est un vrai mouvement insurrectionnel qui exige la chute du gouvernement, la démission du président de la république voire son emprisonnement. On est, aujourd'hui, au-delà de la question du masque et des vaccins. Nous refusons le pronunciamento du 12 juillet 2021 suivi du coup d'état constitutionnel qui a vu 120 députés abolirent en une nuit tous les acquis et droits sociaux depuis la Révolution française”(sic).
Nous vivons la fin d’un monde. Nous sommes en 1789. Le grand cycle capitaliste libéral apparu dans les années 80 agonise. Avec la mobilisation d’aujourd’hui, cela fait neuf semaines que nous sommes des millions dans la rue des grandes et des petites villes à nous battre courageusement contre la dictature vaccinale imposée par le camp mondialiste.
Dans ce bras de fer entre un Pouvoir profondément malfaisant, qui veut la mort sociale et la mort tout court de son Peuple, et les français qui veulent vivre encore, la Macronie a peur. Pour s’en convaincre, il suffit de lire le dernier article du Monde du 11 septembre sur la mise en examen de Buzyn. Il est lugubre…
Le Peuple dans la rue, mobilisé par millions se bat avec bravoure et force d’âme : comme les célèbres soldats de l’an II décrits par un lyrique Victor Hugo. Les militants anti dictature vaccinale “occupent” Macron, pris en tenaille entre les manifestants et Donald Trump, qui annonce un gros coup…!
Ô soldats de l'an deux ! ...
Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées !
Contre les rois tirant ensemble leurs épées,
Prussiens, Autrichiens,
Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes,
Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes
Suivi de tous ses chiens,
Contre toute l'Europe avec ses capitaines,
Avec ses fantassins couvrant au loin les plaines,
Avec ses cavaliers,
Tout entière debout comme une hydre vivante,
Ils chantaient, ils allaient, l'âme sans épouvante
Et les pieds sans souliers !
Au levant, au couchant, partout, au sud, au pôle,
Avec de vieux fusils sonnant sur leur épaule,
Passant torrents et monts,
Sans repos, sans sommeil, coudes percés, sans vivres,
Ils allaient, fiers, joyeux, et soufflant dans des cuivres
Ainsi que des démons !
La Liberté sublime emplissait leurs pensées.
Flottes prises d'assaut, frontières effacées
Sous leur pas souverain,
Ô France, tous les jours, c'était quelque prodige,
Chocs, rencontres, combats ; et Joubert sur l'Adige,
Et Marceau sur le Rhin !
On battait l'avant-garde, on culbutait le centre ;
Dans la pluie et la neige et de l'eau jusqu'au ventre,
On allait ! en avant !
Et l'un offrait la paix, et l'autre ouvrait ses portes,
Et les trônes, roulant comme des feuilles mortes,
Se dispersaient au vent !
Oh ! que vous étiez grands au milieu des mêlées, Soldats !
L'oeil plein d'éclairs, faces échevelées
Dans le noir tourbillon,
Ils rayonnaient, debout, ardents, dressant la tête ;
Et comme les lions aspirent la tempête
Quand souffle l'aquilon,
Eux, dans l'emportement de leurs luttes épiques,
Ivres, ils savouraient tous les bruits héroïques,
Le fer heurtant le fer,
La Marseillaise ailée et volant dans les balles,
Les tambours, les obus, les bombes, les cymbales,
Et ton rire, ô Kléber !
La Révolution leur criait : - Volontaires,
Mourez pour délivrer tous les peuples vos frères ! -
Contents, ils disaient oui.
- Allez, mes vieux soldats, mes généraux imberbes !
Et l'on voyait marcher ces va-nu-pieds superbes
Sur le monde ébloui !
La tristesse et la peur leur étaient inconnues.
Ils eussent, sans nul doute, escaladé les nues
Si ces audacieux,
En retournant les yeux dans leur course olympique,
Avaient vu derrière eux la grande République
Montrant du doigt les cieux ! ...
Victor Hugo